(Photo Stéphan Le Gallais)
Afin de protéger cette plante à fleurs endémique de la Méditerranée qui sert de puits de carbone, nurserie pour poissons et protection contre l’érosion côtière, la France interdit depuis 2020 le mouillage des yachts de plus de 24 mètres dans certaines zones de la Côte d’Azur et de la Corse, hauts lieux de la plaisance mondiale.
Les ancres des yachts, notamment quand on les relève, mais aussi le mouvement de leurs chaînes lors du mouillage, peuvent causer de véritables balafres sur plusieurs centaines de mètres aux herbiers de posidonie, une espèce protégée depuis 1988.
Fin octobre à Marseille, le capitaine hongrois d’un yacht a été condamné à 20.000 euros d’amende ainsi qu’à l’interdiction de naviguer pendant un an dans les eaux territoriales françaises pour avoir à trois reprises fait mouiller son navire de 26 mètres dans des zones interdites, à Cannes en 2021 et à Saint-Tropez en 2022.
Le tribunal maritime, estimant que ces mouillages avaient porté une atteinte “non négligeable aux écosystèmes” avait demandé, à la requête des associations France Nature Environnement (FNE) Paca et de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) Paca, parties civiles, qu’une estimation du “préjudice écologique” ainsi causé soit établi, sollicitant pour ce faire l’assistance du pôle spécialisé dans l’environnement du tribunal de Marseille.
Les ancres des yachts, notamment quand on les relève, mais aussi le mouvement de leurs chaînes lors du mouillage, peuvent causer de véritables balafres sur plusieurs centaines de mètres aux herbiers de posidonie, une espèce protégée depuis 1988.
Fin octobre à Marseille, le capitaine hongrois d’un yacht a été condamné à 20.000 euros d’amende ainsi qu’à l’interdiction de naviguer pendant un an dans les eaux territoriales françaises pour avoir à trois reprises fait mouiller son navire de 26 mètres dans des zones interdites, à Cannes en 2021 et à Saint-Tropez en 2022.
Le tribunal maritime, estimant que ces mouillages avaient porté une atteinte “non négligeable aux écosystèmes” avait demandé, à la requête des associations France Nature Environnement (FNE) Paca et de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) Paca, parties civiles, qu’une estimation du “préjudice écologique” ainsi causé soit établi, sollicitant pour ce faire l’assistance du pôle spécialisé dans l’environnement du tribunal de Marseille.
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