L'occupation a démarré vers 16 heures au moment où un groupe de grévistes a rapidement investi la capitainerie située dans l'enceinte portuaire. Pendant qu'une partie des occupants s'installait dans la partie la plus haute de la capitainerie, là où l'on a une vue panoramique sur la Tyrrhénienne et sur Bastia, une partie plus importante stationnait au bas et autour du bâtiment.
Mais point de tension visible.
Au niveau du poste de commandement de la tour "génoise" qui veille sur le port le commandant et le personnel ne pouvaient que constater. A l'extérieur du poste les grévistes qui avaient accroché banderoles et slogans dans la partie la plus haute du bâtiment rappelaient une fois encore les raisons de ce conflit inhérentes on le sait aux "promesses non tenues par le Gouvernement".
Occupation levée
A ce moment-là on s'est posé la question de savoir si le mouvement allait avoir des répercussions sur le trafic. L'intention de le "freiner" était évidente mais après trois heures d'occupation et une heure de retard à l'arrivée pour le navire de la Corsica Ferries qui devait accoster à 18 heures les grévistes ont quitté la capitainerie.
"Nous avons reçu l'assurance d'une rencontre prochaine avec le secrétaire d'Etat. Le fait que la perspective d'une simple visioconférence ait été abandonné a pesé dans notre décision. Par ailleurs, la recherche active d'un médiateur nous a été promise " expliquaient-ils
Dès lors et après une assemblée générale les grévistes levaient le siège.
Samedi à L'Ile-Rousse
"Mais nous restons mobilisés" ajoutaient-ils. "Nous n'avons pas l'intention de bloquer la Corse. D'ailleurs demain (ce samedi) nous allons rencontrer à L'Ile-Rousse les commerçants. Nous les avons entendus. Et nous allons essayer de les contenter. Nous savons qu'ils ont des problèmes. Nous les comprenons, mais il faut que l'on nous comprenne aussi…"
Mais point de tension visible.
Au niveau du poste de commandement de la tour "génoise" qui veille sur le port le commandant et le personnel ne pouvaient que constater. A l'extérieur du poste les grévistes qui avaient accroché banderoles et slogans dans la partie la plus haute du bâtiment rappelaient une fois encore les raisons de ce conflit inhérentes on le sait aux "promesses non tenues par le Gouvernement".
Occupation levée
A ce moment-là on s'est posé la question de savoir si le mouvement allait avoir des répercussions sur le trafic. L'intention de le "freiner" était évidente mais après trois heures d'occupation et une heure de retard à l'arrivée pour le navire de la Corsica Ferries qui devait accoster à 18 heures les grévistes ont quitté la capitainerie.
"Nous avons reçu l'assurance d'une rencontre prochaine avec le secrétaire d'Etat. Le fait que la perspective d'une simple visioconférence ait été abandonné a pesé dans notre décision. Par ailleurs, la recherche active d'un médiateur nous a été promise " expliquaient-ils
Dès lors et après une assemblée générale les grévistes levaient le siège.
Samedi à L'Ile-Rousse
"Mais nous restons mobilisés" ajoutaient-ils. "Nous n'avons pas l'intention de bloquer la Corse. D'ailleurs demain (ce samedi) nous allons rencontrer à L'Ile-Rousse les commerçants. Nous les avons entendus. Et nous allons essayer de les contenter. Nous savons qu'ils ont des problèmes. Nous les comprenons, mais il faut que l'on nous comprenne aussi…"