Elisabeth Borne (STEPHANE DE SAKUTIN AFP)
Dans un entretien à l’AFP ce samedi 25 juin, Macron a indiqué avoir "décidé de confirmer (sa) confiance à Elisabeth Borne", qu’il a chargée de réfléchir à un "nouveau gouvernement d’action" pour début juillet.
Le Président de la République qui venait de s’entretenir avec elle, a précisé qu’il lui avait demandé de sonder les groupes politiques à l’Assemblée nationale la semaine prochaine sur un "accord de gouvernement", leur participation même à un gouvernement, leur position sur un vote de confiance à Elisabeth Borne le 5 juillet, et aussi sur le vote du budget de l’Etat à l’automne prochain.
"A mon retour (des sommets) du G7 et de l’Otan (qui se tiennent jusqu’à jeudi), la Première ministre me soumettra des propositions pour une feuille de route pour le gouvernement de la France sur les prochains mois et les prochaines années, et également pour la composition d’un nouveau gouvernement d’action au service de la France que nous mettrons en place dans les premiers jours du mois de juillet", a-t-il ajouté. Ce gouvernement pourra être rejoint par des représentants de forces politiques prêtes à coopérer avec la majorité. M. Macron a néanmoins souligné que ces discussions se feront le "cadre du projet présidentiel et de celui de la majorité présidentielle qui pourra être amendé ou enrichi". Avec pour ligne rouge de n’augmenter "ni les impôts, ni la dette".
Malgré son revers aux élections législatives, Emmanuel Macron n’a pas renoncé à la réforme des retraites, mise de côté au début de la pandémie de coronavirus. La réforme vise à "travailler plus longtemps comme le font tous nos voisins, en tenant compte des conditions de travail et donc des règles de pénibilité, en prenant en compte les carrières longues", a-t-il dit. C’est, avec la réforme vers le plein emploi, "les deux grandes réformes que nous devons conduire dans la concertation, sans totem ni tabou, mais en gardant un cap d’ambition".
Le chef de l’Etat, à la recherche de renforts après avoir perdu dimanche dernier la majorité absolue à l’Assemblée, a écarté la possibilité d’un accord avec le Rassemblement national (RN, extrême droite) et La France insoumise (LFI, gauche radicale), deux formations qui, selon lui, "ne s’inscrivent pas comme des partis de gouvernement ». Les alliés possibles, « ce sera des communistes aux LR" (Les Républicains, parti de droite), a-t-il indiqué.
Le Président de la République qui venait de s’entretenir avec elle, a précisé qu’il lui avait demandé de sonder les groupes politiques à l’Assemblée nationale la semaine prochaine sur un "accord de gouvernement", leur participation même à un gouvernement, leur position sur un vote de confiance à Elisabeth Borne le 5 juillet, et aussi sur le vote du budget de l’Etat à l’automne prochain.
"A mon retour (des sommets) du G7 et de l’Otan (qui se tiennent jusqu’à jeudi), la Première ministre me soumettra des propositions pour une feuille de route pour le gouvernement de la France sur les prochains mois et les prochaines années, et également pour la composition d’un nouveau gouvernement d’action au service de la France que nous mettrons en place dans les premiers jours du mois de juillet", a-t-il ajouté. Ce gouvernement pourra être rejoint par des représentants de forces politiques prêtes à coopérer avec la majorité. M. Macron a néanmoins souligné que ces discussions se feront le "cadre du projet présidentiel et de celui de la majorité présidentielle qui pourra être amendé ou enrichi". Avec pour ligne rouge de n’augmenter "ni les impôts, ni la dette".
Malgré son revers aux élections législatives, Emmanuel Macron n’a pas renoncé à la réforme des retraites, mise de côté au début de la pandémie de coronavirus. La réforme vise à "travailler plus longtemps comme le font tous nos voisins, en tenant compte des conditions de travail et donc des règles de pénibilité, en prenant en compte les carrières longues", a-t-il dit. C’est, avec la réforme vers le plein emploi, "les deux grandes réformes que nous devons conduire dans la concertation, sans totem ni tabou, mais en gardant un cap d’ambition".
Le chef de l’Etat, à la recherche de renforts après avoir perdu dimanche dernier la majorité absolue à l’Assemblée, a écarté la possibilité d’un accord avec le Rassemblement national (RN, extrême droite) et La France insoumise (LFI, gauche radicale), deux formations qui, selon lui, "ne s’inscrivent pas comme des partis de gouvernement ». Les alliés possibles, « ce sera des communistes aux LR" (Les Républicains, parti de droite), a-t-il indiqué.
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