Le vendredi Saint
«Christ est ressuscité ! Alléluia ! Il a vaincu la mort ! Alléluia ! » a clamé le Père Georges Nicoli, curé de ND de Lourdes. « Fais confiance au Seigneur, il t’écoutera. Fais confiance au Seigneur, il t’exaucera ».
Cette messe de Pâques clôturait le carême et la semaine sainte, elle aussi suivie par de nombreux chrétiens, malgré les restrictions dues à la pandémie : Laudes, adoration, chemin de croix, office des Ténèbres, office de la Passion, Pâques et la résurrection du Christ.
« Il est possible de toujours recommencer au-delà de nos échecs» a déclaré de son coté le Pape François dans son message de Pâques dimanche midi de Rome. « En ces sombres mois de pandémie, nous entendons le Seigneur ressuscité qui nous invite à recommencer, à ne jamais perdre l’espérance».
L’espérance est aussi le maitre mot du Père Georges Nicoli : «La résurrection est un très beau signe, signe de ce que peuvent faire la vie et l’amour contre le mal. Le Christ nous invite à changer de vie, de redonner la vie, l’amour. On ne peut vivre sans amour. Pâques est en quelque sorte une piqure de rappel qui nous dit - Ne soyez pas des morts vivants - . Ce virus est un défi pour l’église qui va devoir se questionner pour savoir comment appréhender la situation une fois celui-ci parti. Avec celui-ci et les masques on perdu beaucoup de signes de vie. On a peur du danger, de l’autre. Et quand le virus sera parti, osera t-on encore se faire la bise, aura-t-on encore peur de l’autre ?.Aujourd’hui il faut certes continuer à se préserver mais il faut vivre aussi. On a perdu un an avec ce covid et un an dans une vie c’est beaucoup. Aujourd’hui on vit masqué, on ne se reconnait plus dans la rue. C’est terrible. Le lendemain de la pandémie sera vraiment un défi pour les chrétiens. C’est pourquoi cette résurrection du Christ doit être un signe d’espérance, un signe de vie car le Christ nous dit – J’ai vaincu la mort-. En quelque sorte : Le mal et la mort n’auront pas le dernier mot »
Cette messe de Pâques clôturait le carême et la semaine sainte, elle aussi suivie par de nombreux chrétiens, malgré les restrictions dues à la pandémie : Laudes, adoration, chemin de croix, office des Ténèbres, office de la Passion, Pâques et la résurrection du Christ.
« Il est possible de toujours recommencer au-delà de nos échecs» a déclaré de son coté le Pape François dans son message de Pâques dimanche midi de Rome. « En ces sombres mois de pandémie, nous entendons le Seigneur ressuscité qui nous invite à recommencer, à ne jamais perdre l’espérance».
L’espérance est aussi le maitre mot du Père Georges Nicoli : «La résurrection est un très beau signe, signe de ce que peuvent faire la vie et l’amour contre le mal. Le Christ nous invite à changer de vie, de redonner la vie, l’amour. On ne peut vivre sans amour. Pâques est en quelque sorte une piqure de rappel qui nous dit - Ne soyez pas des morts vivants - . Ce virus est un défi pour l’église qui va devoir se questionner pour savoir comment appréhender la situation une fois celui-ci parti. Avec celui-ci et les masques on perdu beaucoup de signes de vie. On a peur du danger, de l’autre. Et quand le virus sera parti, osera t-on encore se faire la bise, aura-t-on encore peur de l’autre ?.Aujourd’hui il faut certes continuer à se préserver mais il faut vivre aussi. On a perdu un an avec ce covid et un an dans une vie c’est beaucoup. Aujourd’hui on vit masqué, on ne se reconnait plus dans la rue. C’est terrible. Le lendemain de la pandémie sera vraiment un défi pour les chrétiens. C’est pourquoi cette résurrection du Christ doit être un signe d’espérance, un signe de vie car le Christ nous dit – J’ai vaincu la mort-. En quelque sorte : Le mal et la mort n’auront pas le dernier mot »
La ressurection, signe d'espérance.
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