Stadiu Louis II, Dumenica l’8 di Dicembri
AS Monaco FC 1–0 AC Aiacciu (0-0)
SCopi : Rivière 75a pà Monaco
Avvertimenti : PierazziX2 pà l’ACA ; Germain pà l’ASMFC
Sclusioni : Pierazzi pà l’ACA
Tempu : Friscu ; Tarrenu : Bonu
Spettatori : Circa 15000
Arbitru : Sgiò Gautier
ACA : Ochoa – Hengbart, Perozo, Tonucci (Dielna 60a), Bonnart- André, Mostefa, Pierazzi, Cavalli (Faty 64a), Lasne – Tallo (Eduardo 55a)
Bancu : Sissoko, Dielna, Eduardo, Crescenzi, Belghazouani, Faty, Diarra
Addestratori : Ch. Bracconi
ASMFC : Subasic- Kurazawa Abidal Raggi – Carvalho, Toulalan, James, Obbadi (Germain 71a), Moutinho, Martial (Ocampos 59a), RIvière,
Bancu : Romero, Tisserand, Isimat Mirin,
Addestratori : C. Ranieri
U Scontru
Petit rythme au départ du match. Tallo tente le premier sa chance mais échoue mollement des vingt mètres (5a). Les monégasques s’installent dans le camp Acéiste, et à la 15e minute, Martial frappe plein axe, mais Memo Ochoa détourne avec autorité en corner. Vingtième minute, nouveau coup-de-pied de coin, l’ACA se dégage mais Carvalho reprend, et oblige à nouveau le portier mexicain à boxer le cuir. Le pressing de zone des Ajacciens semble vouloir fonctionner, malgré des relances approximatives. Les locaux insistent, et sur un centre parfait, Hengbart réussit une intervention salvatrice devant Rivière, qui voyait ce centre lui parvenir.
Réaction immédiate, côté droit Lasne et Cavalli insistent, Tallo est lancé dans la profondeur mais écrase sa frappe et n’inquiète pas Subasic (30a). L’ACA exploite le peu d’espaces qui lui sont laissés, sans trop de précision. Sur un corner obtenu par Bonnart, Cavalli trouve Pierazzi, qui ne peut redresser sa tête, depuis les 11m (37a). La défense souffre par moments, mais tient bon devant des monégasques à la recherche d’une faille. Et ils manquent de la trouver à la 40e : décalage côté droit et centre instantané pour Martial, qui se feint d’une bicyclette mais ne trouve pas le cadre pour quelques centimètres.
Les monégasques se montrent pressants d’entrée, en seconde période, mais Ochoa est vigilant. Sur un corner, Carvalho place sa tête, mais le portier acéiste parade encore sur ses appuis (56a). Mais le coup dur frappe l’ACA avec l’expulsion de J.-B. Pierazzi, pour un deuxième jaune. Les Oursons sont contraints de finir à dix. Monaco embraye et Ocampos s’essaye au tir de loin, mais un pied Ajaccien dévie et le ballon ne fait qu’effleurer le cadre.
Mais les locaux vont finir par faire sauter le verrou, sur un décalage, le centre de Kurazawa voyage devant le but, Germain repique au dernier moment et Rivière en embuscade crucifie Ochoa, pourtant sur le coup : 1-0 à la 76e. L
e but est pourtant entaché d’une faute flagrante de Rivière sur Bonnart. Dans la foulée, un coup-franc généreux plein axe voit Ocampos trouver le poteau droit d’Ochoa. Moutinho essaye lui aussi et trouve exactement le même sort. L’ACA pousse en fin de rencontre et sur une dernière opportunité, Mostefa frappe sans contrôle, mais ce n’est toujours pas assez dangereux pour inquiéter Subasic (94a). Les Oursons méritaient mieux.
Réaction immédiate, côté droit Lasne et Cavalli insistent, Tallo est lancé dans la profondeur mais écrase sa frappe et n’inquiète pas Subasic (30a). L’ACA exploite le peu d’espaces qui lui sont laissés, sans trop de précision. Sur un corner obtenu par Bonnart, Cavalli trouve Pierazzi, qui ne peut redresser sa tête, depuis les 11m (37a). La défense souffre par moments, mais tient bon devant des monégasques à la recherche d’une faille. Et ils manquent de la trouver à la 40e : décalage côté droit et centre instantané pour Martial, qui se feint d’une bicyclette mais ne trouve pas le cadre pour quelques centimètres.
Les monégasques se montrent pressants d’entrée, en seconde période, mais Ochoa est vigilant. Sur un corner, Carvalho place sa tête, mais le portier acéiste parade encore sur ses appuis (56a). Mais le coup dur frappe l’ACA avec l’expulsion de J.-B. Pierazzi, pour un deuxième jaune. Les Oursons sont contraints de finir à dix. Monaco embraye et Ocampos s’essaye au tir de loin, mais un pied Ajaccien dévie et le ballon ne fait qu’effleurer le cadre.
Mais les locaux vont finir par faire sauter le verrou, sur un décalage, le centre de Kurazawa voyage devant le but, Germain repique au dernier moment et Rivière en embuscade crucifie Ochoa, pourtant sur le coup : 1-0 à la 76e. L
e but est pourtant entaché d’une faute flagrante de Rivière sur Bonnart. Dans la foulée, un coup-franc généreux plein axe voit Ocampos trouver le poteau droit d’Ochoa. Moutinho essaye lui aussi et trouve exactement le même sort. L’ACA pousse en fin de rencontre et sur une dernière opportunité, Mostefa frappe sans contrôle, mais ce n’est toujours pas assez dangereux pour inquiéter Subasic (94a). Les Oursons méritaient mieux.
L'ACA
André replacé à droite, et Lasne à gauche, l’ACA affiche encore de la nouveauté dans son système, avec Cavalli positionné derrière Tallo.
Pour autant, le système offensif ne s'en trouve pas amélioré, au contraire. Beaucoup d'imprécisions, de ballons perdus bêtement et surtout un jeu ralenti par un Cavalli à côté de ses pompes.
En défense, en revanche beaucoup de concentration, d'application dans les gestes, dès le premier rideau animé par Pierazzi et Mostefa, gros travailleurs, malgré l'expulsion méritée pour le premier.
Enfin, le quatuor offensif a bien fonctionné, et Ochoa a assuré la dernière porte, mais n'a rien pu face à l'abnégation des joueurs Monégasques.
Pour autant, le système offensif ne s'en trouve pas amélioré, au contraire. Beaucoup d'imprécisions, de ballons perdus bêtement et surtout un jeu ralenti par un Cavalli à côté de ses pompes.
En défense, en revanche beaucoup de concentration, d'application dans les gestes, dès le premier rideau animé par Pierazzi et Mostefa, gros travailleurs, malgré l'expulsion méritée pour le premier.
Enfin, le quatuor offensif a bien fonctionné, et Ochoa a assuré la dernière porte, mais n'a rien pu face à l'abnégation des joueurs Monégasques.
L'Avversariu
Les monégasques ont réussi à obtenir l'essentiel, malgré un match terne et pauvre en occasions. Devant, Rivière a multiplié les appels, et a été logiquement récompensé au final. Sur les ailes les décalages ont été faits de nombreuses fois, grâce à un Obaddi et un Ocampos virevoltants malgré le pressing incessant de l'ACA.
En défense, rien à dire tant le travail fut minime.
En défense, rien à dire tant le travail fut minime.
U Bilanciu
L'ACA ne méritait pas de perdre, c'est indéniable. Très bien en place et très concentrés, les Oursons ont cependant pêché dans les relances et surtout le jeu en première intention. Peu enclins à attaquer, les Ajacciens ont en revanche défendu comme il fallait, mais ont craqué après l'expulsion de Pierazzi. Pour autant, Christian Bracconi doit être satisfait de son groupe, tant la résistance a été importante, face à l'armada Monégasque, intraitable à domicile. Il faudra encore tirer les bons enseignements pour, on l'espère, enfin trouver la lumière face à Lorient. L'ACA semble en être capable.