Photo archive CNI
Nouveau rebondissement dans l'affaire "Maxime Beux". Le 25 janvier, la justice a ordonné la mise en accusation du policier de la Bac, Christophe Mercier, suspecté d'avoir tiré une balle de flash-ball dans l'œil du supporter bastiais Maxime Beux (22 ans au moment des faits), à l'issue du match de football qui opposait Reims à Bastia le 16 février 2016.
Depuis, la mise en examen en avril 2019, du fonctionnaire de police pour "violences avec arme par personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une mutilation permanente" et la reconstitution des faits en juin 2019, l'affaire était au point mort. Le policier de la Bac avait était placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de porter une arme par un juge d'instruction de Reims.
Contacté par CNI, le supporter Bastiais infirme de l'œil gauche se dit : "content que les choses se passent normalement". Ce dernier craignait que l'affaire ne soit pas jugée aux assises. "Après 5 ans d’instruction, la juge vient nous donner raison, certes on n'est pas encore arrivé au procès, mais c'est déjà bien", poursuit-il.
Ce lundi 8 février, Christophe Mercier a fait appel de l'ordonnance du juge d'instruction.
Depuis, la mise en examen en avril 2019, du fonctionnaire de police pour "violences avec arme par personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une mutilation permanente" et la reconstitution des faits en juin 2019, l'affaire était au point mort. Le policier de la Bac avait était placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de porter une arme par un juge d'instruction de Reims.
Contacté par CNI, le supporter Bastiais infirme de l'œil gauche se dit : "content que les choses se passent normalement". Ce dernier craignait que l'affaire ne soit pas jugée aux assises. "Après 5 ans d’instruction, la juge vient nous donner raison, certes on n'est pas encore arrivé au procès, mais c'est déjà bien", poursuit-il.
Ce lundi 8 février, Christophe Mercier a fait appel de l'ordonnance du juge d'instruction.