Les tendances de réservation actuelles permettent-elles d'affirmer que la saison 2021 sera aussi bonne que 2019 ?
- On va dire qu'au moment où je vous parle tous les signaux permettent d’y croire. Il serait présomptueux de faire du triomphalisme le 21 juin car il reste beaucoup de sièges à vendre mais les tendances actuelles sont favorables. On se rend compte que les comportements d’achats sont comparables à ceux de l’avant-crise. Cela se confirme au gré de l’assouplissement des restrictions de déplacements. Donner la possibilité aux gens vaccinés de voyager sans faire de tests a véritablement contribué à la reprise. Aujourd'hui, Air Corsica dispose de 12 avions qui peuvent voler jusqu'à 120 fois par jour. On approche d'ailleurs régulièrement les 100 vols quotidiens c'est aussi pour cela que nous avons embauché 60 salariés saisonniers.
- Est-ce qu'une ligne vers l'hexagone se distingue ?
- La demande est assez homogène. Sur certaines lignes, lorsqu'on en a besoin, nous ajoutons des vols supplémentaires. C'est le cas par exemple sur le Figari-Marseille pour lundi prochain. Une ligne hors France se distingue toutefois, celle vers la Belgique qui représente 14 vols par semaine et ce n’est pas rien. Nous offrons 72 840 sièges dont 9 444 depuis Figari alors qu'il y a deux ans nous en proposions 44 124.
- Cela fait un peu plus d'un mois que vous avez lancé la carte "Air Corsica Mea", le public a-t-il adhéré ?
- Oui, elle a trouvé sa place sur le marché puisqu’on a enregistré pas loin de 2 000 achats. Cela montre que c'est un produit qui répondait à une attente. Nous en avons vendu sur le continent mais aussi en Corse pour des clients réguliers de notre ligne vers Lyon.
- Pourquoi avoir choisi l'Autriche comme nouvelle destination ?
- En 2020, nous avions déjà débuté une collaboration avec une compagnie autrichienne qui volait pour un tour opérateur, "le Club alpin". Nous avions effectué quelques vols charter en août et cela avait été interrompu en septembre après l’apparition de la deuxième vague. La compagnie autrichienne ayant fait faillite, le Club Alpin et notre compagnie commercialisent désormais les vols Calvi-Salzbourg mais aussi des vols vers Vienne. Ce dimanche 20 juin, le premier vol vers la Corse était plein. L'année prochaine, si tout va bien, les vols vers Porto et la Scandinavie, qui sont actuellement des charters, devraient passer sur le même modèle de lignes régulières.
- D'autres destinations européennes en perspectives ?
Depuis février 2020, nous avons été forcés de priver les Corses de nos escapades européennes. Si tout se déroule comme prévu et que la situation sanitaire le permet, nous envisageons d’en reprogrammer dès novembre.
- On va dire qu'au moment où je vous parle tous les signaux permettent d’y croire. Il serait présomptueux de faire du triomphalisme le 21 juin car il reste beaucoup de sièges à vendre mais les tendances actuelles sont favorables. On se rend compte que les comportements d’achats sont comparables à ceux de l’avant-crise. Cela se confirme au gré de l’assouplissement des restrictions de déplacements. Donner la possibilité aux gens vaccinés de voyager sans faire de tests a véritablement contribué à la reprise. Aujourd'hui, Air Corsica dispose de 12 avions qui peuvent voler jusqu'à 120 fois par jour. On approche d'ailleurs régulièrement les 100 vols quotidiens c'est aussi pour cela que nous avons embauché 60 salariés saisonniers.
- Est-ce qu'une ligne vers l'hexagone se distingue ?
- La demande est assez homogène. Sur certaines lignes, lorsqu'on en a besoin, nous ajoutons des vols supplémentaires. C'est le cas par exemple sur le Figari-Marseille pour lundi prochain. Une ligne hors France se distingue toutefois, celle vers la Belgique qui représente 14 vols par semaine et ce n’est pas rien. Nous offrons 72 840 sièges dont 9 444 depuis Figari alors qu'il y a deux ans nous en proposions 44 124.
- Cela fait un peu plus d'un mois que vous avez lancé la carte "Air Corsica Mea", le public a-t-il adhéré ?
- Oui, elle a trouvé sa place sur le marché puisqu’on a enregistré pas loin de 2 000 achats. Cela montre que c'est un produit qui répondait à une attente. Nous en avons vendu sur le continent mais aussi en Corse pour des clients réguliers de notre ligne vers Lyon.
- Pourquoi avoir choisi l'Autriche comme nouvelle destination ?
- En 2020, nous avions déjà débuté une collaboration avec une compagnie autrichienne qui volait pour un tour opérateur, "le Club alpin". Nous avions effectué quelques vols charter en août et cela avait été interrompu en septembre après l’apparition de la deuxième vague. La compagnie autrichienne ayant fait faillite, le Club Alpin et notre compagnie commercialisent désormais les vols Calvi-Salzbourg mais aussi des vols vers Vienne. Ce dimanche 20 juin, le premier vol vers la Corse était plein. L'année prochaine, si tout va bien, les vols vers Porto et la Scandinavie, qui sont actuellement des charters, devraient passer sur le même modèle de lignes régulières.
- D'autres destinations européennes en perspectives ?
Depuis février 2020, nous avons été forcés de priver les Corses de nos escapades européennes. Si tout se déroule comme prévu et que la situation sanitaire le permet, nous envisageons d’en reprogrammer dès novembre.
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