A la reprise, le ton se voulait plus circonspect. Les échanges ont été (enfin) plus en rapport avec une session ordinaire. Ainsi, Jean-Jacques Panunzi s’est adressé à son tour au président du Conseil départemental pour souligner « que le groupe de l’opposition demeurait inquiet sur la situation actuelle de l’institution » mais pour signifier également qu’il n’avait pas été compris dans certains de ses propos.
Cela dit, l’ancien président a donné son opinion sur la marche de l’institution et émit le souhait de recentrer le débat sur l’essentiel : « Si la loi a permis à Monsieur Pierre-Jean Luciani d’être élu président, elle a également permis à Monsieur Panunzi d’être son adjoint et vice-président » a-t-il poursuivi en rappelant que le nombre de vice-présidents avait été réduit de six à quatre. Il a d’ailleurs demandé au président du Conseil de revenir sur cette décision.
Vers un retour à la normale ?
Dans son intervention, Jean-Jacques Panunzi est revenu sur l’incident et a présenté officiellement des excuses à Pierre-Jean Luciani, soulignant au passage les qualités de l’homme quand bien même lui aurait-il posé la question à savoir comment faisait-il pour cumuler autant de délégations…L’ancien président a précisé en outre : « Le groupe que je préside n’a jamais eu le sentiment que la majorité entendait les intégrer » puis, plus pondéré , a ajouté que l’Assemblée départementale se devait d’œuvrer pour l’intérêt général afin de pouvoir agir dans la meilleure cohésion.
Autre intervention, de la part de Marcel Francisci cette fois, qui a précisé à l’assemblée que cette journée s’avérait être un tournant pour l’institution, se félicitant du fait qu’il s’agissait d’un véritable départ de leur travail en commun.
Quant à la réponse du président Pierre-Jean Luciani, il a confirmé que les demandes émises avaient été prises en compte. Il a d’ailleurs proposé une rencontre future afin de trouver une entente.
Est-ce le déclic d’une prochaine réunion plus constructive ?
La voix de la sagesse ?
Les paroles d’apaisement et les excuses aurait-elles contribué à faire baisser la tension extrême qui régnait le matin ?
Chi lo sa ?
J. F.
Cela dit, l’ancien président a donné son opinion sur la marche de l’institution et émit le souhait de recentrer le débat sur l’essentiel : « Si la loi a permis à Monsieur Pierre-Jean Luciani d’être élu président, elle a également permis à Monsieur Panunzi d’être son adjoint et vice-président » a-t-il poursuivi en rappelant que le nombre de vice-présidents avait été réduit de six à quatre. Il a d’ailleurs demandé au président du Conseil de revenir sur cette décision.
Vers un retour à la normale ?
Dans son intervention, Jean-Jacques Panunzi est revenu sur l’incident et a présenté officiellement des excuses à Pierre-Jean Luciani, soulignant au passage les qualités de l’homme quand bien même lui aurait-il posé la question à savoir comment faisait-il pour cumuler autant de délégations…L’ancien président a précisé en outre : « Le groupe que je préside n’a jamais eu le sentiment que la majorité entendait les intégrer » puis, plus pondéré , a ajouté que l’Assemblée départementale se devait d’œuvrer pour l’intérêt général afin de pouvoir agir dans la meilleure cohésion.
Autre intervention, de la part de Marcel Francisci cette fois, qui a précisé à l’assemblée que cette journée s’avérait être un tournant pour l’institution, se félicitant du fait qu’il s’agissait d’un véritable départ de leur travail en commun.
Quant à la réponse du président Pierre-Jean Luciani, il a confirmé que les demandes émises avaient été prises en compte. Il a d’ailleurs proposé une rencontre future afin de trouver une entente.
Est-ce le déclic d’une prochaine réunion plus constructive ?
La voix de la sagesse ?
Les paroles d’apaisement et les excuses aurait-elles contribué à faire baisser la tension extrême qui régnait le matin ?
Chi lo sa ?
J. F.
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