« C’est toujours une grande gratitude et une grande satisfaction », réagit le maire d’Ajaccio, saluant « un résultat particulièrement important ».
Le candidat soutenu par l’ancien Premier ministre Édouard Philippe dit attendre « avec impatience » le débat de second tour, lors duquel il sera confronté au candidat autonomiste Romain Colonna, arrivé deuxième de ce scrutin avec 17,48% des voix. « Je veux que la Corse avance et que la France gagne, c’est ce qui me différencie de mon adversaire », indique Laurent Marcangeli. Interrogé sur l’autonomie, le maire d’Ajaccio assure que les électeurs lui parlent « surtout du frigo difficile à remplir, du prix de l’essence, mais pas de l’autonomie ».
Enfin, concernant le score du Rassemblement National, le maire d’Ajaccio avoue « ne pas être surpris ». « Ce qui me surprend plus, c’est l’écart entre le score de Madame le Pen et celui de ses candidats qui ne sont pas qualifiés au second tour », ajoute-t-il.
L’objectif de cet entre-deux-tours ? « Aller à la rencontre des électeurs pour les convaincre. »
On l’écoute.
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