À compter du 15 août 1944, le débarquement de Provence, page importante de l’histoire de la libération, s’effectue. Objectif, libérer le Sud-Est de la France. En moins d’une semaine, les troupes allemandes reculent et les Américains débarquent alors à Cannes le 24 août 1944. Lors de ces deux opérations, la Corse, premier département libéré quelques mois plus tôt, jouera un rôle important, de par sa situation géographique en Méditerranée où l’île sera un véritable porte-avion.
C’est pour honorer cette période que le MVCG Corsica, l’une des 21 associations de ce type existant en France, participe à différentes commémoration, notamment le 8 mai, le débarquement de Provence ou encore le débarquement de Cannes depuis des années.
Un devoir de mémoire nécessaire
Et c’est justement du côté de la Bocca qu’une dizaine de membres de l’association, parmi lesquels Nestor Bouttaud son président ou Jean-Luc Poli, son trésorier sont partis d’Ajaccio en bateau samedi soir avec cinq jeeps. La délégation insulaire a débarqué ce dimanche matin à Toulon et prend la direction de Cannes où elle participera, ce mardi, aux commémorations relatives au débarquement de Cannes : « Il y aura 200 véhicules venus d’un peu partout en Europe, souligne Jean-Luc Poli, ainsi, bien sûr, que les autorités officielles. Il est important de maintenir intacte cette page de l’histoire très importante et la Corse y a joué un rôle clé. »
Issue de la Société d’Histoire Militaire Corse « A Bandera », créée en 1979, la section MVCG Corsica, « véhicule anciens » réunit de nombreux collectionneurs et assure la restauration de véhicules civils et militaires anciens : jeeps, chars, camions Citroën, GMC, Half-Track, auto-mitrailleuses. Dans ses ateliers, le MVCG Corsica remet à neuf ces véhicules. Mais les membres ne se contentent pas de la restauration, ils participent, par ailleurs, à de nombreuses commémorations comme celles de la libération de la Corse, le 8 mai et se déplacent également sur le Continent : « On s’efforce d’être présents le plus souvent possible à l’occasion de ce genre de cérémonies, ajoute Jean-Luc Poli, c’est un devoir de mémoire nécessaire pour que les générations futures n’oublient pas. »
Si le débarquement de Normandie, le 6 juin 1944 représente le fait majeur de cette page de l’histoire, la libération du Sud-Est de la France deux mois plus tard, mérite, tout autant, d’être mise en valeur.
Au volant des cinq jeeps, la délégation insulaire participera au défilé historique à Cannes, ce mardi. Avant de rentrer sur Ajaccio le lendemain et de poursuivre son travail de restauration et de mémoire.
C’est pour honorer cette période que le MVCG Corsica, l’une des 21 associations de ce type existant en France, participe à différentes commémoration, notamment le 8 mai, le débarquement de Provence ou encore le débarquement de Cannes depuis des années.
Un devoir de mémoire nécessaire
Et c’est justement du côté de la Bocca qu’une dizaine de membres de l’association, parmi lesquels Nestor Bouttaud son président ou Jean-Luc Poli, son trésorier sont partis d’Ajaccio en bateau samedi soir avec cinq jeeps. La délégation insulaire a débarqué ce dimanche matin à Toulon et prend la direction de Cannes où elle participera, ce mardi, aux commémorations relatives au débarquement de Cannes : « Il y aura 200 véhicules venus d’un peu partout en Europe, souligne Jean-Luc Poli, ainsi, bien sûr, que les autorités officielles. Il est important de maintenir intacte cette page de l’histoire très importante et la Corse y a joué un rôle clé. »
Issue de la Société d’Histoire Militaire Corse « A Bandera », créée en 1979, la section MVCG Corsica, « véhicule anciens » réunit de nombreux collectionneurs et assure la restauration de véhicules civils et militaires anciens : jeeps, chars, camions Citroën, GMC, Half-Track, auto-mitrailleuses. Dans ses ateliers, le MVCG Corsica remet à neuf ces véhicules. Mais les membres ne se contentent pas de la restauration, ils participent, par ailleurs, à de nombreuses commémorations comme celles de la libération de la Corse, le 8 mai et se déplacent également sur le Continent : « On s’efforce d’être présents le plus souvent possible à l’occasion de ce genre de cérémonies, ajoute Jean-Luc Poli, c’est un devoir de mémoire nécessaire pour que les générations futures n’oublient pas. »
Si le débarquement de Normandie, le 6 juin 1944 représente le fait majeur de cette page de l’histoire, la libération du Sud-Est de la France deux mois plus tard, mérite, tout autant, d’être mise en valeur.
Au volant des cinq jeeps, la délégation insulaire participera au défilé historique à Cannes, ce mardi. Avant de rentrer sur Ajaccio le lendemain et de poursuivre son travail de restauration et de mémoire.