Ce livre paru en avril 2015, est une production des Editions Eoliennes. Il a la particularité d'être bilingue, espagnol-français, et comporte une introduction écrite par Carmen Pena (Professeure de Théorie et Histoire de l'Art Contemporain, Université Complutense de Madrid) traduite par Béatrice Castoriano.
A cela s'ajoute un long texte rédigé par François de Casabianca dont la traduction est assurée par Pilar Ruiz-Va.
Qui est François de Casabianca ?
François de Casabianca est né dans les montagnes corses où il a grandi. Sa carrière artistique ayant été contrariée, il s'est alors tourné vers des études d'agronomie avant de s'investir dans l'aide au tiers-monde. Il a choisi depuis quelques années de vivre à Madrid, où il a son atelier, mais il reste fidèle à la Corse où il revient très régulièrement et où il expose.
Les ouvrages de François de Casabianca :
- Paysages et femmes de Méditerranée, éditions Eoliennes, 2005
- Impressions hispano-corses, éditions Eoliennes, 2008
- De la couleur des choses, éditions Eoliennes, 2009
- Terres de Méditerranée, éditions Eoliennes, 2011
- La saveur des saisons, éditions Eoliennes, 2012
A cela s'ajoute un long texte rédigé par François de Casabianca dont la traduction est assurée par Pilar Ruiz-Va.
Qui est François de Casabianca ?
François de Casabianca est né dans les montagnes corses où il a grandi. Sa carrière artistique ayant été contrariée, il s'est alors tourné vers des études d'agronomie avant de s'investir dans l'aide au tiers-monde. Il a choisi depuis quelques années de vivre à Madrid, où il a son atelier, mais il reste fidèle à la Corse où il revient très régulièrement et où il expose.
Les ouvrages de François de Casabianca :
- Paysages et femmes de Méditerranée, éditions Eoliennes, 2005
- Impressions hispano-corses, éditions Eoliennes, 2008
- De la couleur des choses, éditions Eoliennes, 2009
- Terres de Méditerranée, éditions Eoliennes, 2011
- La saveur des saisons, éditions Eoliennes, 2012
Quatrième de couverture
"Il est possible que le rejet du figuratif que l'on constate - notamment dans de nombreuses galeries -corresponde à une interprétation du désir des générations présentes de s'évader d'un réel perçu comme un peu enchanteur.
En fait, je suis convaincu que l'homme occidental du XXIe siècle a perdu des repères importants qui marquent son inconscient, et dont le défaut lui crée une insatisfaction essentielle.
Pour moi, ces repères ont à voir avec la relation de l'homme à la nature, et je pense que l'art peut contribuer à la récupération de cette osmose vitale, même s'il ne lui incombe pas d'élaborer le contenu de cette relation renouvelée."
François de Casabianca
Au fil des pages
"François de Casabianca ne veut pas représenter le vent, ni les changements, toujours passagers et éphémères, de la lumière. Il veut fixer la sensation, la retenir, la concentrer dans l'essentiel, sans les "bruits" des reflets changeants, ni la musique des arbres et des rivières. Pourtant ses paysages ont la sonorité d'un grand silence."
"Je crois que l'homme a besoin de la nature, besoin de vivre en osmose avec elle.
Je crois que nous devons réapprendre à la regarder, à en savourer les couleurs, les arômes, les bruits, les sons.
Il s'agit là d'une conviction personnelle acquise par l'expérience et qui ne peut se démontrer a priori, mais j'ai cette conviction que cela devrait nous apporter plus de sérénité, et par là nous rendre plus disponibles à la vie, aux rencontres : en définitive au bonheur..."
www.francoisdecasabianca.com
www.editionseoliennes.fr
En fait, je suis convaincu que l'homme occidental du XXIe siècle a perdu des repères importants qui marquent son inconscient, et dont le défaut lui crée une insatisfaction essentielle.
Pour moi, ces repères ont à voir avec la relation de l'homme à la nature, et je pense que l'art peut contribuer à la récupération de cette osmose vitale, même s'il ne lui incombe pas d'élaborer le contenu de cette relation renouvelée."
François de Casabianca
Au fil des pages
"François de Casabianca ne veut pas représenter le vent, ni les changements, toujours passagers et éphémères, de la lumière. Il veut fixer la sensation, la retenir, la concentrer dans l'essentiel, sans les "bruits" des reflets changeants, ni la musique des arbres et des rivières. Pourtant ses paysages ont la sonorité d'un grand silence."
"Je crois que l'homme a besoin de la nature, besoin de vivre en osmose avec elle.
Je crois que nous devons réapprendre à la regarder, à en savourer les couleurs, les arômes, les bruits, les sons.
Il s'agit là d'une conviction personnelle acquise par l'expérience et qui ne peut se démontrer a priori, mais j'ai cette conviction que cela devrait nous apporter plus de sérénité, et par là nous rendre plus disponibles à la vie, aux rencontres : en définitive au bonheur..."
www.francoisdecasabianca.com
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