Au match aller Troyes s'était imposé à François-Coty
A Troyes, ESTAC : 1 AC Ajaccio : 0 (0-0)
But pour l'ESTAC : Touzghar (90+3)
Arbitre : Guillaume Paradis
Avertissements : Coutadeur (66e), Kalulu ((90e) à l'AC Ajaccio
ESTAC
Gallon, El Hajjam, Giraudon, Salmier puis Mutombo (82e), Tardieu, Raveloson puis Domingues (81e), Dingomé puis Azamoum (25e), Gory, Chambost puis Bozok (59e), Barthelmé puis Saint-Louis (60e), Touzghar
AC Ajaccio
Leroy, Youssouf, Avinel, Kalulu, Diallo, Coutadeur, Laci puis N'Jike (81e), Barreto, Mattoir puis Marchetti (81e), Bayala, Moussiti-Oko
On ne peut pas dire que Troyes n'a pas dominé les débats en première période ou que l'AC Ajaccio n'a pas subi la pression de son adversaire.
Mais ce n'est pas pour autant que les leaders du championnat sont parvenus à tromper la vigilance de Leroy.
A la pause rien de décisif ne s'était produit sur la pelouse du stade de l'Aube.
C'était décevant pour le leader à l'heure où Toulouse dominait Amiens. Et à l'inverse, encourageant pour les Corses de Pantaloni qui s'enhardirent dès la reprise.
Ce fut tout d'abord Barreto qui, parti seul en contre à la suite d'une perte de balle d'El Hajjam plein axe, se manquait totalement face à Gallon.
Il y eut ensuite Moussiti-Oko qui reprenait de la tête sur corner. L'ACA crut au but. Mais Gallon battu était sauvé par Barthelmé sur la ligne de but, avant que Touzghar ne fasse de même !
L'ESTAC tenta alors de se remettre dans le bon sens du match mais les Ajacciens persistaient et signaient. Pas question pour eux en tout cas de laisser leurs ambition sur la pelouse troyenne.
Ainsi Barreto parvenait-il à contrer un dégagement de El-Hajjam; à fondre sur le but aubois et à tirer mais sans parvenir pour autant à trouver le cadre. Mattoir, décalé et par Moussiti-Oko, ne faisait pas mieux face à un adversaire qui commençait à douter.
Pourtant au moment où l'AC Ajaccio pouvait entrevoir le partage des points l'ESTAC frappait par l'intermédiaire de Touzghar : sa reprise de volée, sur un centre de Gory, avait raison de la vigilance de Leroy.
On jouait la 3e minute des 4 que comptait le temps additionnel.
Vous avez dit rageant ?
But pour l'ESTAC : Touzghar (90+3)
Arbitre : Guillaume Paradis
Avertissements : Coutadeur (66e), Kalulu ((90e) à l'AC Ajaccio
ESTAC
Gallon, El Hajjam, Giraudon, Salmier puis Mutombo (82e), Tardieu, Raveloson puis Domingues (81e), Dingomé puis Azamoum (25e), Gory, Chambost puis Bozok (59e), Barthelmé puis Saint-Louis (60e), Touzghar
AC Ajaccio
Leroy, Youssouf, Avinel, Kalulu, Diallo, Coutadeur, Laci puis N'Jike (81e), Barreto, Mattoir puis Marchetti (81e), Bayala, Moussiti-Oko
On ne peut pas dire que Troyes n'a pas dominé les débats en première période ou que l'AC Ajaccio n'a pas subi la pression de son adversaire.
Mais ce n'est pas pour autant que les leaders du championnat sont parvenus à tromper la vigilance de Leroy.
A la pause rien de décisif ne s'était produit sur la pelouse du stade de l'Aube.
C'était décevant pour le leader à l'heure où Toulouse dominait Amiens. Et à l'inverse, encourageant pour les Corses de Pantaloni qui s'enhardirent dès la reprise.
Ce fut tout d'abord Barreto qui, parti seul en contre à la suite d'une perte de balle d'El Hajjam plein axe, se manquait totalement face à Gallon.
Il y eut ensuite Moussiti-Oko qui reprenait de la tête sur corner. L'ACA crut au but. Mais Gallon battu était sauvé par Barthelmé sur la ligne de but, avant que Touzghar ne fasse de même !
L'ESTAC tenta alors de se remettre dans le bon sens du match mais les Ajacciens persistaient et signaient. Pas question pour eux en tout cas de laisser leurs ambition sur la pelouse troyenne.
Ainsi Barreto parvenait-il à contrer un dégagement de El-Hajjam; à fondre sur le but aubois et à tirer mais sans parvenir pour autant à trouver le cadre. Mattoir, décalé et par Moussiti-Oko, ne faisait pas mieux face à un adversaire qui commençait à douter.
Pourtant au moment où l'AC Ajaccio pouvait entrevoir le partage des points l'ESTAC frappait par l'intermédiaire de Touzghar : sa reprise de volée, sur un centre de Gory, avait raison de la vigilance de Leroy.
On jouait la 3e minute des 4 que comptait le temps additionnel.
Vous avez dit rageant ?
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