"Par forza ò par amori" comme dit l'adage, l'ACA devra y aller. Faire feu de tout bois, pour ne rien avoir à regretter. Les regrets sont bien là pourtant, et désormais pas seulement concernant les choix de coach ou de joueurs. Face aux Caennais, les Oursons n'ont montré que leur face la plus sombre, symptomatique d'une équipe malade, et sur le point d'être débranchée.
Pourtant, il y a encore du jus dans la machine. Faty de retour, Pedretti en phase de reprise, plus l'intégration de jeunes prometteurs ou du moins motivés, le groupe ne stagne pas. En revanche, les résultats si. Pour Bracconi comme pour le jeune Julien Remiti, encore une fois appelé dans le groupe comme Morracchini ou encore Nordine Ait-Yahia (voir plus bas), l'heure n'est pas à la pleurniche ni à la résignation. S'il y a une flamme, il faut qu'elle brûle, ou en trois mots : "ne rien lâcher".
"Je pense que c'est équipe peut mieux faire", disait donc Julien Remiti, pour sa première "conf'" d'avant-match aux côtés de son coach, mais aussi formateur.
"Pour moi, il manque surtout de la réussite. La qualité y est, il manque surtout de la chance", explique le jeune milieu de terrain.
Pourtant, il y a encore du jus dans la machine. Faty de retour, Pedretti en phase de reprise, plus l'intégration de jeunes prometteurs ou du moins motivés, le groupe ne stagne pas. En revanche, les résultats si. Pour Bracconi comme pour le jeune Julien Remiti, encore une fois appelé dans le groupe comme Morracchini ou encore Nordine Ait-Yahia (voir plus bas), l'heure n'est pas à la pleurniche ni à la résignation. S'il y a une flamme, il faut qu'elle brûle, ou en trois mots : "ne rien lâcher".
"Je pense que c'est équipe peut mieux faire", disait donc Julien Remiti, pour sa première "conf'" d'avant-match aux côtés de son coach, mais aussi formateur.
"Pour moi, il manque surtout de la réussite. La qualité y est, il manque surtout de la chance", explique le jeune milieu de terrain.
"Peu de chose pour que cela bascule" Bracconi
Son entraîneur aussi touche du doigt le positif, et en fait même un ingrédient indispensable, une prérogative face à la crise terrible qui touche le club. Ce match de Sochaux, même dans une position plus confortable, aurait été synonyme de match crucial. Alors Bracconi ne change pas son discours, compte ses points, examine ses cartes, et joue.
Contre les Doubistes, 7 joueurs du centre de formation seront sur la feuille de match. Une stratégie qui semble payer au niveau de l'état d'esprit. "Rafraîchir le groupe" comme dirait le coach, voilà peut-être un élément déclencheur en puissance. Priorité aux méritants, mais surtout, à l'esprit.
"J'ai dit après le match de Caen qu'on avait trois matchs, et qu'on devait tous les gagner. A nous de l'aborder de la meilleure des façons. On est face au 19e, et en gagnant, cela pourrait être intéressant psychologiquement. Cela voudrait dire que l'on passerait devant Sochaux au classement, donc cela a aussi une valeur symbolique. On pourrait s'en servir pour relancer l'équipe sur une dynamique positive, surtout dans le domaine de la gagne", explicite Bracconi avant de finir sur une nouvelle touche d'optimisme :
"Je sens que j'ai une équipe qui n'est pas loin de gagner un match, ou en tous les cas qui démontre de l'envie et de la détermination à l'entraînement. Il y a une ambiance de travail saine, et il manque peu de chose pour que ça bascule".
Contre les Doubistes, 7 joueurs du centre de formation seront sur la feuille de match. Une stratégie qui semble payer au niveau de l'état d'esprit. "Rafraîchir le groupe" comme dirait le coach, voilà peut-être un élément déclencheur en puissance. Priorité aux méritants, mais surtout, à l'esprit.
"J'ai dit après le match de Caen qu'on avait trois matchs, et qu'on devait tous les gagner. A nous de l'aborder de la meilleure des façons. On est face au 19e, et en gagnant, cela pourrait être intéressant psychologiquement. Cela voudrait dire que l'on passerait devant Sochaux au classement, donc cela a aussi une valeur symbolique. On pourrait s'en servir pour relancer l'équipe sur une dynamique positive, surtout dans le domaine de la gagne", explicite Bracconi avant de finir sur une nouvelle touche d'optimisme :
"Je sens que j'ai une équipe qui n'est pas loin de gagner un match, ou en tous les cas qui démontre de l'envie et de la détermination à l'entraînement. Il y a une ambiance de travail saine, et il manque peu de chose pour que ça bascule".
Ait-Yahia première, Lasne Dielna et Perozo aux soins
Les démons sont toujours sur les terrains de Timizzolu, si l'on en croit la nouvelle vague de malchance qui touche le groupe. Dielna est touché au genou, alors que Perozo et Lasne sont préservés, à la suite de douleurs à la cuisse. En revanche, le jeune Nordine Ait-Yahia, 22 ans, intègre le groupe. Diarra n'est pas même retenu.
Côté adverse, les cadres sont là, y compris Ayew.
U Gruppu Aiaccinu : Ochoa, Sissoko, Hengbart, Bonnart, Mostefa, Zubar, Nadeau, Tonucci, André, Ait-Yahia*, J. Remiti, Faty, Gonçalvès, Cavalli, Eduardo, Moracchini, Oliech, Camara
Côté adverse, les cadres sont là, y compris Ayew.
U Gruppu Aiaccinu : Ochoa, Sissoko, Hengbart, Bonnart, Mostefa, Zubar, Nadeau, Tonucci, André, Ait-Yahia*, J. Remiti, Faty, Gonçalvès, Cavalli, Eduardo, Moracchini, Oliech, Camara
U Gruppu di u FCSM : Cros, Pouplin - Faussurier, Peybernes, Carlão, Sunzu, Boumal, Zouma - Ilaimaharitra, Prcic, Roudet, Nogueira, Eickmayer, Poujol - Bakambu, Mayuka, Frau, Ayew, Butin.
* Né en 1992, Nordine Ait-Yahia découvre le groupe professionnel. Un des leaders de l'équipe de CFA2, il évolue au poste de défenseur central et latéral.
* Né en 1992, Nordine Ait-Yahia découvre le groupe professionnel. Un des leaders de l'équipe de CFA2, il évolue au poste de défenseur central et latéral.