On joue la 36e minute dans le derby. Le GFCA mène 1-0 certes, un peu contre le cours du jeu et sur un pénalty pas flagrant. Anthony Lippini tacle sévèrement Yoan Court à 40 mètres de ses buts. Sanction immédiate de l’arbitre qui expulse le défenseur rouge et blanc.
Dans le parcage visiteurs, certains « supporters » acéistes n’apprécient pas cette décision. Et ils le font savoir. En jetant des fumigènes sur la pelouse. Avertissement sans frais. Mais quand François Clec double la mise à quelques secondes de la pause, ils redoublent de colère.
Cette fois, ce sont des fauteuils qui volent. M.Letexier prévient qu’en cas de nouvel incident, la rencontre sera arrêtée. Les stadiers s’efforcent de tempérer l’ardeur de ces « supporters ». Ils reçoivent des coups en échange. L’un d’entre eux sera blessé.
La colère gronde dans les rangs de ces jeunes, prêts à en découdre.
Finalement, ils quittent le stade et seront opposés aux forces de l’ordre devant l’entrée de Ange-Casanova.
Des lacrymogènes arrivent sur la pelouse. Il n’y aura pas de temps additionnel. M. Letexier libère les 22 acteurs…mais le speaker demande au public d’attendre sur la pelouse avant de sortir. Résultat, un gros attroupement au centre du terrain, des dirigeants des deux camps « sonnés » par ce scénario, malgré les vives recommandations.
Aux alentours des 23 heures, le public quitte le stade, les vapeurs des bombes lacrymogènes sont toujours présentes dans l’enceinte du stade. Un stade où l’on avait connu bien des « péripéties » mais jamais de cet ordre.
Finalement, les dirigeants de l’ACA se concertent. Et la sanction tombe tel un couperet dans les minutes qui suivent sous la forme d’un communiqué. Le groupe de supporters de l’Orsi Ribelli et ses membres sont exclus, définitivement, du stade François-Coty (voir par ailleurs)
. « L’ACA n’a pas besoin de ces gens-là » a commenté Léon Luciani, son président, mais il est clair que les forces de police doivent également faire leur travail. Nous ferons le nôtre. »
Des incidents avaient déjà été relevés lors de la venue de Strasbourg. Les dirigeants ajacciens envisageaient déjà des sanctions. Ils ont, cette fois joint la parole aux actes…
Dans le parcage visiteurs, certains « supporters » acéistes n’apprécient pas cette décision. Et ils le font savoir. En jetant des fumigènes sur la pelouse. Avertissement sans frais. Mais quand François Clec double la mise à quelques secondes de la pause, ils redoublent de colère.
Cette fois, ce sont des fauteuils qui volent. M.Letexier prévient qu’en cas de nouvel incident, la rencontre sera arrêtée. Les stadiers s’efforcent de tempérer l’ardeur de ces « supporters ». Ils reçoivent des coups en échange. L’un d’entre eux sera blessé.
La colère gronde dans les rangs de ces jeunes, prêts à en découdre.
Finalement, ils quittent le stade et seront opposés aux forces de l’ordre devant l’entrée de Ange-Casanova.
Des lacrymogènes arrivent sur la pelouse. Il n’y aura pas de temps additionnel. M. Letexier libère les 22 acteurs…mais le speaker demande au public d’attendre sur la pelouse avant de sortir. Résultat, un gros attroupement au centre du terrain, des dirigeants des deux camps « sonnés » par ce scénario, malgré les vives recommandations.
Aux alentours des 23 heures, le public quitte le stade, les vapeurs des bombes lacrymogènes sont toujours présentes dans l’enceinte du stade. Un stade où l’on avait connu bien des « péripéties » mais jamais de cet ordre.
Finalement, les dirigeants de l’ACA se concertent. Et la sanction tombe tel un couperet dans les minutes qui suivent sous la forme d’un communiqué. Le groupe de supporters de l’Orsi Ribelli et ses membres sont exclus, définitivement, du stade François-Coty (voir par ailleurs)
. « L’ACA n’a pas besoin de ces gens-là » a commenté Léon Luciani, son président, mais il est clair que les forces de police doivent également faire leur travail. Nous ferons le nôtre. »
Des incidents avaient déjà été relevés lors de la venue de Strasbourg. Les dirigeants ajacciens envisageaient déjà des sanctions. Ils ont, cette fois joint la parole aux actes…