Cors’Healthy : le sport 3-en-1, un nouveau concept ?
- C’est simple : pour moi, on ne peut pas séparer la tête du corps. Mon concept, c'est de tout réunir :
Tu viens te défouler, pour lâcher la pression.
Tu apprends à te protéger.
On bosse le mental.
L’idée, ce n’est pas juste de transpirer, c’est de repartir plus fort pour affronter ta semaine.
Qui se cache derrière cette capuche ?
- Mickael, 40 ans. Dans la vie, je suis avant tout un passionné et un coach. J'aime les choses carrées et efficaces. Je n'ai pas la prétention de fabriquer des boxeurs destructeurs, mon but est d'aider ceux qui en ont besoin. Pas besoin d'en dire plus, je préfère que les résultats parlent pour moi.
- Quel est votre parcours ?
- J'ai toujours baigné dedans. Je suis Ceinture Noire 1er Dang de Viet Vo Dao (au Bach Long Corse) et j'ai beaucoup pratiqué les sports de combat : boxe anglaise, judo, jiu-jitsu japonais.
J'ai complété ça avec des formations de coaching, parce que savoir se battre, c’est bien, mais savoir transmettre et aider les gens à évoluer, c’est mieux. J'ai monté mes structures pour partager cette vision du sport utile.
Que recherchent le plus vos adhérents dans ce type de cours ?
- Franchement ? Ils veulent vider le sac. Les gens arrivent chargés, stressés par le boulot ou la vie perso. Ils cherchent un endroit où ils peuvent tout lâcher sans jugement. Et en bonus, ils repartent en sachant mettre une garde et se défendre. C'est le combo gagnant : on évacue le stress et on gagne en sécurité. »
- Quels profils retrouve-t-on le plus souvent dans vos cours ?
- J'ai de tout, mais souvent des gens actifs, 30-40 ans, qui ont besoin d'une soupape. J'ai aussi beaucoup de femmes qui veulent se rassurer et prendre confiance en elles. Pas besoin d'être un athlète pour venir, au contraire, c'est ouvert à tous ceux qui ont la motivation.
- L’engouement pour les sports de combat est-il lié à l’insécurité, aux médias ou à un effet de mode ?
- On ne va pas se mentir, l'insécurité joue un rôle, même ici chez nous. Les gens ne sont pas aveugles, ils veulent savoir réagir s'il y a un problème. Ce n'est pas une question de mode ou de télé, c'est une prise de conscience. Les gens veulent reprendre le contrôle de leur sécurité et ne plus subir.
- Cette méthode aide-t-elle à mieux gérer ses problèmes ?
- À 100 %. Le sport de combat, c'est l'école de la vie. Quand tu es dans le dur physiquement, que tu as envie d'arrêter mais que tu continues, tu te forges un mental. Cette volonté-là, tu la retrouves ensuite au boulot ou face à un pépin perso. Tu apprends à ne rien lâcher, à garder ton sang-froid. C'est ça la vraie force. »
Où suivre les cours ? Tarifs ? Contact ?
- Je bouge pas mal sur Bastia et alentours, à domicile ou en extérieur selon les besoins.
Pour les tarifs : 30 € par mois pour les cours collectifs (+ la licence), à la salle Saint-Exupéry de Biguglia, le lundi et le mardi de 19h30 à 21h.
Pour le coaching privé, on voit ça ensemble.
Pour me joindre : coach@corshealthy.com
Et pour les salles de sport : carrément ! Pourquoi se fermer ? C’est justement l’esprit de mon concept : être là où je peux aider.
- C’est simple : pour moi, on ne peut pas séparer la tête du corps. Mon concept, c'est de tout réunir :
Tu viens te défouler, pour lâcher la pression.
Tu apprends à te protéger.
On bosse le mental.
L’idée, ce n’est pas juste de transpirer, c’est de repartir plus fort pour affronter ta semaine.
Qui se cache derrière cette capuche ?
- Mickael, 40 ans. Dans la vie, je suis avant tout un passionné et un coach. J'aime les choses carrées et efficaces. Je n'ai pas la prétention de fabriquer des boxeurs destructeurs, mon but est d'aider ceux qui en ont besoin. Pas besoin d'en dire plus, je préfère que les résultats parlent pour moi.
- Quel est votre parcours ?
- J'ai toujours baigné dedans. Je suis Ceinture Noire 1er Dang de Viet Vo Dao (au Bach Long Corse) et j'ai beaucoup pratiqué les sports de combat : boxe anglaise, judo, jiu-jitsu japonais.
J'ai complété ça avec des formations de coaching, parce que savoir se battre, c’est bien, mais savoir transmettre et aider les gens à évoluer, c’est mieux. J'ai monté mes structures pour partager cette vision du sport utile.
Que recherchent le plus vos adhérents dans ce type de cours ?
- Franchement ? Ils veulent vider le sac. Les gens arrivent chargés, stressés par le boulot ou la vie perso. Ils cherchent un endroit où ils peuvent tout lâcher sans jugement. Et en bonus, ils repartent en sachant mettre une garde et se défendre. C'est le combo gagnant : on évacue le stress et on gagne en sécurité. »
- Quels profils retrouve-t-on le plus souvent dans vos cours ?
- J'ai de tout, mais souvent des gens actifs, 30-40 ans, qui ont besoin d'une soupape. J'ai aussi beaucoup de femmes qui veulent se rassurer et prendre confiance en elles. Pas besoin d'être un athlète pour venir, au contraire, c'est ouvert à tous ceux qui ont la motivation.
- L’engouement pour les sports de combat est-il lié à l’insécurité, aux médias ou à un effet de mode ?
- On ne va pas se mentir, l'insécurité joue un rôle, même ici chez nous. Les gens ne sont pas aveugles, ils veulent savoir réagir s'il y a un problème. Ce n'est pas une question de mode ou de télé, c'est une prise de conscience. Les gens veulent reprendre le contrôle de leur sécurité et ne plus subir.
- Cette méthode aide-t-elle à mieux gérer ses problèmes ?
- À 100 %. Le sport de combat, c'est l'école de la vie. Quand tu es dans le dur physiquement, que tu as envie d'arrêter mais que tu continues, tu te forges un mental. Cette volonté-là, tu la retrouves ensuite au boulot ou face à un pépin perso. Tu apprends à ne rien lâcher, à garder ton sang-froid. C'est ça la vraie force. »
Où suivre les cours ? Tarifs ? Contact ?
- Je bouge pas mal sur Bastia et alentours, à domicile ou en extérieur selon les besoins.
Pour les tarifs : 30 € par mois pour les cours collectifs (+ la licence), à la salle Saint-Exupéry de Biguglia, le lundi et le mardi de 19h30 à 21h.
Pour le coaching privé, on voit ça ensemble.
Pour me joindre : coach@corshealthy.com
Et pour les salles de sport : carrément ! Pourquoi se fermer ? C’est justement l’esprit de mon concept : être là où je peux aider.










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