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L'agresseur d'Yvan Colonna, Franck Elong Abé, un Camerounais de 36 ans radicalisé, avait été mis en examen pour "tentative d'assassinat terroriste" début mars.
Le parquet antiterroriste a pris mardi un réquisitoire "supplétif du chef d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste", a-t-il indiqué.
Franck Elong Abé doit être convoqué prochainement par le juge d'instruction chargé de cette enquête en vue de l'éventuelle modification de la qualification de sa mise en examen, selon une source proche du dossier.
Le décès du militant nationaliste de 61 ans a été annoncé lundi soir. Il se trouvait entre la vie et la mort depuis sa violente agression le 2 mars à la maison centrale d'Arles (Bouches-du-Rhône), où il purgeait une peine à perpétuité pour sa participation à l'assassinat du préfet Claude Erignac en 1998 à Ajaccio.
Selon plusieurs sources, l'agresseur d'Yvan Colonna avait justifié son acte par le fait que le militant corse aurait blasphémé et "mal parlé du prophète".
Franck Elong Abé, qui purgeait plusieurs peines, dont une de neuf ans d'emprisonnement pour "association de malfaiteurs terroriste", s'était acharné sur le militant dans une salle de sport de l'établissement pénitentiaire.
Le parquet antiterroriste a pris mardi un réquisitoire "supplétif du chef d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste", a-t-il indiqué.
Franck Elong Abé doit être convoqué prochainement par le juge d'instruction chargé de cette enquête en vue de l'éventuelle modification de la qualification de sa mise en examen, selon une source proche du dossier.
Le décès du militant nationaliste de 61 ans a été annoncé lundi soir. Il se trouvait entre la vie et la mort depuis sa violente agression le 2 mars à la maison centrale d'Arles (Bouches-du-Rhône), où il purgeait une peine à perpétuité pour sa participation à l'assassinat du préfet Claude Erignac en 1998 à Ajaccio.
Selon plusieurs sources, l'agresseur d'Yvan Colonna avait justifié son acte par le fait que le militant corse aurait blasphémé et "mal parlé du prophète".
Franck Elong Abé, qui purgeait plusieurs peines, dont une de neuf ans d'emprisonnement pour "association de malfaiteurs terroriste", s'était acharné sur le militant dans une salle de sport de l'établissement pénitentiaire.