Jeudi matin, les représentants de la CTC et de la mairie d’Ajaccio étaient sur le site pour une visite du chantier : Josépha Giacometti, conseillère exécutive en charge de la culture et du patrimoine, de l’éducation, la formation, de l’enseignement supérieur et de la recherche, Stéphane Sbraggia, premier adjoint au maire en charge des finances, Rose-Marie Ottavy, conseillère municipale, déléguée à l’urbanisme et au logement, Pierre-Paul Rossini, Directeur Général des Services, Antoine Maestrali, directeur de cabinet du maire et les principaux responsables du chantier.
- Pourquoi cette visite du chantier ?
Josépha Giacometti : « Le projet du collège 800 du Stiletto est extrêmement important et de temps à autre, nous effectuons une visite de chantier avec les représentants de la municipalité d’Ajaccio pour simplement voir l’avancement des travaux et se rendre compte que les délais sont respectés comme dans tout chantier. Nous allons doter ce site d’un établissement d’envergure qui va recevoir 800 élèves et les responsables nous ont fait un point complet sur les travaux sur les questions d’accessibilité mais aussi ce qui environne le positionnement de cet établissement. »
Un partenariat pour aller de l’avant…
- Entre le nouveau collège, l’hôpital, les immeubles et les structures environnantes, cela justifie effectivement une visite sur le terrain dans cette partie de la ville ?
- En effet, Il y a simplement une volonté d’aménager le territoire. La Collectivité Territoriale de Corse accompagne dans cette réflexion la mairie d’Ajaccio. Aujourd’hui, il nous faut véritablement ne pas subir des modèles de développement mais être bien évidemment à l’initiative des projets engagés depuis un moment et nous sommes ici pour repositionner les choses, les penser correctement et les orienter. Je crois qu’il y a un rééquilibrage qui est essentiel pour la ville d’Ajaccio, c’est ce que nous espérons réussir dans ce domaine avec la municipalité.
Le réseau routier va également changer de physionomie pour toutes ces structures qui s’implantent ?
- Le premier adjoint est sur place avec moi pour évoquer ce problème et nous travaillons en très bonne intelligence dans ce partenariat qui se construit. Il y a pour la CTC la nécessité d’un rééquilibrage territorial pour avoir une vision juste du territoire de la Corse et il est vrai qu’Ajaccio avait grand besoin d’infrastructures. Nous nous y sommes engagés et portons d’ailleurs un regard ambitieux sur le développement du grand Ajaccio.
- L’ouverture du collège est prévue pour la rentrée 2019, les délais de livraison seront-ils respectés ?
- Certainement. Nous nous sommes engagés et c’est la raison pour laquelle nous effectuons des visites régulières sur le terrain. Aujourd’hui nous ferons un point complet avec les responsables du chantier. Je pense que les délais seront respectés mais il nous reste à parler plus encore des infrastructures routières. Lorsqu’il s’est agit de construire une telle structure, il fallait penser à désengorger et penser intelligemment à l’entourage de ces établissements qui accueillent du public. Il y a des détails qui n’ont pas été pensés en amont et nous sommes là pour rectifier le tir avec notre partenaire. Nous nous efforçons de rééquilibrer et repenser toutes ces questions qui sont indispensables à la bonne marche.
Stéphane Sbraggia : concertation avant tout…
Pour Stéphane Sbraggia, premier adjoint de la commune, un nouveau collège à Ajaccio représente un événement d’importance :« C’est tout à fait vrai, une telle édification ce n’est pas anodin. C’est la raison pour laquelle un travail en concertation a été effectué entre les deux collectivités. Nous sommes déjà dans un espace urbain qui est dense et il est important de coordonner nos actions et d’avoir une vision cohérente et globale de l’aménagement de cet équipement. Cela permet une redistribution dans l’espace urbain du grand Ajaccio en termes de collège, surtout implanté dans un espace en plein développement. On sait que sur ces questions là, il y a la problématique des accès qui est importante, surtout lorsqu’on voit en particulier ce qui se fait autour avec l’hôpital notamment. Il est important d’avoir une vision prospective et apaisée des aménagements. Il est donc prépondérant de réfléchir de manière concertée sur le développement de ce type d’équipement dont on sait les effets, en termes d’environnement, très importants. »
- Pourquoi cette visite du chantier ?
Josépha Giacometti : « Le projet du collège 800 du Stiletto est extrêmement important et de temps à autre, nous effectuons une visite de chantier avec les représentants de la municipalité d’Ajaccio pour simplement voir l’avancement des travaux et se rendre compte que les délais sont respectés comme dans tout chantier. Nous allons doter ce site d’un établissement d’envergure qui va recevoir 800 élèves et les responsables nous ont fait un point complet sur les travaux sur les questions d’accessibilité mais aussi ce qui environne le positionnement de cet établissement. »
Un partenariat pour aller de l’avant…
- Entre le nouveau collège, l’hôpital, les immeubles et les structures environnantes, cela justifie effectivement une visite sur le terrain dans cette partie de la ville ?
- En effet, Il y a simplement une volonté d’aménager le territoire. La Collectivité Territoriale de Corse accompagne dans cette réflexion la mairie d’Ajaccio. Aujourd’hui, il nous faut véritablement ne pas subir des modèles de développement mais être bien évidemment à l’initiative des projets engagés depuis un moment et nous sommes ici pour repositionner les choses, les penser correctement et les orienter. Je crois qu’il y a un rééquilibrage qui est essentiel pour la ville d’Ajaccio, c’est ce que nous espérons réussir dans ce domaine avec la municipalité.
Le réseau routier va également changer de physionomie pour toutes ces structures qui s’implantent ?
- Le premier adjoint est sur place avec moi pour évoquer ce problème et nous travaillons en très bonne intelligence dans ce partenariat qui se construit. Il y a pour la CTC la nécessité d’un rééquilibrage territorial pour avoir une vision juste du territoire de la Corse et il est vrai qu’Ajaccio avait grand besoin d’infrastructures. Nous nous y sommes engagés et portons d’ailleurs un regard ambitieux sur le développement du grand Ajaccio.
- L’ouverture du collège est prévue pour la rentrée 2019, les délais de livraison seront-ils respectés ?
- Certainement. Nous nous sommes engagés et c’est la raison pour laquelle nous effectuons des visites régulières sur le terrain. Aujourd’hui nous ferons un point complet avec les responsables du chantier. Je pense que les délais seront respectés mais il nous reste à parler plus encore des infrastructures routières. Lorsqu’il s’est agit de construire une telle structure, il fallait penser à désengorger et penser intelligemment à l’entourage de ces établissements qui accueillent du public. Il y a des détails qui n’ont pas été pensés en amont et nous sommes là pour rectifier le tir avec notre partenaire. Nous nous efforçons de rééquilibrer et repenser toutes ces questions qui sont indispensables à la bonne marche.
Stéphane Sbraggia : concertation avant tout…
Pour Stéphane Sbraggia, premier adjoint de la commune, un nouveau collège à Ajaccio représente un événement d’importance :« C’est tout à fait vrai, une telle édification ce n’est pas anodin. C’est la raison pour laquelle un travail en concertation a été effectué entre les deux collectivités. Nous sommes déjà dans un espace urbain qui est dense et il est important de coordonner nos actions et d’avoir une vision cohérente et globale de l’aménagement de cet équipement. Cela permet une redistribution dans l’espace urbain du grand Ajaccio en termes de collège, surtout implanté dans un espace en plein développement. On sait que sur ces questions là, il y a la problématique des accès qui est importante, surtout lorsqu’on voit en particulier ce qui se fait autour avec l’hôpital notamment. Il est important d’avoir une vision prospective et apaisée des aménagements. Il est donc prépondérant de réfléchir de manière concertée sur le développement de ce type d’équipement dont on sait les effets, en termes d’environnement, très importants. »
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