"Lors de cette réunion, Mme Martini et Dumè Tafani, vice-présidents de l'Associu Sulidarità ont longuement abordé la problématique des prisonniers politiques corses : rapprochements, statut DPS, longueur des procédures, aménagement de peines et inscription au fichier FIJAIT des condamnés libérés..." souligne l'Associu dans un communiqué
"Mr Fillon a déclaré que s'il était élu, il ferait voter la loi sur les rapprochements, bloquée au Sénat depuis plusieurs années. Il s'est aussi engagé à faire enlever le statut DPS afin que nos prisonniers bénéficient du rapprochement. Enfin il est conscient que l'inscription au fichier FIJAIT (obligation de pointer régulièrement au commissariat, de déclarer tout déménagement et voyage...) ne devait pas s'appliquer à nous et qu'une solution "facile" serait trouvée" rapporte encore Sulidarità
Les représentants de Sulidarità ont également abordé la question de l'amnistie. "Nous avons expliqué que les Corses avaient trouvé la voie de la paix mais que nous n'avions pas, pour l'instant, de volonté du coté de la France". Camille De Rocca Serra a souligné que "les Républicains en Corse soutenaient le projet d'amnistie (sauf pour les crimes de sang)".
"En réponse, François Fillon nous a indiqué que la décision du FLNC de déposer les armes en 2014, la paix retrouvée sur l'île, devaient permettre d'ouvrir une nouvelle page entre la Corse et l'état français."
Aujourd'hui "l'Associu Sulidarità, fidèle à ses engagements, attend d'être reçu par les autres candidats se rendant en Corse. Des contacts ont été pris avec les soutiens insulaires des candidats afin d'organiser des rencontres lors des déplacements sur l'île ."
"Mr Fillon a déclaré que s'il était élu, il ferait voter la loi sur les rapprochements, bloquée au Sénat depuis plusieurs années. Il s'est aussi engagé à faire enlever le statut DPS afin que nos prisonniers bénéficient du rapprochement. Enfin il est conscient que l'inscription au fichier FIJAIT (obligation de pointer régulièrement au commissariat, de déclarer tout déménagement et voyage...) ne devait pas s'appliquer à nous et qu'une solution "facile" serait trouvée" rapporte encore Sulidarità
Les représentants de Sulidarità ont également abordé la question de l'amnistie. "Nous avons expliqué que les Corses avaient trouvé la voie de la paix mais que nous n'avions pas, pour l'instant, de volonté du coté de la France". Camille De Rocca Serra a souligné que "les Républicains en Corse soutenaient le projet d'amnistie (sauf pour les crimes de sang)".
"En réponse, François Fillon nous a indiqué que la décision du FLNC de déposer les armes en 2014, la paix retrouvée sur l'île, devaient permettre d'ouvrir une nouvelle page entre la Corse et l'état français."
Aujourd'hui "l'Associu Sulidarità, fidèle à ses engagements, attend d'être reçu par les autres candidats se rendant en Corse. Des contacts ont été pris avec les soutiens insulaires des candidats afin d'organiser des rencontres lors des déplacements sur l'île ."
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