La Corse ne fait pas exception à la règle nationale. La discorde entre amis s’envenime à droite, comme à gauche et, qui sait peut-être même chez les nationalistes, mais le jugement attendu de Paris règlera-t-il les déceptions, les amertumes, les malentendus et les colères en même temps que les investitures ? Pas sûr !
Les Territoriales de mars 2010, par le succès des uns, l’échec des autres et le score inattendu et spectaculaire des nationalistes, ont changé la donne politique en Corse.
Un vent nouveau s’est levé, porteur d’ambitions et de personnalités plus jeunes, et s’est renforcé au premier scrutin intermédiaire des cantonales. Les ambitions écloses se cristallisent autour d’une bataille d’investitures qui fait désordre au sein des partis traditionnels mais qui ne semblent pas toucher les composantes nationalistes, grand vainqueur des Territoriales.
N. M.
Les Territoriales de mars 2010, par le succès des uns, l’échec des autres et le score inattendu et spectaculaire des nationalistes, ont changé la donne politique en Corse.
Un vent nouveau s’est levé, porteur d’ambitions et de personnalités plus jeunes, et s’est renforcé au premier scrutin intermédiaire des cantonales. Les ambitions écloses se cristallisent autour d’une bataille d’investitures qui fait désordre au sein des partis traditionnels mais qui ne semblent pas toucher les composantes nationalistes, grand vainqueur des Territoriales.
N. M.