Dans la réalisation de ce projet, deux visions s’opposent.
D’un côté U Levante qui dénonce le « gigantisme » de l’installation, sur 13 hectares, qui ne peut, selon l’association de défense de l’environnement, que prévaloir d’un intérêt économique. De l’autre, la jeune agricultrice du domaine de Pinia et ses associés qui défendent une démarche agricole et soucieuse de l’environnement. L’institut national pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (l’Inrae) est d’ailleurs associé à ce projet. La SCEA Curellu qui porte ce programme a également reçu l’aval du maire de Ghisonaccia, Francis Giudici qui leur a accordé le permis de construire.
De son côté, l’association de défense de l’environnement a déposé une requête en préfecture signalant certains manquements dans ce dossier et notamment l’avis de la CTPENAF (Commission territoriale de la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers de Corse). Affaire à suivre…
D’un côté U Levante qui dénonce le « gigantisme » de l’installation, sur 13 hectares, qui ne peut, selon l’association de défense de l’environnement, que prévaloir d’un intérêt économique. De l’autre, la jeune agricultrice du domaine de Pinia et ses associés qui défendent une démarche agricole et soucieuse de l’environnement. L’institut national pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (l’Inrae) est d’ailleurs associé à ce projet. La SCEA Curellu qui porte ce programme a également reçu l’aval du maire de Ghisonaccia, Francis Giudici qui leur a accordé le permis de construire.
De son côté, l’association de défense de l’environnement a déposé une requête en préfecture signalant certains manquements dans ce dossier et notamment l’avis de la CTPENAF (Commission territoriale de la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers de Corse). Affaire à suivre…