- Quel est, pour vous, l'enjeu de cette élection dans ce canton ?
- Dans le domaine des aides sociales, la législation UMPS ne permet pas de favoriser les Français sur les étrangers. C’est pour cela que nos compatriotes doivent refuser toute soumission au chantage social exercé par les sortants locaux, tout autant responsables de la situation par leur complicité que les Etats-majors parisiens. Le vote Front National, en renforçant la position dominante de notre mouvement, permettra à Marine Le Pen d’accéder à la présidence de la République, condition sine qua non du renouveau de notre pays et de notre île.
- De quoi, selon vous, ce canton a-t-il besoin en priorité ?
- Il a besoin d'une autre politique, d’un véritable changement. On ne peut pas continuer le système clientéliste qui a cours depuis si longtemps. C’est l’intérêt général des citoyens qui doit primer et non le saupoudrage qui constitue l’habitude néfaste des politiques antérieures.
- Sur quels thèmes faites-vous campagne ?
- La gouvernance de la Corse mérite un vrai débat, car il y va pour longtemps de notre avenir. C'est la raison pour laquelle nous invitons les électeurs à voter massivement pour nos candidats pour dire non à la collectivité unique et donner ainsi à ce scrutin une valeur pré-référendaire. Bien sûr, les thèmes de l’immigration et de la sécurité seront discutés.
- Vous êtes donc opposés à l’avènement de la collectivité unique et à la suppression des Conseils généraux ?
- Nous n'accepterons jamais une institution unique sans contre-pouvoirs. Pour nous comme pour Marine Le Pen, le département constitue la meilleure structuration des institutions locales et nous essayerons de le faire comprendre à nos concitoyens.
- Malgré tout, comment fait-on campagne pour siéger dans une institution qui va disparaître ?
- Il est certain que la charcutage des cantons et les nouvelles règles électorales ne sont pas faits pour inciter les gens à se déplacer pour un vote sans réelle utilité. Notre campagne portera donc sur le vote utile, c'est-à-dire pour le vote Front National.
- Etes-vous confiant ? Quel score espérez-vous obtenir ?
- Les citoyens n’ont pas oublié la responsabilité de Nicolas Sarkozy et de l'UMP dans la situation détestable où se trouve notre pays, bien avant le coup de grâce asséné par l’actuel gouvernement socialiste. Plus que jamais dans leur ligne de mire, c'est l'UMPS et ses relais locaux qu'ils sanctionneront, même dissimulés par des étiquettes SE, DVD et DVG. Et comment faire mieux que voter Front National !
Notre score sera donc, nous en sommes sûr, à la hauteur des espérances des citoyens de Corse.
Propos recueillis par Manon PERELLI
- Dans le domaine des aides sociales, la législation UMPS ne permet pas de favoriser les Français sur les étrangers. C’est pour cela que nos compatriotes doivent refuser toute soumission au chantage social exercé par les sortants locaux, tout autant responsables de la situation par leur complicité que les Etats-majors parisiens. Le vote Front National, en renforçant la position dominante de notre mouvement, permettra à Marine Le Pen d’accéder à la présidence de la République, condition sine qua non du renouveau de notre pays et de notre île.
- De quoi, selon vous, ce canton a-t-il besoin en priorité ?
- Il a besoin d'une autre politique, d’un véritable changement. On ne peut pas continuer le système clientéliste qui a cours depuis si longtemps. C’est l’intérêt général des citoyens qui doit primer et non le saupoudrage qui constitue l’habitude néfaste des politiques antérieures.
- Sur quels thèmes faites-vous campagne ?
- La gouvernance de la Corse mérite un vrai débat, car il y va pour longtemps de notre avenir. C'est la raison pour laquelle nous invitons les électeurs à voter massivement pour nos candidats pour dire non à la collectivité unique et donner ainsi à ce scrutin une valeur pré-référendaire. Bien sûr, les thèmes de l’immigration et de la sécurité seront discutés.
- Vous êtes donc opposés à l’avènement de la collectivité unique et à la suppression des Conseils généraux ?
- Nous n'accepterons jamais une institution unique sans contre-pouvoirs. Pour nous comme pour Marine Le Pen, le département constitue la meilleure structuration des institutions locales et nous essayerons de le faire comprendre à nos concitoyens.
- Malgré tout, comment fait-on campagne pour siéger dans une institution qui va disparaître ?
- Il est certain que la charcutage des cantons et les nouvelles règles électorales ne sont pas faits pour inciter les gens à se déplacer pour un vote sans réelle utilité. Notre campagne portera donc sur le vote utile, c'est-à-dire pour le vote Front National.
- Etes-vous confiant ? Quel score espérez-vous obtenir ?
- Les citoyens n’ont pas oublié la responsabilité de Nicolas Sarkozy et de l'UMP dans la situation détestable où se trouve notre pays, bien avant le coup de grâce asséné par l’actuel gouvernement socialiste. Plus que jamais dans leur ligne de mire, c'est l'UMPS et ses relais locaux qu'ils sanctionneront, même dissimulés par des étiquettes SE, DVD et DVG. Et comment faire mieux que voter Front National !
Notre score sera donc, nous en sommes sûr, à la hauteur des espérances des citoyens de Corse.
Propos recueillis par Manon PERELLI