- Que s'est-il passé à Berre ?
- Nous n'avons jamais pu vraiment rivaliser au niveau des avants. Sur ce plan on savait que Berre était monstrueux. Nous en avons eu la confirmation. Le club provençal peut compter, en effet, sur un groupe de 12 ou 13 avants. De notre côté nous avions quelques absents - Pagliai et Morelli notamment. Il nous a été difficile dans ces conditions de gagner des ballons, emportés que nous étions en mélées et en touches. Nous ne manquons pas de qualité mais quand en face vous avez à composer notamment avec un ancien du Stade Toulousain ou de l'Usap et qu'il vous manque du poids et de l'expérience, il n'est pas facile de soutenir la comparaison.
- Mais le résultat fait mal ?
- Oui. Nous pensions avoir les moyens de pouvoir nous accrocher mais nous avons déchanté. Mais il est vrai que cette équipe de Berre est avec Martigues et La Valette au-dessus du lot. Pourtant aujourd'hui je pense que, même après cette sortie ratée, nous ne sommes pas à notre véritable place. Mais pour espérer revenir vers ce milieu du tableau qui doit être le nôtre, la mobilisation doit être générale. Or, nous avions 18 joueurs à l'entraînement du début de semaine. Je comprends qu'il est difficile de "s'accrocher" après une telle déroute, mais il ne faut pas perdre de vue que l'objectif de cette saison sera le maintien.
- C'est toujours dans vos cordes ?
- Absolument. Nous avons toujours 6 points d'avance avec un match de retard sur le premier relégable Draguignan que nous aurons l'avantage de recevoir. Dès lors, avec trois victoire de plus nous devrions parvenir à nos fins. Mais attention quand même à nos pas brûler toutes nos cartouches…
- Aubagne que vous avez battu au match aller sera à Volpaghju dimanche ?
- Aubagne, c'est costaud devant c'est vrai, mais nettement bon que Berre derrière. Dès lors nous aurons, surtout avec le retour de Morelli devant et de Pery au niveau des lignes arrières, des arguments supplémentaires pour mettre encore plus de distance entre nous et Draguignan…
- Nous n'avons jamais pu vraiment rivaliser au niveau des avants. Sur ce plan on savait que Berre était monstrueux. Nous en avons eu la confirmation. Le club provençal peut compter, en effet, sur un groupe de 12 ou 13 avants. De notre côté nous avions quelques absents - Pagliai et Morelli notamment. Il nous a été difficile dans ces conditions de gagner des ballons, emportés que nous étions en mélées et en touches. Nous ne manquons pas de qualité mais quand en face vous avez à composer notamment avec un ancien du Stade Toulousain ou de l'Usap et qu'il vous manque du poids et de l'expérience, il n'est pas facile de soutenir la comparaison.
- Mais le résultat fait mal ?
- Oui. Nous pensions avoir les moyens de pouvoir nous accrocher mais nous avons déchanté. Mais il est vrai que cette équipe de Berre est avec Martigues et La Valette au-dessus du lot. Pourtant aujourd'hui je pense que, même après cette sortie ratée, nous ne sommes pas à notre véritable place. Mais pour espérer revenir vers ce milieu du tableau qui doit être le nôtre, la mobilisation doit être générale. Or, nous avions 18 joueurs à l'entraînement du début de semaine. Je comprends qu'il est difficile de "s'accrocher" après une telle déroute, mais il ne faut pas perdre de vue que l'objectif de cette saison sera le maintien.
- C'est toujours dans vos cordes ?
- Absolument. Nous avons toujours 6 points d'avance avec un match de retard sur le premier relégable Draguignan que nous aurons l'avantage de recevoir. Dès lors, avec trois victoire de plus nous devrions parvenir à nos fins. Mais attention quand même à nos pas brûler toutes nos cartouches…
- Aubagne que vous avez battu au match aller sera à Volpaghju dimanche ?
- Aubagne, c'est costaud devant c'est vrai, mais nettement bon que Berre derrière. Dès lors nous aurons, surtout avec le retour de Morelli devant et de Pery au niveau des lignes arrières, des arguments supplémentaires pour mettre encore plus de distance entre nous et Draguignan…
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