Après avoir exprimé une position inverse dans un premier temps, dans un communiqué envoyé à la presse ce jeudi soir, François-Xavier Ceccoli, le député de la 2ème circonscription de Haute-Corse annonce qu’il n’accordera pas sa confiance à François Bayrou lundi prochain.
Estimant que le choix du Premier ministre de solliciter la confiance de l’Assemblée nationale est une « décision prise sans concertation » et « un véritable suicide politique », le parlementaire explique que dans « un contexte économique, budgétaire et social d’une extrême gravité, et alors que l’extrême gauche, LFI en tête, organise le chaos pour s’emparer du pouvoir » il avait initialement déclaré « à contrecœur mais en responsabilité » qu’il voterait cette confiance sous réserve de certaines conditions.
Il indique ainsi que sa décision était « conditionnée à l’amélioration d’une feuille de route budgétaire dont (il) contestait à la fois l’injustice de certains et l’ampleur d’un effort qui, mal fléché, ruinerait notre maigre croissance sans résorber nos déficits ». « Cette décision était également motivée par la volonté de ne pas sanctionner certains ministres qui font aujourd’hui un travail remarquable au sein du gouvernement », ajoute-t-il en pointant l’action de Bruno Retailleau ou Laurent Marcangeli. « Mais depuis cette annonce, François Bayrou, loin de chercher à convaincre le plus grand nombre de la nécessité de le soutenir, s’emploie au contraire à diviser le pays, désignant notamment les plus âgés d’entre nous comme responsables de la dette abyssale de notre nation, dont il est pourtant largement comptable depuis des décennies », poursuit-il en fustigeant : « Manifestement animé par ses seules considérations personnelles, le Premier ministre est également resté sourd aux demandes répétées des députés Les Républicains, dont je fais partie, qui ne partagent pas nombre de choix budgétaires avancés pour réaliser l’indispensable redressement des finances de notre pays ». Et d’évoquer notamment « son entêtement à imposer la suppression de deux jours fériés, mesure qui s’avérerait particulièrement injuste puisqu’elle ferait supporter, encore une fois, aux seuls Français qui travaillent, le poids des efforts demandés ».
Indiquant avoir beaucoup consulté ces derniers jours, aussi bien les citoyens, ses partenaires politiques, que le comité départemental de la fédération des Républicains de Haute-Corse qu’il a réuni ce jeudi, afin de recueillir leurs sentiments et leurs conseils à l’approche de ce vote, le député de la 2ème circonscription de Haute-Corse annonce que « fort de ces consultations et conformément à mes engagements autant qu’à mes convictions profondes » il a donc décidé qu’il n’accordera pas sa confiance à François Bayrou.
Estimant que le choix du Premier ministre de solliciter la confiance de l’Assemblée nationale est une « décision prise sans concertation » et « un véritable suicide politique », le parlementaire explique que dans « un contexte économique, budgétaire et social d’une extrême gravité, et alors que l’extrême gauche, LFI en tête, organise le chaos pour s’emparer du pouvoir » il avait initialement déclaré « à contrecœur mais en responsabilité » qu’il voterait cette confiance sous réserve de certaines conditions.
Il indique ainsi que sa décision était « conditionnée à l’amélioration d’une feuille de route budgétaire dont (il) contestait à la fois l’injustice de certains et l’ampleur d’un effort qui, mal fléché, ruinerait notre maigre croissance sans résorber nos déficits ». « Cette décision était également motivée par la volonté de ne pas sanctionner certains ministres qui font aujourd’hui un travail remarquable au sein du gouvernement », ajoute-t-il en pointant l’action de Bruno Retailleau ou Laurent Marcangeli. « Mais depuis cette annonce, François Bayrou, loin de chercher à convaincre le plus grand nombre de la nécessité de le soutenir, s’emploie au contraire à diviser le pays, désignant notamment les plus âgés d’entre nous comme responsables de la dette abyssale de notre nation, dont il est pourtant largement comptable depuis des décennies », poursuit-il en fustigeant : « Manifestement animé par ses seules considérations personnelles, le Premier ministre est également resté sourd aux demandes répétées des députés Les Républicains, dont je fais partie, qui ne partagent pas nombre de choix budgétaires avancés pour réaliser l’indispensable redressement des finances de notre pays ». Et d’évoquer notamment « son entêtement à imposer la suppression de deux jours fériés, mesure qui s’avérerait particulièrement injuste puisqu’elle ferait supporter, encore une fois, aux seuls Français qui travaillent, le poids des efforts demandés ».
Indiquant avoir beaucoup consulté ces derniers jours, aussi bien les citoyens, ses partenaires politiques, que le comité départemental de la fédération des Républicains de Haute-Corse qu’il a réuni ce jeudi, afin de recueillir leurs sentiments et leurs conseils à l’approche de ce vote, le député de la 2ème circonscription de Haute-Corse annonce que « fort de ces consultations et conformément à mes engagements autant qu’à mes convictions profondes » il a donc décidé qu’il n’accordera pas sa confiance à François Bayrou.
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