L'opération menée par la municipalité en concertation avec la chambre de commerce et d'industrie, les unions commerciales du centre-ville et les conseils des quartiers a été présentée par Gilles Simeoni qui a rappelé comment l'espace abandonné depuis l'attentat qui, en 1987 avait détruit l'hôtel des impôts, avait fait l'objet d'un aménagement important de la part des services techniques.
Un travail en régie et au moindre coût qui avait permis de nettoyer, de déblayer, de baliser et de procéder à la pose de l'éclairage du site et qui désormais offre 300 places de stationnement gratuites et 24 heures sur 24 à l'entrée Nord de la ville à proximité immédiate du centre-ville.
"Nous sommes ici à 500 m de la Poste mais s'il le fallait un navette, qui circulera régulièrement, permettrait, aussi, de relier rapidement le centre" a souligné le maire de Bastia en rappelant que la sécurité serait assurée par le passage régulier de patrouilles de la police municipale.
Mais parking gratuit ne veut pas dire stationnement abusif : ici on ne tolèrera pas plus de 4 jours de stationnement consécutifs.
Un travail en régie et au moindre coût qui avait permis de nettoyer, de déblayer, de baliser et de procéder à la pose de l'éclairage du site et qui désormais offre 300 places de stationnement gratuites et 24 heures sur 24 à l'entrée Nord de la ville à proximité immédiate du centre-ville.
"Nous sommes ici à 500 m de la Poste mais s'il le fallait un navette, qui circulera régulièrement, permettrait, aussi, de relier rapidement le centre" a souligné le maire de Bastia en rappelant que la sécurité serait assurée par le passage régulier de patrouilles de la police municipale.
Mais parking gratuit ne veut pas dire stationnement abusif : ici on ne tolèrera pas plus de 4 jours de stationnement consécutifs.
Mais au-delà de cette ouverture, qui précède de quelques jours l'inauguration du parking Saint-François de 80 à 100 places, Gilles Simeoni a rappelé que le site réunissait tous les avantages à la fois de court terme, moyen terme et long terme que la municipalité entend mettre en œuvre à travers sa politique de stationnement et de circulation.
Le court terme était d'apporter une réponse immédiate aux problèmes récurrents du stationnement qui handicapent, et on sait de quelle façon, le commerce du centre-ville.
En attendant le parking à silos, cette aire de stationnement à l'entrée de la ville contribuera à diminuer les flux (automobiles) entrants vers le centre-ville et dans le même temps à redynamiser le quartier de Toga, le boulevard Graziani, l'avenue Emile-Sari et Port-Toga.
Autre avantage et non des moindres pour les commerçants et leurs employés : à utiliser ce parking, eux qui stationnent en ville à longueur de journée : ils feraient de substantielles économies - 100 à 120€ par mois - et libéreraient entre 120 et 150 places dans le centre-ville ce dont devrait profiter les commerçants…
Une perspective dont s'est félicité Patrick Sanguinetti qui, s'il n'a pas omis de souligner l'initiative municipale, menée rapidement, a vivement encouragé commerçants et salariés à passer par le parking de Toga qui de surcroît sécurisera et fluidifiera le trafic automobile aux abords de l'école Charpak en offrant aux parents la possibilité de stationner, à leur tour, plus facilement.
Un résultat et une méthode de travail qui ont ravi d'aise Gilles Simeoni qui, au passage, ne s'est pas privé de rappeler que l'on avait réalisé là en 6 mois et pour quelques dizaines de milliers d'euros ce que l'on avait réalisé en centre-ville en 10 ou 12 ans et pour 10 à 15 millions d'euros.
"Une réponse opérationnelle directe et très significative" a commenté, satisfait, le maire de Bastia.
Le court terme était d'apporter une réponse immédiate aux problèmes récurrents du stationnement qui handicapent, et on sait de quelle façon, le commerce du centre-ville.
En attendant le parking à silos, cette aire de stationnement à l'entrée de la ville contribuera à diminuer les flux (automobiles) entrants vers le centre-ville et dans le même temps à redynamiser le quartier de Toga, le boulevard Graziani, l'avenue Emile-Sari et Port-Toga.
Autre avantage et non des moindres pour les commerçants et leurs employés : à utiliser ce parking, eux qui stationnent en ville à longueur de journée : ils feraient de substantielles économies - 100 à 120€ par mois - et libéreraient entre 120 et 150 places dans le centre-ville ce dont devrait profiter les commerçants…
Une perspective dont s'est félicité Patrick Sanguinetti qui, s'il n'a pas omis de souligner l'initiative municipale, menée rapidement, a vivement encouragé commerçants et salariés à passer par le parking de Toga qui de surcroît sécurisera et fluidifiera le trafic automobile aux abords de l'école Charpak en offrant aux parents la possibilité de stationner, à leur tour, plus facilement.
Un résultat et une méthode de travail qui ont ravi d'aise Gilles Simeoni qui, au passage, ne s'est pas privé de rappeler que l'on avait réalisé là en 6 mois et pour quelques dizaines de milliers d'euros ce que l'on avait réalisé en centre-ville en 10 ou 12 ans et pour 10 à 15 millions d'euros.
"Une réponse opérationnelle directe et très significative" a commenté, satisfait, le maire de Bastia.
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