Ils ont pris place dans le clocher de l'église qui domine la place saint-Nicolas et le port de la ville samedi vers 3 heures pour affirmaient-ils attirer l'attention sur leur situation de "pères en souffrance."
Pour se faire entendre ils demandent à être reçus par diverses autorités de l'Île : évêque, maire, conseiller général, préfet, président de l'assemblée de Corse.
Les pères estiment, en effet, que la justice favorise plus les femmes et jamais les droits des pères lorsque surviennent les décisions pour les gardes d'enfants.
Pour eux, comme ils l'ont écrit sur les banderoles accrochées au clocher, "enfants otages" et "la justice travestit les faits, le féminisme tue nos enfants et la démocratie".
Dans le courant de l'après-midi plusieurs dizaines de personnes sont venues apporter leur soutien aux quatre pères qui sont décidés à rester sur place tant qu'ils ne seront pas entendus.
Pour se faire entendre ils demandent à être reçus par diverses autorités de l'Île : évêque, maire, conseiller général, préfet, président de l'assemblée de Corse.
Les pères estiment, en effet, que la justice favorise plus les femmes et jamais les droits des pères lorsque surviennent les décisions pour les gardes d'enfants.
Pour eux, comme ils l'ont écrit sur les banderoles accrochées au clocher, "enfants otages" et "la justice travestit les faits, le féminisme tue nos enfants et la démocratie".
Dans le courant de l'après-midi plusieurs dizaines de personnes sont venues apporter leur soutien aux quatre pères qui sont décidés à rester sur place tant qu'ils ne seront pas entendus.