Quelles sont vos motivations ?
Lionel Sonnette, candidat UPR dans la 2ème circonscription de Haute-Corse
Je me sens très concerné, en tant que géologue et en tant que citoyen, par la gestion de nos ressources, le fonctionnement de la mondialisation et la manière dont nous gérons les problèmes environnementaux. Le capitalisme veut toujours produire plus avec moins ! On peut s’interroger sur la place que l’on laisse à l’humain…Il y a « progrès », on cherche l’expansion, le profit, mais les critères d’évaluation actuels ne me satisfont pas ; les critères primordiaux à prendre en compte sont le travail, le bonheur, on ne peut décemment croire à une « croissance » ou tendre vers elle, si on laisse de côté l’humain
Le choix de l’Union Populaire Républicaine et les idées phares
Tout naturellement, le candidat se retrouve dans les axes prônés par Asselineau ; tant sur le devenir des Universités et de la recherche, que sur le cheval de bataille, la sortie de l’Union Européenne.
« Le capitalisme n’est pas la solution, déclare L. Sonnette, en France on ne peut actuellement plus prendre de bonnes décisions en France, on ne peut appliquer des mesures saines, car nous devons nous référer à l’UE. La France devrait pouvoir faciliter la vie aux entreprises françaises, pouvoir se soucier du développement des emplois, de leur stabilisation. Qu’il s’agisse d’emploi, de fiscalité, d’environnement, de finances, nous avons les mains liées par cette Union Européenne. Avec les nombreux dysfonctionnements de l’UE, beaucoup de grandes entreprises ne règlent pas leurs taxes, il y a des évasions fiscales, des parts d’ombres sur certains échanges de capitaux, des pertes financières énormes et males contrôlées, sans compter les milliards donnés par la France, nous sommes d’ailleurs contributeurs positifs ! La sortie de l’UE est réellement le moyen de contrôler, de gérer, de faire des économies, de mettre un terme aux délocalisations »
« Le capitalisme n’est pas la solution, déclare L. Sonnette, en France on ne peut actuellement plus prendre de bonnes décisions en France, on ne peut appliquer des mesures saines, car nous devons nous référer à l’UE. La France devrait pouvoir faciliter la vie aux entreprises françaises, pouvoir se soucier du développement des emplois, de leur stabilisation. Qu’il s’agisse d’emploi, de fiscalité, d’environnement, de finances, nous avons les mains liées par cette Union Européenne. Avec les nombreux dysfonctionnements de l’UE, beaucoup de grandes entreprises ne règlent pas leurs taxes, il y a des évasions fiscales, des parts d’ombres sur certains échanges de capitaux, des pertes financières énormes et males contrôlées, sans compter les milliards donnés par la France, nous sommes d’ailleurs contributeurs positifs ! La sortie de l’UE est réellement le moyen de contrôler, de gérer, de faire des économies, de mettre un terme aux délocalisations »
L'UPR et le regard sur la Corse
La Corse, aux élections présidentielles a très peu voté pour l’UPR ; pourtant, quatre candidats sur quatre circonscriptions sont présents sur le territoire insulaire. Y a-t-il une attente particulière ici, et quel message l’UPR transmet elle aux corses ?
« En effet, sur la Corse, le parti fait un score minime ; mais il ne faut pas oublier que notre parti existe depuis 2007, il est encore méconnu du grand public et a souffert d’un manque de médiatisation. Mais ça ne veut pas dire qu’il n’intéresse pas les citoyens français. Preuve en est, François Asselineau a réussi à obtenir ses cinq cents parrainages à l’élection présidentielle, nous avons 28000 adhérents et sommes très motivés. On peut regarder le nombre d’investiture des autres partis, l’UPR a réussi à présenter 574 candidats sur 577 circonscriptions, et de fait est plus présent que France Insoumise, que le FN, et que la République En Marche. Notre but ici en Corse, et partout ailleurs, c’est d’augmenter ce score, de se faire connaître et transmettre nos idées. Concernant la Corse elle-même, à l’UPR nous sommes pour redorer l’image de la France, et accentuer la continuité territoriale. La Corse doit être intégrée, avoir de meilleurs services publics, on doit favoriser les échanges avec le continent. Nous souhaitons redynamiser les zones rurales, lutter contre l’isolement, prendre en compte les particularités insulaires, tout comme dans les DOM TOM, et proposer des choses plus intéressantes.
Quant à la sortie de l’Union européenne et l’impact pour la Corse, en tant que citoyen, l’habitant de l’île donne déjà énormément à l’UE ; le retour en termes d’aides financières, de subventions, n’est pas si énorme : en regardant les données insee à ce sujet on se rend vite compte que la France donne beaucoup plus à la Corse que l’UE. Aussi, nous nous assurerons qu’il n’y ait plus de spéculation immobilière en Corse, il y aura des mesures de contrôle en local, pour le moment ce n’est tout simplement pas faisable, car les traités européens nous l’interdisent ».
Le mot de la fin de Lionel Sonnette
« Je veux porter le combat de la Défense de la Ruralité, et pour la Corse, favoriser sa culture et défendre sa langue ».
« En effet, sur la Corse, le parti fait un score minime ; mais il ne faut pas oublier que notre parti existe depuis 2007, il est encore méconnu du grand public et a souffert d’un manque de médiatisation. Mais ça ne veut pas dire qu’il n’intéresse pas les citoyens français. Preuve en est, François Asselineau a réussi à obtenir ses cinq cents parrainages à l’élection présidentielle, nous avons 28000 adhérents et sommes très motivés. On peut regarder le nombre d’investiture des autres partis, l’UPR a réussi à présenter 574 candidats sur 577 circonscriptions, et de fait est plus présent que France Insoumise, que le FN, et que la République En Marche. Notre but ici en Corse, et partout ailleurs, c’est d’augmenter ce score, de se faire connaître et transmettre nos idées. Concernant la Corse elle-même, à l’UPR nous sommes pour redorer l’image de la France, et accentuer la continuité territoriale. La Corse doit être intégrée, avoir de meilleurs services publics, on doit favoriser les échanges avec le continent. Nous souhaitons redynamiser les zones rurales, lutter contre l’isolement, prendre en compte les particularités insulaires, tout comme dans les DOM TOM, et proposer des choses plus intéressantes.
Quant à la sortie de l’Union européenne et l’impact pour la Corse, en tant que citoyen, l’habitant de l’île donne déjà énormément à l’UE ; le retour en termes d’aides financières, de subventions, n’est pas si énorme : en regardant les données insee à ce sujet on se rend vite compte que la France donne beaucoup plus à la Corse que l’UE. Aussi, nous nous assurerons qu’il n’y ait plus de spéculation immobilière en Corse, il y aura des mesures de contrôle en local, pour le moment ce n’est tout simplement pas faisable, car les traités européens nous l’interdisent ».
Le mot de la fin de Lionel Sonnette
« Je veux porter le combat de la Défense de la Ruralité, et pour la Corse, favoriser sa culture et défendre sa langue ».