"Les dernières élections, présidentielle et législatives, ont mis en évidence la totale disqualification des partis traditionnels qui ont gouverné notre pays pendant des décennies.
Une force nouvelle, anticapitaliste, écologiste, sociale et démocratique, s'est imposée dans le nouveau paysage politique : la France Insoumise, mouvement de transformation sociale.
Dans nôtre île, notre mouvement, la Corse Insoumise, a été désignée par le suffrage universel comme la première force de contestation du système libéral et claniste.
Notre responsabilité est de ce fait importante.
D'ores et déjà nous prenons l'initiative pour appeler les citoyens engagés (politiques, syndicalistes, associatifs, culturels) ou non et les mouvements organisés (PCF, EELV, POI, NPA, LO...) à un grand rassemblement progressiste afin de lutter dans la clarté contre ce nouveau gouvernement représentant les intérêts du MEDEF et de l'oligarchie financière.
En effet, parce que la Corse est la région la plus pauvre, elle a besoin d'une politique radicalement différente qui réponde réellement aux urgences sociales et démocratiques.
Nous voulons dès lors contribuer en Corse, par les luttes, les actions et les urnes, à refonder la perspective d'une nouvelle majorité territoriale, diverse, progressiste et humaniste, qui engagera les premières ruptures avec le libéralisme, le productivisme, le clientélisme et les politiques inégalitaires qui divisent le peuple et brisent les solidarités."
Une force nouvelle, anticapitaliste, écologiste, sociale et démocratique, s'est imposée dans le nouveau paysage politique : la France Insoumise, mouvement de transformation sociale.
Dans nôtre île, notre mouvement, la Corse Insoumise, a été désignée par le suffrage universel comme la première force de contestation du système libéral et claniste.
Notre responsabilité est de ce fait importante.
D'ores et déjà nous prenons l'initiative pour appeler les citoyens engagés (politiques, syndicalistes, associatifs, culturels) ou non et les mouvements organisés (PCF, EELV, POI, NPA, LO...) à un grand rassemblement progressiste afin de lutter dans la clarté contre ce nouveau gouvernement représentant les intérêts du MEDEF et de l'oligarchie financière.
En effet, parce que la Corse est la région la plus pauvre, elle a besoin d'une politique radicalement différente qui réponde réellement aux urgences sociales et démocratiques.
Nous voulons dès lors contribuer en Corse, par les luttes, les actions et les urnes, à refonder la perspective d'une nouvelle majorité territoriale, diverse, progressiste et humaniste, qui engagera les premières ruptures avec le libéralisme, le productivisme, le clientélisme et les politiques inégalitaires qui divisent le peuple et brisent les solidarités."