Tout d’abord prévue dans le péristyle, la conférence de presse s’improvise finalement dans la grande salle du théâtre de Bastia ou l’équipe de la mairie, venue présentée cette nouvelle édition, et les artistes qui vont se produire pendant la semaine, se sont déplacés pour les besoins de la photographie. Des techniciens du théâtre, présents pour l’occasion, n’hésitent pas à “envoyer“ la lumière des projecteurs sur la scène et dans la salle. Ce qui évite aux photographes d’avoir à activer leurs flashs et ce qui réchauffe immédiatement l’atmosphère.
Une fois le portrait tiré, les protagonistes rejoignent la scène et c’est Mattea Lacave, adjointe déléguée à la Culture, à l'ouverture au monde méditerranéen et à la Langue Corse, qui prend la parole en premier. Traditionnellement portée par l’association E Teatrale (12 éditions à son actif – NDLR), cette manifestation autour du théâtre insulaire est à présent organisée par la Mairie de Bastia et la direction des Affaires Culturelles. L’association a en quelque sorte « passé le flambeau et la ville a récupéré l’évènement » nous explique Mattea Lacave. Ce qui permet désormais un « meilleur accueil des spectacles et de proposer des résidences pour éviter de simples “one-shot“ voire même de programmer ensuite les pièces ailleurs. » Elle insiste aussi pour « remercier les Compagnies parce que je suis bien consciente que ce n’est pas facile la création aujourd'hui. Vous allez avoir droit à une semaine riche en événements qui se déroulera dans les différents espaces culturels que la ville a su mettre à disposition. »
Elle donne ensuite la parole à Delphine Ramos, directrice des affaires culturelles qui en profite, même si elle précise ne rien avoir à ajouter, pour dire qu’elle est « heureuse que les artistes soient présents à cette présentation. » C’est le moment que choisi l’acteur Christian Ruspini pour faire une entrée remarquée dans le théâtre et rejoindre la troupe installée sur la scène.
Son spectacle, 51 Pegasi La Confession de la Bête, d’après Marcu Biancarelli, qu’il a nouvellement adapté et dans lequel il joue, fait l’ouverture de cette semaine de théâtre insulaire le samedi 10 mars à 21 heures « à l’Alb’oru et pas au théâtre comme annoncé précédemment » précise-t-il. Cette pièce qu’il avait joué il y a quelques années dans une version mise en scène par Jean-Pierre Lanfranchi a été dépoussiéré et arrangée pour permettre à Anna-Marie Filippi de l’accompagner sur scène. Une version « bien plus féminine du texte et de la pièce » précise-t-il.
C’est d’ailleurs sur le côté très « féminin » de la manifestation que rebondit Frédérique Balbinot, responsable du Théâtre municipal et du Centre Culturel Alb'Oru. « On a la chance d’avoir une édition resserrée. Une manifestation que l’on compte bien reproduire chaque année après ce nouveau départ. On a choisi de proposer pas plus de deux spectacles par jour ce qui nous amène à huit pièces sur la semaine. Pour une édition avec beaucoup de femmes, comme vous pouvez le voir sur cette scène (sont présentes Coco Orsoni, Lucile Delanne et Marie Murcia – NDLR). » Et de conclure que ce Festival se veut « une très belle vitrine du Théâtre insulaire. »
Programme complet ici
Une fois le portrait tiré, les protagonistes rejoignent la scène et c’est Mattea Lacave, adjointe déléguée à la Culture, à l'ouverture au monde méditerranéen et à la Langue Corse, qui prend la parole en premier. Traditionnellement portée par l’association E Teatrale (12 éditions à son actif – NDLR), cette manifestation autour du théâtre insulaire est à présent organisée par la Mairie de Bastia et la direction des Affaires Culturelles. L’association a en quelque sorte « passé le flambeau et la ville a récupéré l’évènement » nous explique Mattea Lacave. Ce qui permet désormais un « meilleur accueil des spectacles et de proposer des résidences pour éviter de simples “one-shot“ voire même de programmer ensuite les pièces ailleurs. » Elle insiste aussi pour « remercier les Compagnies parce que je suis bien consciente que ce n’est pas facile la création aujourd'hui. Vous allez avoir droit à une semaine riche en événements qui se déroulera dans les différents espaces culturels que la ville a su mettre à disposition. »
Elle donne ensuite la parole à Delphine Ramos, directrice des affaires culturelles qui en profite, même si elle précise ne rien avoir à ajouter, pour dire qu’elle est « heureuse que les artistes soient présents à cette présentation. » C’est le moment que choisi l’acteur Christian Ruspini pour faire une entrée remarquée dans le théâtre et rejoindre la troupe installée sur la scène.
Son spectacle, 51 Pegasi La Confession de la Bête, d’après Marcu Biancarelli, qu’il a nouvellement adapté et dans lequel il joue, fait l’ouverture de cette semaine de théâtre insulaire le samedi 10 mars à 21 heures « à l’Alb’oru et pas au théâtre comme annoncé précédemment » précise-t-il. Cette pièce qu’il avait joué il y a quelques années dans une version mise en scène par Jean-Pierre Lanfranchi a été dépoussiéré et arrangée pour permettre à Anna-Marie Filippi de l’accompagner sur scène. Une version « bien plus féminine du texte et de la pièce » précise-t-il.
C’est d’ailleurs sur le côté très « féminin » de la manifestation que rebondit Frédérique Balbinot, responsable du Théâtre municipal et du Centre Culturel Alb'Oru. « On a la chance d’avoir une édition resserrée. Une manifestation que l’on compte bien reproduire chaque année après ce nouveau départ. On a choisi de proposer pas plus de deux spectacles par jour ce qui nous amène à huit pièces sur la semaine. Pour une édition avec beaucoup de femmes, comme vous pouvez le voir sur cette scène (sont présentes Coco Orsoni, Lucile Delanne et Marie Murcia – NDLR). » Et de conclure que ce Festival se veut « une très belle vitrine du Théâtre insulaire. »
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