« N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question » pour la CGT, cette phrase de Simone de Beauvoir est plus que jamais d’actualité. A partir de 15h, au centre commercial Géant de Toga, les militants ont tenu un stand d’information et procédé à une distribution de tracts.
« Dans un climat de régression sociale et sociétale, les droits des femmes sont une fois de plus remis en cause comme le droit à l’avortement. La progression des idées rétrogrades portées par différents coutants intégristes à l’échelle mondiale, européenne et aussi en France par l’association « Sens commun » qui a défilé contre le droit à l’avortement et à son remboursement est inquiétante » souligne la CGT. « En 2017, nous voulons faire reculer les inégalités au travail, en terme de salaire, d’accès à l’emploi, de carrière, de temps de travail. Nus voulons l’égalité salariale et la revalorisation des traitements dans les métiers à prédominance féminine. En 2017 nous voulons que soit garanti le droit à l’avortement, à la contraception dont la légitimité est sans cesse remise en cause. Nous voulons un accès égal à la santé et aux services publics. En 2017 nous voulons que cessent les violences sexuelles et sexistes à l’encontre des femmes, au travail, dans l’espace public comme à la maison. Nus voulons de vraies sanctions pour les agresseurs » déclarait Eve Pommepuy, responsable du Collectif des Femmes CGT…
« Dans un climat de régression sociale et sociétale, les droits des femmes sont une fois de plus remis en cause comme le droit à l’avortement. La progression des idées rétrogrades portées par différents coutants intégristes à l’échelle mondiale, européenne et aussi en France par l’association « Sens commun » qui a défilé contre le droit à l’avortement et à son remboursement est inquiétante » souligne la CGT. « En 2017, nous voulons faire reculer les inégalités au travail, en terme de salaire, d’accès à l’emploi, de carrière, de temps de travail. Nus voulons l’égalité salariale et la revalorisation des traitements dans les métiers à prédominance féminine. En 2017 nous voulons que soit garanti le droit à l’avortement, à la contraception dont la légitimité est sans cesse remise en cause. Nous voulons un accès égal à la santé et aux services publics. En 2017 nous voulons que cessent les violences sexuelles et sexistes à l’encontre des femmes, au travail, dans l’espace public comme à la maison. Nus voulons de vraies sanctions pour les agresseurs » déclarait Eve Pommepuy, responsable du Collectif des Femmes CGT…
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