Stade d'Erbajolo CAB : 0 Paris FC : 0
Arbitre : M. Desiage
Avertissement : Grimaldi (44e) au CAB
CAB
Lombard, truchet, Petshi puis Ripart (80e), Rocher, Moretti, Tiberi, Doumbia puis Sonnerat (44e), Grimaldi, Bosqui, Mba, Benyahia puis Bourgeois (82e).
Paris FC
Demarconnay, Konate, Jean, Keita, Traore puis Poujol 74e), Kinkela, Ogounbiyi, Gamiette, Cantini, Lybohy, Socrier puis Chevalier (80e).
Ce CAB-Paris FC n'est pas une rencontre qui restera dans les annales du football bastiais. En effet au terme de 90 minutes soporifiques au cours desquelles il ne s'est pratiquement rien passé sur le terrain d'Erbajolo traversé par les averses, le CAB, qui n'avait plus aucune chance de se sauver sur le plan sportif, et le Paris FC, qui n'avait besoin que d'un point pour assurer son accession en Ligue 2, se sont séparés sur un 0 à 0 qui n'a jamais soulevé l'enthousiasme des spectateurs un peu plus nombreux qu'à l'habitude.
Le début de la partie avait certes donné un peu le ton que serait la soirée mais quand après la 20e minute de jeu le tir de Tiberi sur coup-franc frôla le montant gauche de Demarconnay puis quand un peu plus tard Petshi, sur une poussée de Benyahia, fut à deux doigts d'ouvrir la marque on pensait que la partie serait à la hauteur des enjeux de la soirée : la montée pour le Paris FC et le maintien pour le CAB.
La réplique du Paris FC vint sous la forme d'une frappe de Gamiette au-dessus de la transversale de Lombard puis d'une frappe du gauche à ras de terre de Keita, renvoyée par Rocher.
Et ce fut tout jusqu'à la pause.
Le match ne s'emballa pas davantage en seconde période au cours de laquelle on a noté, en tout et pour tout, une reprise de la tête de Benyahia qui de surcroit passa très largement à droite de la cage visiteuse.
Et comme de l'autre côté le Paris FC ne se montra pas plus entreprenant…
.Au coup de sifflet final les Parisiens pouvaient laisser éclater leur joie.
Quant au CAB, 15eme de la compétition, il est sportivement relégué en CFA.
Mais en terminant à la 15eme place devant Colomiers, il entretient aujourd'hui l'espoir d'un repêchage administratif.
Arbitre : M. Desiage
Avertissement : Grimaldi (44e) au CAB
CAB
Lombard, truchet, Petshi puis Ripart (80e), Rocher, Moretti, Tiberi, Doumbia puis Sonnerat (44e), Grimaldi, Bosqui, Mba, Benyahia puis Bourgeois (82e).
Paris FC
Demarconnay, Konate, Jean, Keita, Traore puis Poujol 74e), Kinkela, Ogounbiyi, Gamiette, Cantini, Lybohy, Socrier puis Chevalier (80e).
Ce CAB-Paris FC n'est pas une rencontre qui restera dans les annales du football bastiais. En effet au terme de 90 minutes soporifiques au cours desquelles il ne s'est pratiquement rien passé sur le terrain d'Erbajolo traversé par les averses, le CAB, qui n'avait plus aucune chance de se sauver sur le plan sportif, et le Paris FC, qui n'avait besoin que d'un point pour assurer son accession en Ligue 2, se sont séparés sur un 0 à 0 qui n'a jamais soulevé l'enthousiasme des spectateurs un peu plus nombreux qu'à l'habitude.
Le début de la partie avait certes donné un peu le ton que serait la soirée mais quand après la 20e minute de jeu le tir de Tiberi sur coup-franc frôla le montant gauche de Demarconnay puis quand un peu plus tard Petshi, sur une poussée de Benyahia, fut à deux doigts d'ouvrir la marque on pensait que la partie serait à la hauteur des enjeux de la soirée : la montée pour le Paris FC et le maintien pour le CAB.
La réplique du Paris FC vint sous la forme d'une frappe de Gamiette au-dessus de la transversale de Lombard puis d'une frappe du gauche à ras de terre de Keita, renvoyée par Rocher.
Et ce fut tout jusqu'à la pause.
Le match ne s'emballa pas davantage en seconde période au cours de laquelle on a noté, en tout et pour tout, une reprise de la tête de Benyahia qui de surcroit passa très largement à droite de la cage visiteuse.
Et comme de l'autre côté le Paris FC ne se montra pas plus entreprenant…
.Au coup de sifflet final les Parisiens pouvaient laisser éclater leur joie.
Quant au CAB, 15eme de la compétition, il est sportivement relégué en CFA.
Mais en terminant à la 15eme place devant Colomiers, il entretient aujourd'hui l'espoir d'un repêchage administratif.