Cet hommage intervient un an après la venue du pape François en Corse, un moment qui avait marqué l’île. « Beaucoup de Corses m’avaient demandé de rendre hommage au Pape depuis sa venue. C’est chose faite, dans la simplicité, là où on ne l’attendait pas, et dans l’humilité », explique l’artiste, fidèle à un style qui mêle précision du trait et sobriété.
L’œuvre s’inscrit dans la continuité du travail d’Adrien Martinetti, reconnu pour sa capacité à donner une présence presque physique à ses personnages. Le jeu des ombres, la finesse des lignes et l’équilibre des volumes créent un effet de relief saisissant, relevé par plusieurs internautes : « On a l’impression que les personnages sortent du mur », écrit l’une d’elles.
Depuis sa mise en ligne jeudi, les réactions se succèdent. « Grand artiste comme d’habitude », « superbe », « sublime »… Les messages saluent unanimement une réalisation sobre et forte, perçue comme un geste de mémoire envers une figure qui a marqué de nombreux Corses. D’autres commentaires soulignent la dimension humaine de l’artiste : « Quel hommage pour ce grand pape. Merci encore et à bientôt », écrit un ancien maître d’hôtel de Campo, s’adressant directement à Martinetti.
Par sa discrétion, son intégration dans le paysage urbain et la précision de son exécution, cette peinture s’impose comme l’une des interventions les plus parlantes de l’artiste ajaccien, capable de faire dialoguer l’art, l’espace public et la mémoire récente de l’île.
L’œuvre s’inscrit dans la continuité du travail d’Adrien Martinetti, reconnu pour sa capacité à donner une présence presque physique à ses personnages. Le jeu des ombres, la finesse des lignes et l’équilibre des volumes créent un effet de relief saisissant, relevé par plusieurs internautes : « On a l’impression que les personnages sortent du mur », écrit l’une d’elles.
Depuis sa mise en ligne jeudi, les réactions se succèdent. « Grand artiste comme d’habitude », « superbe », « sublime »… Les messages saluent unanimement une réalisation sobre et forte, perçue comme un geste de mémoire envers une figure qui a marqué de nombreux Corses. D’autres commentaires soulignent la dimension humaine de l’artiste : « Quel hommage pour ce grand pape. Merci encore et à bientôt », écrit un ancien maître d’hôtel de Campo, s’adressant directement à Martinetti.
Par sa discrétion, son intégration dans le paysage urbain et la précision de son exécution, cette peinture s’impose comme l’une des interventions les plus parlantes de l’artiste ajaccien, capable de faire dialoguer l’art, l’espace public et la mémoire récente de l’île.











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