(Photos Olivier Castel)
L'ambiance
Sous l'impulsion de L'Orsi Ribelli, le stade François-Coty bien garni semblait renaître de ses
cendres,tout au long de la rencontre. Qans faiblir c'est tout un stade qui a littéralement porté son équipe vers une victoire synonyme du maintien tant attendu.
C'est dans la difficulté que l'on reconnaît les siens et c'est un des enseignement majeur de la
soirée. Oui l'ACA ne laisse pas indifférent, oui l'ACA est toujours là. Vendredi soir ce public, et il faut le dire a été admirable.
Le match
Avant la rencontre on pouvait l'imaginer. Après le coup on peut le certifier : ce fut le match de la peur.
Un but en première mi-temps à la suite d'une action bien mené coté gauche par le très précieux
Videmeont qui, d'un centre précis au premier poteau permet à Fauvergue d'ouvrir le score :le scénario idéal dans ce genre de rencontre où la confiance devient un atout indispensable.
Que dire du deuxième but à la 52eme minute, avec à la conclusion certainement le joueur le plus en vue de cette fin de saison Videmont qui, d'une demi volée parfaite, libère (en fin presque) les siens.
On se dit alors que la cause est entendue,mais à la 67eme minute et à la suite d'un moment d'égarement, dirons-nous de la défense acéiste, les visiteurs réduisaient le score et mettaient à mal le capital confiance des ajacciens.
En effet à partir de cet instant et jusqu'aux tous derniers instants de cette rencontre les rouges et blancs; paralysés par l 'enjeu et tenaillés par la peur; auront toutes les peines du monde à contenir ces arlésiens qui n'avaient certes rien à perdre mais qui surtout n 'avaient depuis belle lurette plus rien à gagner
Les joueurs n'oublieront certainement pas ce public fantastique de ce vendredi soir soir qui dans ces insoutenables vingt dernières minutes porta son équipe vers le maintien en ligue 2.
L'ACA
Il était temps que cette saison se termine pour L'ACA, jusqu'à l'ultime seconde c 'est le club dans son ensemble qui a tremblé et ce match face à Arles-Avignon en fut la plus belle illustration.
Car ce succès si indispensable qu'il était, fut tout aussi laborieux et acquis dans la douleur par des Ajacciens souffrant toujours des mêmes maux à savoir cette incapacité à être constant dans leur niveau de jeu, ce qui les exposent trop souvent à devoir subir les évènements à des moments clés d'une rencontre.
Des scénarios de match souvent identiques où l 'adversaire n'a aucun mal à contrarier les intentions de jeu trop facilement lisibles d'une équipe qui aura été à la peine durant tout ce championnat.
L'adversaire
Pas grand chose à dire sur cette équipe,si ce n'est qu'elle va retrouver le National après une
saison ratée et même si face à l'ACA les joueurs ont fait leur boulot, sans aucune pression bien sûr, nous n'avons eu aucun mal à percevoir leurs limites.
Le bilan
L'ACA on le sait à râté sa saison mais a limité la casse : il y a encore deux journées le club était en position de relégable.
On ose à peine à imaginer quelles en auraient été les conséquence. Cela dit les succès futurs se
construisent souvent dans l 'adversité, à condition, bien sûr, d'en tirer les bons enseignements.
Sous l'impulsion de L'Orsi Ribelli, le stade François-Coty bien garni semblait renaître de ses
cendres,tout au long de la rencontre. Qans faiblir c'est tout un stade qui a littéralement porté son équipe vers une victoire synonyme du maintien tant attendu.
C'est dans la difficulté que l'on reconnaît les siens et c'est un des enseignement majeur de la
soirée. Oui l'ACA ne laisse pas indifférent, oui l'ACA est toujours là. Vendredi soir ce public, et il faut le dire a été admirable.
Le match
Avant la rencontre on pouvait l'imaginer. Après le coup on peut le certifier : ce fut le match de la peur.
Un but en première mi-temps à la suite d'une action bien mené coté gauche par le très précieux
Videmeont qui, d'un centre précis au premier poteau permet à Fauvergue d'ouvrir le score :le scénario idéal dans ce genre de rencontre où la confiance devient un atout indispensable.
Que dire du deuxième but à la 52eme minute, avec à la conclusion certainement le joueur le plus en vue de cette fin de saison Videmont qui, d'une demi volée parfaite, libère (en fin presque) les siens.
On se dit alors que la cause est entendue,mais à la 67eme minute et à la suite d'un moment d'égarement, dirons-nous de la défense acéiste, les visiteurs réduisaient le score et mettaient à mal le capital confiance des ajacciens.
En effet à partir de cet instant et jusqu'aux tous derniers instants de cette rencontre les rouges et blancs; paralysés par l 'enjeu et tenaillés par la peur; auront toutes les peines du monde à contenir ces arlésiens qui n'avaient certes rien à perdre mais qui surtout n 'avaient depuis belle lurette plus rien à gagner
Les joueurs n'oublieront certainement pas ce public fantastique de ce vendredi soir soir qui dans ces insoutenables vingt dernières minutes porta son équipe vers le maintien en ligue 2.
L'ACA
Il était temps que cette saison se termine pour L'ACA, jusqu'à l'ultime seconde c 'est le club dans son ensemble qui a tremblé et ce match face à Arles-Avignon en fut la plus belle illustration.
Car ce succès si indispensable qu'il était, fut tout aussi laborieux et acquis dans la douleur par des Ajacciens souffrant toujours des mêmes maux à savoir cette incapacité à être constant dans leur niveau de jeu, ce qui les exposent trop souvent à devoir subir les évènements à des moments clés d'une rencontre.
Des scénarios de match souvent identiques où l 'adversaire n'a aucun mal à contrarier les intentions de jeu trop facilement lisibles d'une équipe qui aura été à la peine durant tout ce championnat.
L'adversaire
Pas grand chose à dire sur cette équipe,si ce n'est qu'elle va retrouver le National après une
saison ratée et même si face à l'ACA les joueurs ont fait leur boulot, sans aucune pression bien sûr, nous n'avons eu aucun mal à percevoir leurs limites.
Le bilan
L'ACA on le sait à râté sa saison mais a limité la casse : il y a encore deux journées le club était en position de relégable.
On ose à peine à imaginer quelles en auraient été les conséquence. Cela dit les succès futurs se
construisent souvent dans l 'adversité, à condition, bien sûr, d'en tirer les bons enseignements.