Selon la dernière estimation de la Préfecture de Corse qui date de 2016, 42 000 musulmans vivent sur l’île. Un chiffre difficile à obtenir et à confirmer tant l'appartenance religieuse n'est pas une variable statistique et parce que les musulmans sont majoritairement de nationalité française.
En tout état de cause, l'Islam est la 2e religion de Corse et 80% des fidèles sont d'origine marocaine alors que les 20% restant viennent de Tunisie ou d’Algérie. Si le phénomène est rare, on recense également des corses d'origine qui se sont convertis à l'Islam.
La Covid
Pour cause de crise sanitaire, le Maroc a stoppé les liaisons maritimes et aériennes avec la France et L'Espagne. Il y a également les mesures prises par le gouvernement concernant les déplacements qui empêchent les musulmans de retrouver leur famille à l’occasion de ce mois de jeûne. Le consul de Maroc en Corse, Mohammed Harak, s’est exprimé à ce sujet chez nos confrères de RCFM : « Il est vrai que cela est dur de ne pouvoir se rendre dans son pays durant ce mois de fête […] Depuis un an on doit vivre autrement on s’adapte à la situation. […] C’est un mois sacré de piété mais aussi des rencontres avec des amis et les marocains de Corse ont leurs amis dans l’île, mais ce qui peut nous manquer c’est cet aspect particulier d’un Ramadan que l’on ne trouve qu’au Maroc. On espère pouvoir passer l’an prochain une partie de ce moment sur place ».
En Corse
Les contraintes sanitaires ont également un impact sur l’île, les moments de prières en commun à la mosquée étant interdits. En temps normal, sur la commune de Furiani, jusqu’à 500 personnes se réunissent quotidiennement pour la prière du soir. Ce qui n’empêche pas certains croyants de préparer des paniers repas qui seront ensuite distribués dans différents quartiers aux plus nécessiteux. Une demande qui ne cesse d’augmenter du fait de la crise sanitaire et économique qui touche l’île.
En tout état de cause, l'Islam est la 2e religion de Corse et 80% des fidèles sont d'origine marocaine alors que les 20% restant viennent de Tunisie ou d’Algérie. Si le phénomène est rare, on recense également des corses d'origine qui se sont convertis à l'Islam.
La Covid
Pour cause de crise sanitaire, le Maroc a stoppé les liaisons maritimes et aériennes avec la France et L'Espagne. Il y a également les mesures prises par le gouvernement concernant les déplacements qui empêchent les musulmans de retrouver leur famille à l’occasion de ce mois de jeûne. Le consul de Maroc en Corse, Mohammed Harak, s’est exprimé à ce sujet chez nos confrères de RCFM : « Il est vrai que cela est dur de ne pouvoir se rendre dans son pays durant ce mois de fête […] Depuis un an on doit vivre autrement on s’adapte à la situation. […] C’est un mois sacré de piété mais aussi des rencontres avec des amis et les marocains de Corse ont leurs amis dans l’île, mais ce qui peut nous manquer c’est cet aspect particulier d’un Ramadan que l’on ne trouve qu’au Maroc. On espère pouvoir passer l’an prochain une partie de ce moment sur place ».
En Corse
Les contraintes sanitaires ont également un impact sur l’île, les moments de prières en commun à la mosquée étant interdits. En temps normal, sur la commune de Furiani, jusqu’à 500 personnes se réunissent quotidiennement pour la prière du soir. Ce qui n’empêche pas certains croyants de préparer des paniers repas qui seront ensuite distribués dans différents quartiers aux plus nécessiteux. Une demande qui ne cesse d’augmenter du fait de la crise sanitaire et économique qui touche l’île.
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