Au cœur des débats figuraient surtout deux projets d’arrêtés visant à protéger des habitats marins sensibles.
Le premier concerne les anneaux de coralligène, des structures sous-marines remarquables mais fragiles, menacées par l’ancrage, la pêche ou certaines formes de navigation. Malgré l’opposition des représentants de la pêche récréative, inquiets pour la pêche au thon, le Conseil a adopté à la majorité la création de zones de réglementation spécifiques. La procédure se poursuit avec la consultation d’instances scientifiques et l’ouverture d’une enquête publique.
Le second arrêté porte sur les herbiers récifs présents notamment dans le golfe de Saint-Florent et l’Agriate. Sept formations récifales seront soumises à des interdictions de pêche, de plongée, de mouillage et d’usages de loisirs. Cette fois, la décision a été votée à l’unanimité.
Le Conseil a enfin examiné une première analyse des interactions entre la pêche professionnelle et les espèces protégées – mammifères marins, tortues ou oiseaux de mer. Les premiers résultats confirment des risques d’impacts, notamment entre les palangres et l’avifaune ou entre filets et tortues.
Des suivis en mer seront engagés dans les prochains mois, en lien avec les pêcheurs, afin de compléter ces observations et d’adapter la gestion des sites Natura 2000 du parc.
Le premier concerne les anneaux de coralligène, des structures sous-marines remarquables mais fragiles, menacées par l’ancrage, la pêche ou certaines formes de navigation. Malgré l’opposition des représentants de la pêche récréative, inquiets pour la pêche au thon, le Conseil a adopté à la majorité la création de zones de réglementation spécifiques. La procédure se poursuit avec la consultation d’instances scientifiques et l’ouverture d’une enquête publique.
Le second arrêté porte sur les herbiers récifs présents notamment dans le golfe de Saint-Florent et l’Agriate. Sept formations récifales seront soumises à des interdictions de pêche, de plongée, de mouillage et d’usages de loisirs. Cette fois, la décision a été votée à l’unanimité.
Le Conseil a enfin examiné une première analyse des interactions entre la pêche professionnelle et les espèces protégées – mammifères marins, tortues ou oiseaux de mer. Les premiers résultats confirment des risques d’impacts, notamment entre les palangres et l’avifaune ou entre filets et tortues.
Des suivis en mer seront engagés dans les prochains mois, en lien avec les pêcheurs, afin de compléter ces observations et d’adapter la gestion des sites Natura 2000 du parc.
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