C’est en plein cœur de ville, à proximité de la halle au marché, sur la terrasse d’un hôtel ajaccien, que Laurent Marcangeli a fait l’annonce officielle de sa candidature. De nombreux élus de sa majorité municipale, amis et famille étaient venus le soutenir dans sa démarche. Si le premier magistrat de la cité impériale avait cédé son siège au profit de Jean-Jacques Ferrara aux dernières élections législatives, cette fois, c'est lui qui revient sur la scène de la députation. Un choix assumé et réfléchi qui « va au-delà de l’affection et l’amitié partagée et qui est imposé par un temps politique. Aujourd’hui, il s’agit de défendre une circonscription, et de décider qui sera le candidat qui pourra le mieux y parvenir et rassembler ».
Une priorité sur le harcèlement scolaire
Avec son expérience lors du dernier scrutin territorial et les soutiens acquis, Laurent Marcangeli, qui aura pour suppléant Xavier Lacombe, le maire de Peri, pense donc être celui qui saura convaincre et celui sera apte à affronter es batailles et projets qu’il souhaite mener à cet échelon national.
« La question corse est évidemment importante et mérite d'être débattue mais il y a des sujets nationaux et notamment un qui me tiendra particulièrement à cœur si j’accède à ce mandat. C’est la problématique du harcèlement scolaire. Aujourd’hui, j’entends tous les jours des parents qui sont en souffrance et d’autant plus leurs enfants. Parfois nous assistons à des tragédies, certains enfants en arrivent à préférer se donner la mort. Le décès d’un enfant est insupportable. Je mettrai donc une priorité à combattre ce fléau de harcèlement scolaire. Par ailleurs, j’ai choisi le slogan « la Corse unie » car on ne peut rester insensible face aux derniers affrontements que nous avons connus dernièrement. Il y a eu des divisions, de la violence, il est crucial que notre jeunesse et plus largement la Corse puissent retrouver apaisement et union ».
« Rester un élu local et de proximité »
Si Laurent Marcangeli ne dévoile pas encore les discussions internes relatives à sa succesion à la "Maison Carrée" d'Ajaccio, il se veut rassurant quant à la continuité du travail effectué à la Mairie mais également à la CAPA qu’il préside.
« Je travaille depuis longtemps sur les projets accompagné d’une équipe que je connais bien, en laquelle j’ai confiance. Si je l’emporte à cette élection législative, je ne renierai pas mon engagement local et continuerai à siéger tant à la ville qu’à la CAPA en tant que conseiller, d’une part parce que cette ville et cette agglomération me tiennent à cœur, et d’autre part, parce que je considère qu’un député ne doit en aucun cas être déconnecté de son territoire et doit demeurer un élu de proximité ».
Laurent Marcangeli est serein quant au départ de cette campagne. Il se dit prêt et enthousiaste à l’idée de débattre et échanger avec ses adversaires. « Il faut avoir du courage pour mettre son nom sur un bulletin, son visage sur une affiche et défendre son programme. Peu importe les sensibilités politiques, il faut respecter la démarche ».
Une priorité sur le harcèlement scolaire
Avec son expérience lors du dernier scrutin territorial et les soutiens acquis, Laurent Marcangeli, qui aura pour suppléant Xavier Lacombe, le maire de Peri, pense donc être celui qui saura convaincre et celui sera apte à affronter es batailles et projets qu’il souhaite mener à cet échelon national.
« La question corse est évidemment importante et mérite d'être débattue mais il y a des sujets nationaux et notamment un qui me tiendra particulièrement à cœur si j’accède à ce mandat. C’est la problématique du harcèlement scolaire. Aujourd’hui, j’entends tous les jours des parents qui sont en souffrance et d’autant plus leurs enfants. Parfois nous assistons à des tragédies, certains enfants en arrivent à préférer se donner la mort. Le décès d’un enfant est insupportable. Je mettrai donc une priorité à combattre ce fléau de harcèlement scolaire. Par ailleurs, j’ai choisi le slogan « la Corse unie » car on ne peut rester insensible face aux derniers affrontements que nous avons connus dernièrement. Il y a eu des divisions, de la violence, il est crucial que notre jeunesse et plus largement la Corse puissent retrouver apaisement et union ».
« Rester un élu local et de proximité »
Si Laurent Marcangeli ne dévoile pas encore les discussions internes relatives à sa succesion à la "Maison Carrée" d'Ajaccio, il se veut rassurant quant à la continuité du travail effectué à la Mairie mais également à la CAPA qu’il préside.
« Je travaille depuis longtemps sur les projets accompagné d’une équipe que je connais bien, en laquelle j’ai confiance. Si je l’emporte à cette élection législative, je ne renierai pas mon engagement local et continuerai à siéger tant à la ville qu’à la CAPA en tant que conseiller, d’une part parce que cette ville et cette agglomération me tiennent à cœur, et d’autre part, parce que je considère qu’un député ne doit en aucun cas être déconnecté de son territoire et doit demeurer un élu de proximité ».
Laurent Marcangeli est serein quant au départ de cette campagne. Il se dit prêt et enthousiaste à l’idée de débattre et échanger avec ses adversaires. « Il faut avoir du courage pour mettre son nom sur un bulletin, son visage sur une affiche et défendre son programme. Peu importe les sensibilités politiques, il faut respecter la démarche ».