Au soir du match opposant l'AC Aiacciu à Angers, j'ai eu l'outrecuidance de déclarer que l'arbitrage avait été incroyablement mauvais. Deux penaltys oubliés par M. l'arbitre et un résultat, à mon sens faussé, par l'incompétence de ce même arbitre !
J'exprimais là mon opinion, ce qui me vaut une interdiction de 4 matchs par la commission d'éthique de la FFF.
Je tiens à préciser que notre club se fait un devoir de respecter les arbitres et de les accueillir dans le respect de l'hospitalité corse. Je pense pouvoir affirmer que ces derniers ne s'en plaignent pas et nous remercient de notre accueil.
Je respecte d'ailleurs également les membres de cette commission de l'éthique bien que j'ignore sur quels critères, en vertu de quelles compétences particulières lesdits membres sont choisis...
"Je n'accepte pas la décision de la commission qui prétend m'interdire pour quatre matchs"
Pour autant, mon éthique personnelle voue un attachement sans exclusive à la liberté d'expression ! Thème hélas à l'ordre du jour pour les raisons que l'on sait. C'est pourquoi, je persiste et je signe, l'arbitrage ce soir-là a été, à mon sens, très mauvais. J'ai d'ailleurs regretté qu'en Corse, contrairement à ce qui se fait partout ailleurs en France, il n'y ait jamais d'observateurs mandatés pour superviser l'arbitrage !
En conséquence, étant entendu que mes propos peuvent ne pas avoir été appréciés mais qu'ils n'ont été en aucun cas injurieux ou diffamatoires, je répète que l'arbitrage ce soir-là a été très, très, très mauvais. Je n'accepte pas la décision de la commission qui prétend m'interdire pour quatre matchs (m'interdire de quoi d'ailleurs, cela n'est pas précisé).
"Déterminé à poursuivre l'action jusque devant les tribunaux administratifs"
Je considère être dans mon bon droit en exprimant une opinion, certains propos critiquant l'arbitrage de tel ou tel match ont été, me semble-t-il, exprimé par d'autres sans que l'on ait jugé utile de saisir les spécialistes de l'éthique...
Au nom de la liberté d'expression, je refuse cette sanction, je n'en tiendrais nullement compte, j'en fais appel et je suis déterminé à poursuivre l'action jusque devant les tribunaux administratifs si cela est nécessaire. J'en fais une question de principe !
Bien respectueusement, et avec toute ma détermination.
Alain Orsoni, Président de l'AC Ajaccio
J'exprimais là mon opinion, ce qui me vaut une interdiction de 4 matchs par la commission d'éthique de la FFF.
Je tiens à préciser que notre club se fait un devoir de respecter les arbitres et de les accueillir dans le respect de l'hospitalité corse. Je pense pouvoir affirmer que ces derniers ne s'en plaignent pas et nous remercient de notre accueil.
Je respecte d'ailleurs également les membres de cette commission de l'éthique bien que j'ignore sur quels critères, en vertu de quelles compétences particulières lesdits membres sont choisis...
"Je n'accepte pas la décision de la commission qui prétend m'interdire pour quatre matchs"
Pour autant, mon éthique personnelle voue un attachement sans exclusive à la liberté d'expression ! Thème hélas à l'ordre du jour pour les raisons que l'on sait. C'est pourquoi, je persiste et je signe, l'arbitrage ce soir-là a été, à mon sens, très mauvais. J'ai d'ailleurs regretté qu'en Corse, contrairement à ce qui se fait partout ailleurs en France, il n'y ait jamais d'observateurs mandatés pour superviser l'arbitrage !
En conséquence, étant entendu que mes propos peuvent ne pas avoir été appréciés mais qu'ils n'ont été en aucun cas injurieux ou diffamatoires, je répète que l'arbitrage ce soir-là a été très, très, très mauvais. Je n'accepte pas la décision de la commission qui prétend m'interdire pour quatre matchs (m'interdire de quoi d'ailleurs, cela n'est pas précisé).
"Déterminé à poursuivre l'action jusque devant les tribunaux administratifs"
Je considère être dans mon bon droit en exprimant une opinion, certains propos critiquant l'arbitrage de tel ou tel match ont été, me semble-t-il, exprimé par d'autres sans que l'on ait jugé utile de saisir les spécialistes de l'éthique...
Au nom de la liberté d'expression, je refuse cette sanction, je n'en tiendrais nullement compte, j'en fais appel et je suis déterminé à poursuivre l'action jusque devant les tribunaux administratifs si cela est nécessaire. J'en fais une question de principe !
Bien respectueusement, et avec toute ma détermination.
Alain Orsoni, Président de l'AC Ajaccio