Le 8 octobre, un adjoint de sécurité de 28 ans a été grièvement brûlé dans une attaque au cocktail Molotov d'un véhicule de police à Viry-Châtillon (Essonne). C'est de cette agression que part le mouvement de protestation des policiers. Ils considèrent que les syndicats, qui ne sont pas solidaires du mouvement, ne font pas valoir leurs droits. Les "gardiens de la paix" demandent plus de moyens, et un droit à la présomption d'innocence en cas d'utilisation de leurs armes lors des interventions.
Parmi les manifestants ce dimanche soir, Romain, récemment muté en Corse, après quinze ans sur le terrain à Paris. Le policier n'a pas voulu communiquer son nom et son grade. Particulièrement remonté contre les syndicats, il a tenu a témoigner de son soutien à la mobilisation, et du ras-le-bol général des forces de l'ordre.
Parmi les manifestants ce dimanche soir, Romain, récemment muté en Corse, après quinze ans sur le terrain à Paris. Le policier n'a pas voulu communiquer son nom et son grade. Particulièrement remonté contre les syndicats, il a tenu a témoigner de son soutien à la mobilisation, et du ras-le-bol général des forces de l'ordre.
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