Lors du premier tour des législatives, les candidats de la Corse insoumise ont recueilli près de 6% dans les deux circonscriptions de la Corse du Sud.
Nous tenons à saluer vivement les électeurs qui nous ont accordé leur confiance.
Rappelons que Jean-Luc Mélenchon a obtenu près de 20%, 14% en Corse, lors du 1er tour de l’élection présidentielle.
La forte abstention, avec 52%, parce qu’elle représente un record jamais égalé sous la Ve République, pose la question de la crédibilité du politique aux yeux des citoyens. Et si elle exprime le rejet des compromissions en tout genre, de la caste, de la finance et des dynasties politiques, elle ne peut être la réponse adaptée puisqu’elle favorise les représentants de ce système qu’elle dénonce.
La Gauche n’était pas rassemblée. Son score est loin de refléter sa véritable audience. Malgré cela la Corse insoumise/la France insoumise est devenue la première force d’opposition à la Droite macroniste.
Les nationalistes et les autonomistes, unis pour la circonstance, seront présents dans trois des quatre circonscriptions insulaires. Ce sont les principaux bénéficiaires de ces élections. La dynamique des dernières élections régionales explique en grande partie ce résultat.
Désormais, il s’agit d’œuvrer à la construction d’un mouvement soucieux de l’intérêt général humain, sans compromission et sur la base d’un programme de rupture, l’Avenir en Commun, pour une Corse solidaire, écologique et démocratique.
La Corse insoumise prendra toute sa place dans le bloc de résistance sociale contre le démantèlement du droit du travail, pour la défense du pouvoir d’achat des plus modestes et des retraités, bref contre « l’ubérisation » de notre société et la généralisation du temps de travail partiel subi qui n’offre que peu de chances de se réaliser à une jeunesse déjà particulièrement maltraitée.
Pour le deuxième tour des élections législatives, la Corse insoumise ne donnera pas de consigne de vote. Ses électeurs seront en capacité de faire leur choix en toute liberté de conscience. Mais d’ores et déjà une dynastie est tombée et la deuxième, Roccaserriste, peut très bien prendre le même chemin.
La Corse insoumise est prête au rassemblement et au dialogue avec toutes les mouvements politiques, syndicaux et associatifs pour travailler à la construction de la nouvelle force de transformation sociale, écologique et démocratique. Elle y est prête sans à priori et sans esprit hégémonique.
Nous tenons à saluer vivement les électeurs qui nous ont accordé leur confiance.
Rappelons que Jean-Luc Mélenchon a obtenu près de 20%, 14% en Corse, lors du 1er tour de l’élection présidentielle.
La forte abstention, avec 52%, parce qu’elle représente un record jamais égalé sous la Ve République, pose la question de la crédibilité du politique aux yeux des citoyens. Et si elle exprime le rejet des compromissions en tout genre, de la caste, de la finance et des dynasties politiques, elle ne peut être la réponse adaptée puisqu’elle favorise les représentants de ce système qu’elle dénonce.
La Gauche n’était pas rassemblée. Son score est loin de refléter sa véritable audience. Malgré cela la Corse insoumise/la France insoumise est devenue la première force d’opposition à la Droite macroniste.
Les nationalistes et les autonomistes, unis pour la circonstance, seront présents dans trois des quatre circonscriptions insulaires. Ce sont les principaux bénéficiaires de ces élections. La dynamique des dernières élections régionales explique en grande partie ce résultat.
Désormais, il s’agit d’œuvrer à la construction d’un mouvement soucieux de l’intérêt général humain, sans compromission et sur la base d’un programme de rupture, l’Avenir en Commun, pour une Corse solidaire, écologique et démocratique.
La Corse insoumise prendra toute sa place dans le bloc de résistance sociale contre le démantèlement du droit du travail, pour la défense du pouvoir d’achat des plus modestes et des retraités, bref contre « l’ubérisation » de notre société et la généralisation du temps de travail partiel subi qui n’offre que peu de chances de se réaliser à une jeunesse déjà particulièrement maltraitée.
Pour le deuxième tour des élections législatives, la Corse insoumise ne donnera pas de consigne de vote. Ses électeurs seront en capacité de faire leur choix en toute liberté de conscience. Mais d’ores et déjà une dynastie est tombée et la deuxième, Roccaserriste, peut très bien prendre le même chemin.
La Corse insoumise est prête au rassemblement et au dialogue avec toutes les mouvements politiques, syndicaux et associatifs pour travailler à la construction de la nouvelle force de transformation sociale, écologique et démocratique. Elle y est prête sans à priori et sans esprit hégémonique.