Les nationalistes, qui affichent des scores électoraux incontestables, refusent de clarifier leur position et de dire aux citoyens de cette île s’ils se situent sur une ligne politique sociale ou libérale, se gardant ainsi toutes possibilités d’alliances avec les uns et les autres en fonction de l’opportunité.
Des élections sénatoriales en Corse-du-Sud où grands électeurs de gauche et nationalistes ont voté pour le candidat UMP qui défend aujourd’hui au sénat le refus de toute évolution institutionnelle.
Une élection municipale Bastiaise gagnée dans un attelage électoraliste hors cadre de toute logique politique.
Une élection municipale Ajaccienne perdue, où la liste conduite par l’ancien maire a procédé de la même confusion en présentant une liste où gauche et droite prétendaient porter le même projet…..
En conséquence, EELV rappelle que, dans une telle confusion, où le politique leurre le citoyen et ne dit ni qui il est, ni où il le mène, effectivement, nous observons, et c’est inévitable, des situations grotesques.
Le consensus n’est pas une ligne politique, lutter contre un système ne fait pas à lui seul un projet de société (sauf à le reproduire), l’autonomie et l’indépendance ne sont pas des lignes politiques, ce sont des outils au service d’un projet que l’on se doit de définir ; gauche et droite n’ont pas la même vision des priorités, et on ne peut être écologistes et libéraux à la fois.
Du système des clans à ce qui est en train d’en remplacer les visages, la Corse a besoin que le politique et la clarté émergent enfin.
Des élections sénatoriales en Corse-du-Sud où grands électeurs de gauche et nationalistes ont voté pour le candidat UMP qui défend aujourd’hui au sénat le refus de toute évolution institutionnelle.
Une élection municipale Bastiaise gagnée dans un attelage électoraliste hors cadre de toute logique politique.
Une élection municipale Ajaccienne perdue, où la liste conduite par l’ancien maire a procédé de la même confusion en présentant une liste où gauche et droite prétendaient porter le même projet…..
En conséquence, EELV rappelle que, dans une telle confusion, où le politique leurre le citoyen et ne dit ni qui il est, ni où il le mène, effectivement, nous observons, et c’est inévitable, des situations grotesques.
Le consensus n’est pas une ligne politique, lutter contre un système ne fait pas à lui seul un projet de société (sauf à le reproduire), l’autonomie et l’indépendance ne sont pas des lignes politiques, ce sont des outils au service d’un projet que l’on se doit de définir ; gauche et droite n’ont pas la même vision des priorités, et on ne peut être écologistes et libéraux à la fois.
Du système des clans à ce qui est en train d’en remplacer les visages, la Corse a besoin que le politique et la clarté émergent enfin.