A la faveur de ses derniers résultats on pensait que le CAB était, enfin, en mesure de tenir son rang au sein de championnat de France de Ligue 2 et que la venue des Normands de Caen serait propice au vrai départ de l'équipe bastiaise dans cette compétition.
Hélas, à la pause il fallait, déjà, revoir les ambitions cabistes à la baisse.
Certes le CAB par l'intermédiaire de Moretti avait frappé le premier et si Perquis avait été contraint de se détendre spectaculairement pour de son poing gauche détourner la superbe frappe du capitaine bastiais, c'est Caen qui allait tirer les bons marrons du feu lors de la première période.
En effet après que le ballon ait longtemps voyagé longtemps dans les deux camps sans que Philippon et Perquis aient jamais vraiment été sollicités, sauf pour ce dernier sur la frappe de Moretti, les Normands trouvaient une première fois le chemin des filets après une reprise de Agouazi et un corner concédé par Salis.
Fajr soignait son coup de pied sur lequel Agouazi, au sein d'une défense bastiaise bien passive, n'avait aucun mal à tromper Philippon.
On pensait voir, alors, le CAB mordre bien plus dans le ballon qu'ils ne l'avaient fait jusque-là. Mais si Moretti et ses pairs se mirent à la tâche, cette volonté n'avait pas d'effets véritables pas dans le jeu. Dès lors face à un adversaire habile à exploiter le moindre ballon, le CAB était très souvent contraint à regarder jouer son adversaire comme sur cette frappe de Duhamel repoussée par l'arête gauche de Philippon que Fajr n'eut aucun mal, à l'image de Agouazi un peu plus tôt, à convertir en but.
2 à 0 après la 40e minute : le CAB était K.O debout.
A la reprise il mettait un premier genou à terre la faute encore à ce diable de Duhamel qui ne se privait de fusiller Philippon après avoir réussi à prendre en défaut la défense cabiste.
La messe était dite et si l'entrée en jeu de Marty contribua un peu à dynamiser le jeu des bastiais, force restait à Caen et à Koita (74 et 77èmes) qui transformaient la défaite du CAB en cauchemar, même si M. Perreau-Niel généreux permettait à Pastorelli sur penalty de réduire la marque !
5 à 1 à Furiani : ça fait mal !
Reste à savoir à présent comment le CAB va digérer cette déroute qui ne laisse rien augurer de bon pour son maintien à ce niveau, un maintien qui paraît aujourd'hui bel et bien compromis, c'est le moins que l'on puisse écrire, hélas !
Mais au CAB, pour qui connaît la maison, on va se battre jusqu'au bout pour sauver ce qui peut encore l'être.
Hélas, à la pause il fallait, déjà, revoir les ambitions cabistes à la baisse.
Certes le CAB par l'intermédiaire de Moretti avait frappé le premier et si Perquis avait été contraint de se détendre spectaculairement pour de son poing gauche détourner la superbe frappe du capitaine bastiais, c'est Caen qui allait tirer les bons marrons du feu lors de la première période.
En effet après que le ballon ait longtemps voyagé longtemps dans les deux camps sans que Philippon et Perquis aient jamais vraiment été sollicités, sauf pour ce dernier sur la frappe de Moretti, les Normands trouvaient une première fois le chemin des filets après une reprise de Agouazi et un corner concédé par Salis.
Fajr soignait son coup de pied sur lequel Agouazi, au sein d'une défense bastiaise bien passive, n'avait aucun mal à tromper Philippon.
On pensait voir, alors, le CAB mordre bien plus dans le ballon qu'ils ne l'avaient fait jusque-là. Mais si Moretti et ses pairs se mirent à la tâche, cette volonté n'avait pas d'effets véritables pas dans le jeu. Dès lors face à un adversaire habile à exploiter le moindre ballon, le CAB était très souvent contraint à regarder jouer son adversaire comme sur cette frappe de Duhamel repoussée par l'arête gauche de Philippon que Fajr n'eut aucun mal, à l'image de Agouazi un peu plus tôt, à convertir en but.
2 à 0 après la 40e minute : le CAB était K.O debout.
A la reprise il mettait un premier genou à terre la faute encore à ce diable de Duhamel qui ne se privait de fusiller Philippon après avoir réussi à prendre en défaut la défense cabiste.
La messe était dite et si l'entrée en jeu de Marty contribua un peu à dynamiser le jeu des bastiais, force restait à Caen et à Koita (74 et 77èmes) qui transformaient la défaite du CAB en cauchemar, même si M. Perreau-Niel généreux permettait à Pastorelli sur penalty de réduire la marque !
5 à 1 à Furiani : ça fait mal !
Reste à savoir à présent comment le CAB va digérer cette déroute qui ne laisse rien augurer de bon pour son maintien à ce niveau, un maintien qui paraît aujourd'hui bel et bien compromis, c'est le moins que l'on puisse écrire, hélas !
Mais au CAB, pour qui connaît la maison, on va se battre jusqu'au bout pour sauver ce qui peut encore l'être.
La fiche technique
A Furiani
CAB : 1 Caen : 5 (0-2)
Buts pour le CAB : Pastorelli (84e) sur penalty
Pour Caen : Agouazi (25e), Fajr (40e), Duhamel (47e), Koita (74 et 77es)
Arbitre : M. Perreau-Niel
Avertissements : Camara (73e) au CAB; Autret (70e) à Caen
Exclusion : Pierre (84e) à Caen
CAB :
Philippon, Truchet, Oswald puis Di Fraya (46e), Camara, Salis, Moretti puis Marty (46e), Assana puis Pastorelli (69e), Vincent, Moizini, Mandrichi (Lombard, Fourtier, Pastorelli)
Caen :
Perquis, Seube, Appiah puis Wague (75e) , Pierre, Montarouh puis Raineau (46e), Calve, Agouazi, Fajr, Kanté, Duhamel puis Koita (72e), Autret (Bosmel, Lemar)
CAB : 1 Caen : 5 (0-2)
Buts pour le CAB : Pastorelli (84e) sur penalty
Pour Caen : Agouazi (25e), Fajr (40e), Duhamel (47e), Koita (74 et 77es)
Arbitre : M. Perreau-Niel
Avertissements : Camara (73e) au CAB; Autret (70e) à Caen
Exclusion : Pierre (84e) à Caen
CAB :
Philippon, Truchet, Oswald puis Di Fraya (46e), Camara, Salis, Moretti puis Marty (46e), Assana puis Pastorelli (69e), Vincent, Moizini, Mandrichi (Lombard, Fourtier, Pastorelli)
Caen :
Perquis, Seube, Appiah puis Wague (75e) , Pierre, Montarouh puis Raineau (46e), Calve, Agouazi, Fajr, Kanté, Duhamel puis Koita (72e), Autret (Bosmel, Lemar)
Envoyer à un ami
Version imprimable
