Le "bandeau d'or corse" de Gabriel Diana
A -t-on encore besoin de rappeler qui est Gabriel Diana ?
De mère corse et de père italien, ingénieur de formation dans sa première vie mais artiste dans l'âme depuis toujours, cet atypique manager milanais s'est converti à l'art suite au décès accidentel de leur fils unique.
Fuyant la douleur le couple s'est réfugié en Haute Corse où, fort d'une formation et d'une activité frénétique vécue au sein de l'industrie italienne, le néo homme de l'art ne pouvait se résigner à vivre paisiblement une vie tranquille dépourvue d'action.
Confirmant l'adage que de grandes douleurs naissent de grandes choses, et bien que contrarié par les difficultés inhérentes à l'insularité, le peintre de la première heure après quelques brillants coups de pinceau s'est rapidement reconverti au tridimensionnel sur une île qui n'a jamais vraiment compté de sculpteurs de renom.
Doté d'une fertile créativité émotionnelle, épaulé par une formation technique sans faille et boosté par une bonne maitrise de la gestion, l'aura du néo artiste a rapidement grandi. Le rapport sensuel avec la matière se révèle indispensable et le créateur innove en faisant migrer sur ses toiles ses leptosomes personnages d'airain.
Son parcours expressif a vu fusionner la peinture et la sculpture dans un nouveau langage hybride. Métempsycose exercée à travers des bronzes proches des sculptures votives étrusques dans lesquelles le "Sublime" écho de l'âme émerge pour désigner à travers le mouvement et le geste l'émotion et la surprise. Démiurge, Diana forge des sculptures de bronze minimalistes réduites à l'essentiel auxquelles, pour donner de la matière au regard il leur attribue des fins d'expressivité. Possédé par la technique l'ingénieur, entretemps devenu bronzier, comme par magie et avec maîtrise fait croître ses miniatures jusqu'à les faire devenir monumentales.
Les sculptures du maître habitent désormais des lieux publics en Corse, en France métropolitaine, en Italie, jusqu'en Russie baltique. Homme libre et solitaire, contre vents et marées l'artiste a toujours réfuté toute adhésion à un quelconque système. Par son engagement et sa persévérance il a réussi à bouleverser les idées reçues dans l'épineux domaine artistique insulaire. Solidement ancré sur son rocher il aime à dire que "...en Corse tous les chemins mènent à la mer".
Reconnu internationalement, "Cavaliere della Repubblica Italiane* et honoré des "Arts & des Lettres" en France, le sculpteur corse a réussi à outrepasser les limites de son île de beauté pour laisser de son passage sur terre une profonde trace d'immortalité gravée dans l'airain.
De mère corse et de père italien, ingénieur de formation dans sa première vie mais artiste dans l'âme depuis toujours, cet atypique manager milanais s'est converti à l'art suite au décès accidentel de leur fils unique.
Fuyant la douleur le couple s'est réfugié en Haute Corse où, fort d'une formation et d'une activité frénétique vécue au sein de l'industrie italienne, le néo homme de l'art ne pouvait se résigner à vivre paisiblement une vie tranquille dépourvue d'action.
Confirmant l'adage que de grandes douleurs naissent de grandes choses, et bien que contrarié par les difficultés inhérentes à l'insularité, le peintre de la première heure après quelques brillants coups de pinceau s'est rapidement reconverti au tridimensionnel sur une île qui n'a jamais vraiment compté de sculpteurs de renom.
Doté d'une fertile créativité émotionnelle, épaulé par une formation technique sans faille et boosté par une bonne maitrise de la gestion, l'aura du néo artiste a rapidement grandi. Le rapport sensuel avec la matière se révèle indispensable et le créateur innove en faisant migrer sur ses toiles ses leptosomes personnages d'airain.
Son parcours expressif a vu fusionner la peinture et la sculpture dans un nouveau langage hybride. Métempsycose exercée à travers des bronzes proches des sculptures votives étrusques dans lesquelles le "Sublime" écho de l'âme émerge pour désigner à travers le mouvement et le geste l'émotion et la surprise. Démiurge, Diana forge des sculptures de bronze minimalistes réduites à l'essentiel auxquelles, pour donner de la matière au regard il leur attribue des fins d'expressivité. Possédé par la technique l'ingénieur, entretemps devenu bronzier, comme par magie et avec maîtrise fait croître ses miniatures jusqu'à les faire devenir monumentales.
Les sculptures du maître habitent désormais des lieux publics en Corse, en France métropolitaine, en Italie, jusqu'en Russie baltique. Homme libre et solitaire, contre vents et marées l'artiste a toujours réfuté toute adhésion à un quelconque système. Par son engagement et sa persévérance il a réussi à bouleverser les idées reçues dans l'épineux domaine artistique insulaire. Solidement ancré sur son rocher il aime à dire que "...en Corse tous les chemins mènent à la mer".
Reconnu internationalement, "Cavaliere della Repubblica Italiane* et honoré des "Arts & des Lettres" en France, le sculpteur corse a réussi à outrepasser les limites de son île de beauté pour laisser de son passage sur terre une profonde trace d'immortalité gravée dans l'airain.
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