La propriété viticole de la famille Orenga, située entre Patromoniu, la Conca d’Oru et le Nebbiu, a entamé une lente conversion au bio.
« Même si la certification n'est prévue que dans les trois prochaines années, après avoir observé les réactions de la vigne, le vin Orenga ouvre progressivement ses cuves au bio. » - précise Philippe Rideau, l'œnologue enthousiaste et passionné, qui depuis vingt-cinq ans travaille pour ce cru.
Ce sont toutes les parcelles du domaine, les cinquante-six hectares Orenga ainsi que les vingt-huit du clos Saint Quilico pour un total de quatre-vingt-quatre hectares qui sont concernés par cet engagement.
Une initiative ambitieuse qui répond au désir de continuer à produire un vin de qualité dans le respect de la terre noble et généreuse qui nourrit les vignes de cette famille que depuis plus d'un demi siècle produit un vin d'exception dans le respect de la biodiversité et de l'équilibre biologique du terroir.
« Au niveau de la culture, cette conversion n'entraînera pas des bouleversements significatifs car les méthodes employées sur le Domaine s’inscrivaient déjà depuis longtemps dans une démarche raisonnée. - précise encore son Philippe Rideau - Sur ce cru, en effet, la production raisonne est depuis toujours une vraie philosophie : le vin doit être avant tout bon avant d'être bio. La conversion demandera plus d'efforts pour arriver à des vendanges saines mais même sans herbicides et produits de synthèse, on peut protéger la vigne, il y a simplement beaucoup de travail manuel. De toute façon, on se doit de protéger aussi ceux qui la travaillent et préserver. C'est une approche sensible à la biodynamie, qui prend notamment en considération aléas climatiques avec une production qui sera labellisée d’ici trois ans « agriculture biologique. ».
Mais pour modifier intégralement l’ approche de la vinification, et travailler le plus naturellement possible, sans adjuvants, Orenga de Gaffory en collaboration avec le CRVI (centre de recherche viticole de Corse), oeuvre pour la genèse d’une levure indigène.
En transition vers une viticulture 100% biologique, le domaine voudrait en effet donner au moût, aussi bien pour la structure du vin que pour son profil aromatique, une levure souche du terroir destinée à la fermentation des vines de ce Domaine qui souhaite un avenir serein pour ses vignobles.
Car aujourd'hui, être vigneron, c'est être un producteur responsable, capable de léguer aux générations futures une terre saine capable de produire des fruits de qualité.
« Même si la certification n'est prévue que dans les trois prochaines années, après avoir observé les réactions de la vigne, le vin Orenga ouvre progressivement ses cuves au bio. » - précise Philippe Rideau, l'œnologue enthousiaste et passionné, qui depuis vingt-cinq ans travaille pour ce cru.
Ce sont toutes les parcelles du domaine, les cinquante-six hectares Orenga ainsi que les vingt-huit du clos Saint Quilico pour un total de quatre-vingt-quatre hectares qui sont concernés par cet engagement.
Une initiative ambitieuse qui répond au désir de continuer à produire un vin de qualité dans le respect de la terre noble et généreuse qui nourrit les vignes de cette famille que depuis plus d'un demi siècle produit un vin d'exception dans le respect de la biodiversité et de l'équilibre biologique du terroir.
« Au niveau de la culture, cette conversion n'entraînera pas des bouleversements significatifs car les méthodes employées sur le Domaine s’inscrivaient déjà depuis longtemps dans une démarche raisonnée. - précise encore son Philippe Rideau - Sur ce cru, en effet, la production raisonne est depuis toujours une vraie philosophie : le vin doit être avant tout bon avant d'être bio. La conversion demandera plus d'efforts pour arriver à des vendanges saines mais même sans herbicides et produits de synthèse, on peut protéger la vigne, il y a simplement beaucoup de travail manuel. De toute façon, on se doit de protéger aussi ceux qui la travaillent et préserver. C'est une approche sensible à la biodynamie, qui prend notamment en considération aléas climatiques avec une production qui sera labellisée d’ici trois ans « agriculture biologique. ».
Mais pour modifier intégralement l’ approche de la vinification, et travailler le plus naturellement possible, sans adjuvants, Orenga de Gaffory en collaboration avec le CRVI (centre de recherche viticole de Corse), oeuvre pour la genèse d’une levure indigène.
En transition vers une viticulture 100% biologique, le domaine voudrait en effet donner au moût, aussi bien pour la structure du vin que pour son profil aromatique, une levure souche du terroir destinée à la fermentation des vines de ce Domaine qui souhaite un avenir serein pour ses vignobles.
Car aujourd'hui, être vigneron, c'est être un producteur responsable, capable de léguer aux générations futures une terre saine capable de produire des fruits de qualité.