« C’est un processus que j’ai toujours soutenu depuis le début ». Gabriel Attal le revendique haut et fort, il a toujours été en faveur de l’autonomie de la Corse, dès les prémices du processus. « J’étais Premier ministre quand Gérald Darmanin, alors ministre de l’Intérieur de mon Gouvernement, a conduit une grande partie des travaux », rappelle-t-il.
Présent ce lundi lors de l’inauguration de l’Hôpital privé Sud Corse, l’ex-locataire de Matignon, désormais secrétaire général de Renaissance et président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale, a tenu à confirmer son soutien à cette potentielle évolution institutionnelle. « Je pense que la Corse a une place essentielle et singulière dans la République et que ce processus d'autonomie est bienvenu pour franchir une étape supplémentaire et pour permettre à la Corse et aux Corses d’être pleinement maîtres de leur destin », a-t-il insisté en se disant toutefois « étonné que depuis un an il n'y ait pas eu beaucoup d'avancée ».
Alors que fin juillet le conseil des ministres a validé le projet de révision constitutionnelle relatif à l’autonomie de la Corse et que « le projet de loi constitutionnelle pour une Corse autonome au sein de la République » doit désormais être examiné par le Sénat dès octobre avant d'être présenté à l'Assemblée nationale dans la foulée, Gabriel Attal a assuré que son groupe soutiendra ce texte lors du passage dans l'hémicycle du Palais Bourbon.
« Il y a des groupes et des familles politiques qui s'y opposent. Je le regrette. Je pense qu'il faut peut-être moins d'idéologie et plus de pragmatisme dans ces familles politiques. Pour ma part, en tant que président de groupe et secrétaire général de parti, j'apporterai mon soutien pour que ce texte puisse cheminer et avancer », a-t-il affirmé en martelant qu’il fera tout pour « soutenir le gouvernement dans sa volonté de faire adopter cette réforme qui est importante ».
Présent ce lundi lors de l’inauguration de l’Hôpital privé Sud Corse, l’ex-locataire de Matignon, désormais secrétaire général de Renaissance et président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale, a tenu à confirmer son soutien à cette potentielle évolution institutionnelle. « Je pense que la Corse a une place essentielle et singulière dans la République et que ce processus d'autonomie est bienvenu pour franchir une étape supplémentaire et pour permettre à la Corse et aux Corses d’être pleinement maîtres de leur destin », a-t-il insisté en se disant toutefois « étonné que depuis un an il n'y ait pas eu beaucoup d'avancée ».
Alors que fin juillet le conseil des ministres a validé le projet de révision constitutionnelle relatif à l’autonomie de la Corse et que « le projet de loi constitutionnelle pour une Corse autonome au sein de la République » doit désormais être examiné par le Sénat dès octobre avant d'être présenté à l'Assemblée nationale dans la foulée, Gabriel Attal a assuré que son groupe soutiendra ce texte lors du passage dans l'hémicycle du Palais Bourbon.
« Il y a des groupes et des familles politiques qui s'y opposent. Je le regrette. Je pense qu'il faut peut-être moins d'idéologie et plus de pragmatisme dans ces familles politiques. Pour ma part, en tant que président de groupe et secrétaire général de parti, j'apporterai mon soutien pour que ce texte puisse cheminer et avancer », a-t-il affirmé en martelant qu’il fera tout pour « soutenir le gouvernement dans sa volonté de faire adopter cette réforme qui est importante ».
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