Benoît Tavenot : "On aborde ce match comme celui contre Laval, comme un match de coupe où il faut passer"
« Affronter une des 3 meilleures équipes de Ligue 2, c’est un match de gala pour nous », déclare l’entraîneur Benoît Tavenot. « Tous les matchs qui arrivent sont des matchs clés, car on a pris un peu de retard et on se doit de performer, d’avancer. Un tel match, contre une telle formation, permet de se jauger, car c’est du haut niveau de Ligue 2».
Si le Sporting l’avait emporté 2 buts à 1 le 20 septembre dernier à Furiani, depuis l’équipe parisienne n’a fait que monter en puissance. « Le PFC d’aujourd’hui est meilleur que le PFC que l’on a affronté en septembre. À nous de montrer que, nous aussi on a avancé aussi vite qu’eux »
Si l’on s’attarde sur les statistiques, le PFC est en tête dans bien des domaines :
Possession du ballon : 61%, devant Dunkerque et Metz 57%. À titre de comparaison le Sporting est à 51%. En termes de précision de passe : 86%, le Sporting 79%. « Le PFC est une équipe qui domine largement le championnat en termes de statistiques, bien devant Lorient et Metz », confirme B. Tavenot. « Pour l’affronter, il faut avoir le bon dispositif, les très bons ingrédients pour récupérer le ballon, car eux ne le rendent pas. De notre côté on a toujours idée d’être acteurs de nos matchs, peu importe le système et l’animation, ne jamais subir. Il faut donc être agressif lorsque c’est l’adversaire qui a le ballon ».
Comment donc aborder ce match contre cette grosse cylindrée ? « On l’aborde comme contre Laval, comme un match de coupe où il faut passer. Le souci c’est que le PFC est dans la même optique et qu’il est très très bon. À nous d’être encore meilleurs ».
6e à 4 matchs de la fin du championnat est, il faut le reconnaître, un bon classement.
Le SCB peut-il faire mieux ? « On arrive à la fin de la saison et je reste persuadé que le Sporting doit être capable de faire plusieurs choses, semaine après semaine, et pendant les matchs ».
Pour cette rencontre, Benoît Tavenot devra faire sans le défenseur Guevara, out pour blessure jusqu’à la fin de la saison, absent aussi l’attaquant Tramoni, qui, malade n’a pu s’entraîner normalement, et le milieu de terrain Etoga.
Si le Sporting l’avait emporté 2 buts à 1 le 20 septembre dernier à Furiani, depuis l’équipe parisienne n’a fait que monter en puissance. « Le PFC d’aujourd’hui est meilleur que le PFC que l’on a affronté en septembre. À nous de montrer que, nous aussi on a avancé aussi vite qu’eux »
Si l’on s’attarde sur les statistiques, le PFC est en tête dans bien des domaines :
Possession du ballon : 61%, devant Dunkerque et Metz 57%. À titre de comparaison le Sporting est à 51%. En termes de précision de passe : 86%, le Sporting 79%. « Le PFC est une équipe qui domine largement le championnat en termes de statistiques, bien devant Lorient et Metz », confirme B. Tavenot. « Pour l’affronter, il faut avoir le bon dispositif, les très bons ingrédients pour récupérer le ballon, car eux ne le rendent pas. De notre côté on a toujours idée d’être acteurs de nos matchs, peu importe le système et l’animation, ne jamais subir. Il faut donc être agressif lorsque c’est l’adversaire qui a le ballon ».
Comment donc aborder ce match contre cette grosse cylindrée ? « On l’aborde comme contre Laval, comme un match de coupe où il faut passer. Le souci c’est que le PFC est dans la même optique et qu’il est très très bon. À nous d’être encore meilleurs ».
6e à 4 matchs de la fin du championnat est, il faut le reconnaître, un bon classement.
Le SCB peut-il faire mieux ? « On arrive à la fin de la saison et je reste persuadé que le Sporting doit être capable de faire plusieurs choses, semaine après semaine, et pendant les matchs ».
Pour cette rencontre, Benoît Tavenot devra faire sans le défenseur Guevara, out pour blessure jusqu’à la fin de la saison, absent aussi l’attaquant Tramoni, qui, malade n’a pu s’entraîner normalement, et le milieu de terrain Etoga.
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