Journée de recueillement et du souvenir lundi au cimetière d'Ajaccio en présence des délégations d'anciens combattants, des représentants politiques à savoir Dominique Bucchini, président de l'Assemblée de Corse, Simon Renucci, maire d'Ajaccio, Paul-Antoine Luciani, premier adjoint, J.J. Ferrara, représentant le député de la circonscription d'Ajaccio, François Casasoprana, représentant le président du Conseil Général de la Corse du Sud, Rémi Bataille, directeur de cabinet du préfet, Jacques Vergellati, directeur de l'Office Départemental des Anciens Combattants de la Corse-du-Sud et Ange-Mathieu Colonna, président du Mémorial AFN qui a rappelé dans un discours la sacrifice des soldats insulaires et salué leur mémoire non sans avoir mis l'accent sur leur courage et leur dévouement.
Le directeur de cabinet du préfet a donné lecture de la lettre du Ministre délégué aux Anciens Combattants, dans laquelle il a rappelé l'hommage de la France aux victimes civiles: "La France aujourd'hui pleure ses morts. L'Etat est et restera aux côtés des victimes et de leurs familles. Plus de 50 ans après la fin de cette guerre, c'est désormais une mémoire apaisée qui doit être recherchée. Respect solidarité, rassemblement, telle est la perspective dans laquelle doivent se placer les acteurs et témoins de cette période. La cérémonie s'inscrit dns cette perspective. Elle permet d'avancer dans le travail de mémoire et encourage la transition à l'égard des jeunes qui seront demain les porteurs de notre mémoire réconciliée entre Français. Pour que l'avenir soit celui de la reconciliation et de la paix, rendons hommage aux victimes, ne les oublions pas..."
Les différentes délégations ont procédé ensuite au dépot de gerbes, suivie de la sonnerie aux morts et du salut aux porte-drapeaux.
J. F.
Le directeur de cabinet du préfet a donné lecture de la lettre du Ministre délégué aux Anciens Combattants, dans laquelle il a rappelé l'hommage de la France aux victimes civiles: "La France aujourd'hui pleure ses morts. L'Etat est et restera aux côtés des victimes et de leurs familles. Plus de 50 ans après la fin de cette guerre, c'est désormais une mémoire apaisée qui doit être recherchée. Respect solidarité, rassemblement, telle est la perspective dans laquelle doivent se placer les acteurs et témoins de cette période. La cérémonie s'inscrit dns cette perspective. Elle permet d'avancer dans le travail de mémoire et encourage la transition à l'égard des jeunes qui seront demain les porteurs de notre mémoire réconciliée entre Français. Pour que l'avenir soit celui de la reconciliation et de la paix, rendons hommage aux victimes, ne les oublions pas..."
Les différentes délégations ont procédé ensuite au dépot de gerbes, suivie de la sonnerie aux morts et du salut aux porte-drapeaux.
J. F.