7e minute, scène de joie après le but splendie de Lasne (Ritrattu PQR / La Dépêche du Midi / Michel Viala)
Stadium di Toulouse, Sabbatu u 9 di Nuvembri di u 2013
Tempu : Frescu ; Tarrenu : Bonu
Spetattori : Circa 17 000
Toulouse FC – AC Aiacciu (1-1 MT)
Scopi : Lasne (7a) pà l’ACA ; Sylla (42a) pà u TFC
Avvertimenti : Spajic, Zebina pà u TFC ; Perozo, Lasne pà l’ACA
Arbitru : Sgiò Duhamel
ACA : Ochoa – Hengbart, Zubar (Tonucci 64a), Perozo, Dielna – Lasne Pierazzi (Cap.), Mostefa, André (Goncalvès 47a) -Tallo, Oliech (Eduardo 47a)
Bancu : Sissoko, Cavalli, Bonnart, Eduardo, Goncalvès, Tonucci, Belghazouani
Add. : Ch. Bracconi
TFC : Ahamada – Sapjic, Zebina (Cap.), Yoago, Aguilar, Aurier, Chantôme, Trejo (Didot 82a), Sylla, Braithwaite (Ben Basat 64a), Ben Yedder (Regattin 78a)
Bancu : Blondel, Ben Basat, Mobandje, Regattin Sirieix, Didot, Ninkov
Add ; A. Casanova
U Scontru
La première occasion est à mettre à l’actif des Toulousains. Sur un tacle violent sur Mostefa, les locaux partent en contre, Chantôme hérite de la balle coté droit et frappe de l’extérieur de la surface, sans cadrer (5a). Mais sur l’action suivante, Paul Lasne presse puis chipe le ballon à Yago, la défense se dégage très mal, et le milieu de terrain se voit offrir un cadeau, qu’il enroule magistralement pied gauche, c’est au ras du poteau d’Ahamada, et ça fait 1-0 pour les blancs ! (7a). Le TFC réagit, sur un mauvais dégagement, Oscar Trejo frappe sans contrôle et fort, mais c’est pour Ochoa. La solidité fait loi dans cette première période, et l’ACA ne se fait pas prier pour écarter le danger. Mais alors que le rythme baisse, Ochoa va s’employer, pour capter un extérieur d’Aurier, au point de pénalty (22a). Dans la foulée, la défense se désorganise, et Sylla ne cadre pas le ballon de l’égalisation, coté gauche de la surface. Mais les locaux vont insister, 40e minute, attaque placée et cafouillage énorme dans la défense Ajaccienne, Aurier est seul pour frapper aux 15m, mais Ochoa parade avec assurance, dans une action très chaude. L’ACA souffle, pas pour longtemps, car à force de reculer, les Oursons se crispent. Centre d’Aurier pour Sylla, qui reprendre en force devant Ochoa, qui ne peut rien : 1-1. L’arrière garde se disloque, et après Dielna sur le but, Zubar se troue, et laisse Braithwaite seul aux onze mètres, mais l’attaquant ne cadre miraculeusement pas (45+3).
La tension monte d’un cran après la pause, et Mr Duhamel multiplie les coup-francs pour Toulouse. Sur l’un d’eux, Aurier ne parvient pas à redresser le ballon, alors que la pression est présente dans la surface. Toulouse appuie, l’ACA continue de reculer et va en plus souffrir de son mal le plus profond : après André, Zubar se blesse en taclant et laisse son poste à Tonucci. Les Acéistes souffrent, mais Toulouse n’est pas très performant dans la transmission, fort heureusement. Au fil des minutes, l’ACA s’essouffle et montre d’inquiétants signes de fatigue musculaire et physique. Ochoa s’emploie par trois fois pour éviter la catastrophe. Le point du nul tient du miracle. Sur un dernier tir, le portier Mexicain se détend, et permet à son équipe de conserver le point du nul.
L'ACA
Dans un 4-4-1-1 très simple, afin de stabiliser le bloc, l'équipe version Bracconi s'est targuée d'une entame de match parfaite, avec un but dont seul Paul Lasne a le secret. La premierère mi-temps a été disputée avec engagement et de la conviction dans les gestes, malgré l'oublie de replacement de Dielna sur l'égalisation Toulousaine. Après la sortie d'André, le nouveau coach fut obligé de changer de tactique, et de passer dans un 4-1-4-1 qui laissa peu de place au spectacle.
Cassés physiquement, les joueurs de l'ACA sont ce soir difficilement critiquables, tant ils ont su assurer l'essentiel. On notera un match parfait d'Ochoa, de la continuité pour Zubar, et aussi un match correct d'Hengbart pour son retour. J-B Pierazzi a su montrer l'exemple en tant que capitaine, de même qu'André, repositionné offensif droit. Petit bémol avec un match plutôt terne pour Mostefa, et un manque d'intelligence latent pour Tallo.
Cassés physiquement, les joueurs de l'ACA sont ce soir difficilement critiquables, tant ils ont su assurer l'essentiel. On notera un match parfait d'Ochoa, de la continuité pour Zubar, et aussi un match correct d'Hengbart pour son retour. J-B Pierazzi a su montrer l'exemple en tant que capitaine, de même qu'André, repositionné offensif droit. Petit bémol avec un match plutôt terne pour Mostefa, et un manque d'intelligence latent pour Tallo.
L'Avversariu
Les Toulousains devaient se rassurer après une sévère correction cinq buts à un contre Rennes. Dominateurs après le but de Lasne, les locaux étaient pourtant très fébriles en défense, et aurait même pu encaisser un second but devant une attaque plus tranchante.
Serge Aurier a une fois de plus montré tout son talent, de même que le jeune buteur, Sylla, vraiment très à l'aise sur son côté. Braithwaite a manqué la balle du 2-1 juste avant la pause, et ne s'est contenté que de quelques tirs mal inspirés. Au milieu, on soulignera la solidité de Chantôme, en métronome, et celle de Spajic en défense.
Serge Aurier a une fois de plus montré tout son talent, de même que le jeune buteur, Sylla, vraiment très à l'aise sur son côté. Braithwaite a manqué la balle du 2-1 juste avant la pause, et ne s'est contenté que de quelques tirs mal inspirés. Au milieu, on soulignera la solidité de Chantôme, en métronome, et celle de Spajic en défense.
U Bilanciu
Mission accomplie, pourrait-on dire. Mais à quel prix? Le point glané par l'ACA à Toulouse tient du miracle, dans les joueurs paraissaient émoussés et physiquement cassés.
Ronald Zubar passera rapidement des examens, après sa gêne ressentie à la cuisse, qui l'a forcé à sortir. L'ACA a souffert donc, mais a, mine de rien, assuré l'essentiel. Cela prouve que mentalement, le groupe n'a jamais lâché. Le coeur de l'Ours bat encore!
L'hà detta :
Christian Bracconi : "Vu les conditions et les circonstances, et la fatigue qui est la nôtre, c'est un très bon point de pris. Je félicite mes joueurs qui ont été héroïques ce soir et qui se sont battus avec leurs moyens. On aurait aimé jouer un peu plus, mais on a su résister avec nos atouts"
Ronald Zubar passera rapidement des examens, après sa gêne ressentie à la cuisse, qui l'a forcé à sortir. L'ACA a souffert donc, mais a, mine de rien, assuré l'essentiel. Cela prouve que mentalement, le groupe n'a jamais lâché. Le coeur de l'Ours bat encore!
L'hà detta :
Christian Bracconi : "Vu les conditions et les circonstances, et la fatigue qui est la nôtre, c'est un très bon point de pris. Je félicite mes joueurs qui ont été héroïques ce soir et qui se sont battus avec leurs moyens. On aurait aimé jouer un peu plus, mais on a su résister avec nos atouts"