Depuis le début des travaux du centre ville, ce marché s’est retrouvé excentré sur le grand parking du port de plaisance. Certes l’espace est plus grand, les exposants ont bénéficié de plus de place, et surtout, ils pouvaient aussi se placer contre leur véhicules, les clients pouvaient aussi facilement accéder à ce parking et se garer pour faire leurs achats.
A la fin des travaux de la zone piétonne, les résidents et les commerçants de la ville désiraient le retour du marché à son emplacement initial, car il faut savoir qu’un marché en centre-ville, permet comme dans bon nombre de villes, de faire travailler aussi les commerces proches.
Des polémiques ont retardé le retour du marché, certains allant même jusqu’à dire et à écrire que les commerçants du cœur de ville ne voulaient pas qu’il remonte.
Il a fallu que l’Association des commerçants « A Rinascita » fasse preuve de beaucoup de diplomatie pour arriver à un accord commun.
C’est maintenant chose faite, : le marché est plus aéré car il est plus étendu qu’avant, et après avoir interrogé plusieurs exposants , il s’avère que dans l’ensemble ils ne sont pas contre le fait d’être remontés mais qu’il faudrait que leurs conditions de travail soit prises en compte.
Des commerçants nous ont dit ,comme cette dame : "Avant j’étais installée au « marché marocain », puis je suis allée sur le port avec un chiffre d’affaire augmenté et maintenant ici en ville, je suis redescendue au même chiffre qu’au marché marocain, mais avec des inconvénients supplémentaires.Je pense que je retournerai au marché marocain ".
D’ autres nous ont expliqué ces inconvénients : ils sont obligés de venir de très bonne heure pour décharger leur marchandises et ensuite, chercher une place pour leur véhicule pas vraiment à proximité, car aucun emplacement ne leur est réservé. Le nouveau sens de la circulation les obligent à monter par la nouvelle déviation devant le monument aux morts, puis à aller jusqu’au cours Napoléon où là les uns après les autres essaient de trouver une place.
Et à 14 heures, en pleine chaleur, il faut repartir chercher son véhicule pour charger et s’en aller.
Une dame nous a dit : « De toute la semaine, je n’ai pas dormi en pensant à cette fatigue du Dimanche matin… Je ne sais pas si je vais continuer à venir »
Dans l’ensemble, même si des exposants sont prêts à accepter une diminution de leur chiffre d’affaire, ils sont d’accord pour être solidaires des commerçants de la ville et rester dans le centre, mais ils nous disent qu’il est impératif de trouver une solution à leurs difficultés .
Cette solution ne semble pas être insurmontable à réaliser et nul doute qu’à la municipalité, des gens compétents se pencheront positivement sur ce problème.
A la fin des travaux de la zone piétonne, les résidents et les commerçants de la ville désiraient le retour du marché à son emplacement initial, car il faut savoir qu’un marché en centre-ville, permet comme dans bon nombre de villes, de faire travailler aussi les commerces proches.
Des polémiques ont retardé le retour du marché, certains allant même jusqu’à dire et à écrire que les commerçants du cœur de ville ne voulaient pas qu’il remonte.
Il a fallu que l’Association des commerçants « A Rinascita » fasse preuve de beaucoup de diplomatie pour arriver à un accord commun.
C’est maintenant chose faite, : le marché est plus aéré car il est plus étendu qu’avant, et après avoir interrogé plusieurs exposants , il s’avère que dans l’ensemble ils ne sont pas contre le fait d’être remontés mais qu’il faudrait que leurs conditions de travail soit prises en compte.
Des commerçants nous ont dit ,comme cette dame : "Avant j’étais installée au « marché marocain », puis je suis allée sur le port avec un chiffre d’affaire augmenté et maintenant ici en ville, je suis redescendue au même chiffre qu’au marché marocain, mais avec des inconvénients supplémentaires.Je pense que je retournerai au marché marocain ".
D’ autres nous ont expliqué ces inconvénients : ils sont obligés de venir de très bonne heure pour décharger leur marchandises et ensuite, chercher une place pour leur véhicule pas vraiment à proximité, car aucun emplacement ne leur est réservé. Le nouveau sens de la circulation les obligent à monter par la nouvelle déviation devant le monument aux morts, puis à aller jusqu’au cours Napoléon où là les uns après les autres essaient de trouver une place.
Et à 14 heures, en pleine chaleur, il faut repartir chercher son véhicule pour charger et s’en aller.
Une dame nous a dit : « De toute la semaine, je n’ai pas dormi en pensant à cette fatigue du Dimanche matin… Je ne sais pas si je vais continuer à venir »
Dans l’ensemble, même si des exposants sont prêts à accepter une diminution de leur chiffre d’affaire, ils sont d’accord pour être solidaires des commerçants de la ville et rester dans le centre, mais ils nous disent qu’il est impératif de trouver une solution à leurs difficultés .
Cette solution ne semble pas être insurmontable à réaliser et nul doute qu’à la municipalité, des gens compétents se pencheront positivement sur ce problème.
(Photos Irène Ferrari)
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