Voici le communiqué :
"L’incendie est maintenant totalement maîtrisé, compte tenu des efforts colossaux fournis par la Direction et les salariés de l’entreprise d’une part et, d’autre part, par les différents prestataires extérieurs qui ont été mandatés par l’exploitant en vue de limiter au maximum l’impact sur l’environnement.
Conformément aux instructions données par le Préfet de Haute-Corse, l’APAVE, organisme agréé, a été désigné par AM Environnement pour surveiller constamment et mesurer avec précision la qualité de l’air sur la Zone Industrielle de Tragone et ses environs, mais aussi la qualité de l’eau afin de mettre en place toutes les mesures requises pour annihiler tout risque pour la santé des habitants et pour le milieu naturel.
A ce stade, AM Environnement a pris des mesures exceptionnelles pour lutter contre tout risque de pollution du Canal di Melo et, par extension, de l’Etang de Biguglia : en effet, des barrages ont été constitués sur le Canal en aval du site dès le déclenchement de l’incendie. De plus, des pompes à haute pression ont été acheminées depuis le continent et pompent l’eau qui s’est déversée dans le Canal pour la rejeter dans un bassin de rétention sur son site avant acheminement d’un site mobile de traitement et de dépollution des eaux qui sera en activité dans les plus brefs délais.
Compte tenu des moyens mis en place par l’exploitant, en coordination totale avec la Préfecture, les pompiers, la Police de l’Environnement et l’Agence Française pour la Biodiversité, la Réserve Naturelle de l’Etang de Biguglia n’est désormais plus menacée.
Concernant la qualité de l’air, aujourd’hui, AM Environnement a circonscrit en totalité les échappements de fumée dans l’air. Il n’y a pas, par conséquent, de risque pour la santé des riverains. Cela a pu être constaté par le Préfet lors de sa visite sur site le 27 juillet.
Contrairement à ce qui a été affirmé par Mme Simonpietri, Présidente de l’Office de l’Environnement de Corse, dans son communiqué d’hier, le feu et les fumées dégagées ont été sous surveillance, dès l’origine, par l’exploitant mais aussi par Qualitair.
Le feu de forêt de Biguglia, véritable catastrophe naturelle pour notre Ile, qui s’est déclenché concomitamment au nôtre, a généré une pollution atmosphérique gigantesque qui a rendu très minime les épanchements provenant du site d’AM Environnement.
Nous tenons à confirmer à l’ensemble de la population corse ainsi qu’aux pouvoirs publics que la société AM Environnement se bat à chaque instant et a mis en place, par ses propres moyens, un dispositif parfaitement adapté à la situation dans le but de protéger de manière optimale l’environnement et les risques pour la santé de la population environnante.
L’entreprise tient sincèrement à remercier toutes les personnes qui l’ont aidé à lutter contre cette catastrophe : les Sapeurs-Pompiers de Haute-Corse, la Police de l’Environnement, la DREAL, la Préfecture, la DDTM, les entreprises CEE, Terraco, Mattei, Chimerec, qui ont répondu présents, ainsi que tous ses salariés qui se sont battus sans relâche depuis samedi dernier pour préserver l’environnement, l’emploi et l’outil de travail menacés de disparition".
"L’incendie est maintenant totalement maîtrisé, compte tenu des efforts colossaux fournis par la Direction et les salariés de l’entreprise d’une part et, d’autre part, par les différents prestataires extérieurs qui ont été mandatés par l’exploitant en vue de limiter au maximum l’impact sur l’environnement.
Conformément aux instructions données par le Préfet de Haute-Corse, l’APAVE, organisme agréé, a été désigné par AM Environnement pour surveiller constamment et mesurer avec précision la qualité de l’air sur la Zone Industrielle de Tragone et ses environs, mais aussi la qualité de l’eau afin de mettre en place toutes les mesures requises pour annihiler tout risque pour la santé des habitants et pour le milieu naturel.
A ce stade, AM Environnement a pris des mesures exceptionnelles pour lutter contre tout risque de pollution du Canal di Melo et, par extension, de l’Etang de Biguglia : en effet, des barrages ont été constitués sur le Canal en aval du site dès le déclenchement de l’incendie. De plus, des pompes à haute pression ont été acheminées depuis le continent et pompent l’eau qui s’est déversée dans le Canal pour la rejeter dans un bassin de rétention sur son site avant acheminement d’un site mobile de traitement et de dépollution des eaux qui sera en activité dans les plus brefs délais.
Compte tenu des moyens mis en place par l’exploitant, en coordination totale avec la Préfecture, les pompiers, la Police de l’Environnement et l’Agence Française pour la Biodiversité, la Réserve Naturelle de l’Etang de Biguglia n’est désormais plus menacée.
Concernant la qualité de l’air, aujourd’hui, AM Environnement a circonscrit en totalité les échappements de fumée dans l’air. Il n’y a pas, par conséquent, de risque pour la santé des riverains. Cela a pu être constaté par le Préfet lors de sa visite sur site le 27 juillet.
Contrairement à ce qui a été affirmé par Mme Simonpietri, Présidente de l’Office de l’Environnement de Corse, dans son communiqué d’hier, le feu et les fumées dégagées ont été sous surveillance, dès l’origine, par l’exploitant mais aussi par Qualitair.
Le feu de forêt de Biguglia, véritable catastrophe naturelle pour notre Ile, qui s’est déclenché concomitamment au nôtre, a généré une pollution atmosphérique gigantesque qui a rendu très minime les épanchements provenant du site d’AM Environnement.
Nous tenons à confirmer à l’ensemble de la population corse ainsi qu’aux pouvoirs publics que la société AM Environnement se bat à chaque instant et a mis en place, par ses propres moyens, un dispositif parfaitement adapté à la situation dans le but de protéger de manière optimale l’environnement et les risques pour la santé de la population environnante.
L’entreprise tient sincèrement à remercier toutes les personnes qui l’ont aidé à lutter contre cette catastrophe : les Sapeurs-Pompiers de Haute-Corse, la Police de l’Environnement, la DREAL, la Préfecture, la DDTM, les entreprises CEE, Terraco, Mattei, Chimerec, qui ont répondu présents, ainsi que tous ses salariés qui se sont battus sans relâche depuis samedi dernier pour préserver l’environnement, l’emploi et l’outil de travail menacés de disparition".