« Tout d’abord, je souhaite remercier les dirigeants du club d’Alès pour leur accueil chaleureux. Mais en tant que Secrétaire général du FBIR, je ne peux que m’insurger devant les pratiques honteuses de l’arbitre assistant, et surtout du délégué de la rencontre, Mr Doutremepuich.
En effet, pour le premier, deux solutions sont possibles. Soit il a eu son diplôme par tirage au sort, soit il est atteint de malhonnêteté aigue, ce que je ne peux même pas imaginer… Quand au second, que dire ? Dès notre arrivée, nous avons bien senti que ce monsieur se sentait investi d’une mission divine à l’encontre des Corses qui arrivaient sur le continent.
Pendant tout le match, il n’a eu de cesse d’invectiver le banc de touche insulaire lorsque celui-ci se plaignait, à juste titre, des interventions plus que douteuses du premier cité. J’en veux pour preuve également la demande qui m’a été faite à la fin du match, de faire rentrer mes joueurs avant ceux de l’équipe locale afin d’éviter des échauffourées, alors que les vingt-deux joueurs étaient en train de se serrer amicalement la main au centre du terrain.
Pendant tout le match, il n’a eu de cesse d’invectiver le banc de touche insulaire lorsque celui-ci se plaignait, à juste titre, des interventions plus que douteuses du premier cité. J’en veux pour preuve également la demande qui m’a été faite à la fin du match, de faire rentrer mes joueurs avant ceux de l’équipe locale afin d’éviter des échauffourées, alors que les vingt-deux joueurs étaient en train de se serrer amicalement la main au centre du terrain.
Mais le pompon a été le rapport fait par ce même délégué à l’encontre de Christian Graziani pour « injures envers les officiels durant tout le match », contre l’avis même de l’arbitre central, qui a certifié qu’il n’y avait eu aucune insulte, et que si cela avait été le cas, il aurait sévit durant la rencontre.
Le FBIR a toujours mis un point d’honneur, insufflé par le Président V. Orabona, à inculquer des valeurs de respect de l’autre, et ce de nos plus jeunes joueurs à notre équipe première. C’est pourquoi un courrier en ce sens va être envoyé à la F.F.F. pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus. Nous sommes persuadés que les hautes instances du football Français sauront nous entendre et feront preuve d’impartialité, comme elles en ont l’habitude.
Le FBIR a toujours mis un point d’honneur, insufflé par le Président V. Orabona, à inculquer des valeurs de respect de l’autre, et ce de nos plus jeunes joueurs à notre équipe première. C’est pourquoi un courrier en ce sens va être envoyé à la F.F.F. pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus. Nous sommes persuadés que les hautes instances du football Français sauront nous entendre et feront preuve d’impartialité, comme elles en ont l’habitude.
Forza F.B.I.R. "