Une Vie Violente, absent remarqué de la Cérémonie des Césars
Il est le grand absent de cette 43e cérémonie des Césars.Une Vie Violente de Thierry de Peretti, éligible dans toutes les catégories (voir visuel) est finalement absent de la compétition. Après avoir été présenté en séance spéciale à La Semaine de la Critique à Cannes, avoir reçu un accueil élogieux dans les médias et un succès public – plus de 100 000 entrées –, le film était attendu dans plusieurs catégories, dont :
• Meilleure actrice dans un second rôle pour Marie-Pierre Nouveau, impressionnante dans le rôle de la mère de Stéphane, alias Nicolas Montigny
• Meilleur réalisateur ou meilleur scénario original pour Thierry tant il a su rendre son sujet universel et le transposer à l’écran avec talent
• Meilleur espoir masculin surtout, une catégorie et un César qui tendait les bras à Jean Michelangelli pour son rôle de Stéphane
Récemment, sur France Inter, Thomas Baurez, journaliste à Studio Ciné Live n’hésitait pas à en faire sa « révélation de l’année », le comparant à d’illustres aînés. Le film participait également au Festival Télérama de janvier dernier, rassemblant les meilleurs longs métrages de l’année, en ressortant dans plus de 140 salles. La déception est d’autant plus grande de le voir ainsi écarté de cette préstigieuse cérémonies des Césars.
Du côté des satisfactions, Marie-Ange Luciani, la productrice originaire d’Ajaccio obtient, avec son film 120 Battements par Minute, pas moins de 13 nominations, le record de cette 43e édition. Et il est à prévoir qu’elle monte sur la scène du Châtelet en février pour recevoir la récompense suprême, celle de meilleur film de l’année. 120 Battements par Minute, récompensé à Cannes part également favori dans de nombreuses catégories. Hasard des calendriers, La Surface de Réparation, produit par Les Films de Pierre, maison de production de Marie-Ange, est à l’affiche du cinéma Le Régent à Bastia cette semaine. Un premier film coup de poing sur les petites arnaques dans le milieu du foot professionnel. L’occasion surtout de retrouver Franck Gastambide, grand habitué des comédies, ici dans un rôle à contre-emploi. Et qui sait, peut-être aux prochains Césars, pour l'édition 2019.
• Meilleure actrice dans un second rôle pour Marie-Pierre Nouveau, impressionnante dans le rôle de la mère de Stéphane, alias Nicolas Montigny
• Meilleur réalisateur ou meilleur scénario original pour Thierry tant il a su rendre son sujet universel et le transposer à l’écran avec talent
• Meilleur espoir masculin surtout, une catégorie et un César qui tendait les bras à Jean Michelangelli pour son rôle de Stéphane
Récemment, sur France Inter, Thomas Baurez, journaliste à Studio Ciné Live n’hésitait pas à en faire sa « révélation de l’année », le comparant à d’illustres aînés. Le film participait également au Festival Télérama de janvier dernier, rassemblant les meilleurs longs métrages de l’année, en ressortant dans plus de 140 salles. La déception est d’autant plus grande de le voir ainsi écarté de cette préstigieuse cérémonies des Césars.
Du côté des satisfactions, Marie-Ange Luciani, la productrice originaire d’Ajaccio obtient, avec son film 120 Battements par Minute, pas moins de 13 nominations, le record de cette 43e édition. Et il est à prévoir qu’elle monte sur la scène du Châtelet en février pour recevoir la récompense suprême, celle de meilleur film de l’année. 120 Battements par Minute, récompensé à Cannes part également favori dans de nombreuses catégories. Hasard des calendriers, La Surface de Réparation, produit par Les Films de Pierre, maison de production de Marie-Ange, est à l’affiche du cinéma Le Régent à Bastia cette semaine. Un premier film coup de poing sur les petites arnaques dans le milieu du foot professionnel. L’occasion surtout de retrouver Franck Gastambide, grand habitué des comédies, ici dans un rôle à contre-emploi. Et qui sait, peut-être aux prochains Césars, pour l'édition 2019.
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